 Vous venez , Messieurs , d'entendre le résultat de mes dispositions et de mes vues ; elles sont conformes au vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise,...  Mercure françias - Page 371789Full view - About this book
 | Jean Sylvain Bailly - France - 1804 - 348 pages
...une fata» lité loin de ma pensée, vous m'abandon» niez dans une si belle entreprise, seul, •a je ferai le bien de mes peuples; seul, je » me considérerai comme leur véritable re» présentant : et connaissant vos cahiers , » connaissant l'accord parfait qui existe entre .»... | |
 | Jean Sylvain Bailly - France - 1804 - 404 pages
...aurait réalisé ce que, le roi avait anr noncé dans son dernier discours, le a3 : «/« ferai seul le bien de mes peuples; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant. » Ce coup d'autorité absolue et arbitraire, si étrange dans les circonstances, aurait été appuyé... | |
 | Jean Sylvain Bailly - 1804 - 400 pages
...on aurait réalisé ce que le roi avait annoncé dans son dernier discours, lea3 : «Je ferai seul le bien de mes peuples; seul, je me considérerai comme leur véritable représentant. » Ce coup d'autorité absolue et arbitraire, si étrange dans les circonstances, aurait été appuyé... | |
 | François Hue - France - 1806 - 542 pages
...vif désir que j'ai d'opérer le bien " public ; et si, par une fatalité loin de ma pensée, " vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, " seul,...leur véritable Représentant ; ". et, connoissant vos cahiers, connoissant l'accord " parfait qui existe entre le bien général de la nation '* çt... | |
 | François Emmanuel Toulongeon - France - 1801 - 494 pages
...vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée , vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul,...considérerai comme leur véritable représentant ; «et connaissant vos cahiers , connaissant l'accord parfait qui existe entre le vœu le plus général de... | |
 | François Hue - France - 1806 - 556 pages
...vif désir que j'ai d'opérer le bien " public ; et pi, par une fatalité loin de ma pensée, " vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, " seul, je ferai le bien de mes peuples; seul, je me " considèrerai comme leur véritable Représentant ; " et, connoissant vos cahiers, connoissant l'accord... | |
 | François Emmanuel Toulongeon - France - 1801 - 520 pages
...vif désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée , vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul,...considérerai comme leur véritable représentant ; et connaissant vos cahiers , connaissant l'accord parfait qui existe entre le vœu le plus général de... | |
 | François Hue - France - 1814 - 624 pages
...vif desir que j'ai d'opérer le bien » public: et si, par une fatalité loin de ma pensée, » vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, » seul...seul , je » me considérerai comme leur véritable Représen» tant; et, connoissant vos cahiers, connoissant . » l'accord parfait qui existe entre le... | |
 | Henri Lemaire - France - 1816 - 450 pages
...d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité loin de ma pensée , vous m'abandonniez clans une si belle entreprise , seul je ferai le bien de mes peuples, seul je rne considérerai comme leur véritable représentant , et connaissant vos cahiers , connaissant l'accord... | |
 | Jean François Marmontel - 1818 - 500 pages
...désir que j'ai d'opérer le bien public ; et si , par une fatalité qui est loin de ma pensée, vous m'abandonniez dans une si belle entreprise, seul je...considérerai comme leur véritable représentant, et connaissant vos cahiers, connaissant l'accord parfait qui existe entre le vœu le plus général de... | |
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