 | Georges Louis Leclerc comte de Buffon - Natural history - 1800 - 480 pages
...tête n'étant plus soutenue par la force des muscles , pencha pour trouver un appui sur le gazon. Tout fut effacé , tout disparut , la trace de mes pensées...interrompue, je perdis le sentiment de mon existence : ce sommeil fut profond , mais je ne sais s'il fut .de longue durée , n'ayant point encore l'idée... | |
 | Jean François Michel Noël - 1808 - 624 pages
...tête n'étant plus soutenue parla force des muscles, pencha pour trouver un appui sur le gazon. Tout fut effacé , tout disparut. La trace de mes pensées...interrompue , je perdis le sentiment de mon existence. Ce sommeil fut profond ; mais je ne sais s'il fut de longue durée , n'ayant point encore l'idée du... | |
 | French literature - 1821 - 480 pages
...LE PREMIER HOMME, TTC. nue par la force des muscles, pencha pour trouver an appui sor le gazon. Tout fut effacé, tout disparut ; la trace de mes pensées...interrompue , je perdis le sentiment de mon existence. Ce sommeil fut profond , mais je ne sais s'il fut de longue durée, n'ayant point encore l'idée du... | |
 | French language - 1821 - 434 pages
...tête, n'étant plus soutenue par la force des muscles, pencba pour trouver un appui sur le gazon. Tout fut effacé, tout disparut. La trace de mes pensées...interrompue, je perdis le sentiment de mon existence. Ce sommeil fut profond; mais je ne sais s'il fut de longue durée, n'ayant point encore l'idée du... | |
 | Sophie Cottin - Exiles - 1823 - 442 pages
...tête, n'étant plus soutenue par la force des muscles, pencha pour trouver un appui sur le gazon. Tout fut effacé, tout disparut. La trace de mes pensées...interrompue, je perdis le sentiment de mon existence. Ce sommeil fut profond ; mais je ne sais s'il fut de longue durée, n'ayant point encore l'idée du... | |
 | Authors - 1824 - 514 pages
...tète, n'étant plus soutenue par la force des muscles, pencha pour trouver un appui sur le gazon. Tout; fut effacé, tout disparut. La trace de mes pensées...interrompue , je perdis le sentiment de mon existence. Ce sommeil fut profond; mais je ne sais s'il fut de longue durée, n'ayant point encore l'idée du... | |
 | Eustache Marie Pierre Courtin - 1832 - 494 pages
...soutenue parla » force des muscles, pencha pour trouver nu appui sur le gazon. Tout fut eff»cé>, > tout disparut ; la trace de mes pensées fut • interrompue ; je perdis le sentiment de v mon existence. » Si l'on explique le sommeil par sea effets apparents , on 'dira que c'est , en... | |
 | Philippe Dufour - Personality - 1833 - 442 pages
...liin'r ilos '• s /u.jicli.'i^our trouver un appui suc le gazon. Tout fut effacé, tout disparut, ta trace de mes pensées fut interrompue, je perdis le sentiment de mon existence ; ce sommeil fut profond, mais je ne sais s'il fut de longue durée n'ayant pas encore Vidée du temps... | |
 | François Noel - 1835 - 596 pages
...tête, n'étant plus soutenue par la force des muscles , pencha pour trouver un appui sur le gazon. Tout u Ce sommeil fut profond , mais je ne sais s'il fut de longue durée, n'ayant point encore l'idée du... | |
 | Claudius Berard - French language - 1838 - 338 pages
...tête n'étant plus soutenue par fo force des muscles, pencha pour trouver un appui sur le gazon. Tout fut effacé ; tout disparut. La trace de mes pensées...interrompue, je perdis le sentiment de mon existence. Ce sommeil fut profond ; mais je ne sais s'il fut de longue durée, n'ayant point encore l'idée du... | |
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Tout fut effacé, tout disparut. La trace de mes pensées fut interrompue, je perdis le sentiment de mon existence. Ce sommeil fut profond ; mais je ne sais s'il fut de longue durée, n'ayant point encore l'idée du temps, et ne pouvant le mesurer. 
