Inventaire des archives de la cour féodale de Brabant, Volume 1Hayez, 1870 - 556 pages |
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Acte du relief Acte du retrait Acte du transport août avril Beersel Berghes Bois-le-Duc Bouchout Braine-l'Alleud Bruxelles Castille cents livres chambre des comptes chevalier ci-dessus conseil de Brabant contrat de mariage cour féodale Croy dame décembre devant le notaire douaire duc de Bourgogne duc de Brabant dudit écoutète Écriture ende enregistré féodale de Brabant feudataires feuillets environ février fief fief de Brabant florins forêt de Soigne Gaesbeek Glimes greffier Grimberghe Guillaume Henri hommes de fief investissant Jean janvier Jeanne juillet juin justice haute Kerpen l'engagement l'indication des années ladite ledit Lettres patentes Louvain Marguerite mars Mérode messire Jean moyenne et basse novembre octobre patentes de Charles patentes de Philippe Pays-Bas Philippe le Bon prince profit Registre des années Registre intitulé registre nº Registre portant l'indication rente héréditaire sentence septembre sire Sombreffe suite du décès terre Vanden Vander Vilvorde vº du registre Walhain Wemmel Wittham
Popular passages
Page xliii - Monstrelet rapporte quelque part que le comte de Flandre Louis de Mâle en usa ainsi à l'égard de Jean III, duc de Brabant, quand il releva de ce prince la seigneurie de Malines. Plus lard, à la cour féodale, on dispensa le vassal de se mettre à genoux et d'ôter ses éperons. Il se tenait debout, joignait les mains et inclinait la tête vers l'épaule gauche du lieutenant, en signe de soumission. Après quoi, celui-ci ou bien un homme de fief ou le greffier l'interpellait et prononçait la...
Page xliii - Anciennement, tout vassal noble qui se présentait pour relever son fief, et conséquemment pour rendre foi et hommage, devait être tête nue, sans armes, ni éperons. Il pliait les genoux, mettait ses mains dans celles du suzerain, puis il baisait celui-ci sur la joue. C'était le baiser de paix. Un grand nombre de chartes, qui reposaient au château de Vilvorde, en faisaient mention : mediante osculo pacis, y lisait-on.
Page xxvi - II ne fut jamais expressément défendu par une loi, mais, » comme le remarque M. Vander Schelling, une loi de » l'espèce ne fut pas nécessaire. Puisqu'il fallait que les » juges admissent les parties en champ clos , ce fut assez » que les juges ne considérassent plus le duel comme un » mode de preuve raisonnable, pour que les duels judiciaires » tombassent en désuétude : on. commença par ne plus » ordonner le duel , et on finit par ne plus le permettre. » Le résultat fut atteint quand...
Page x - ... l'heure de midi, où le greffier de l'ancien tribunal sera tenu de se trouver; et, après avoir fait fermer les portes des salles , greffes , archives et autres dépôts de papiers ou minutes , y feront apposer en leur présence le scellé par le secrétaire-greffier. Pour la sûreté des dépôts , ils requerront en outre du commandant , soit des gardes nationales , soit des troupes de ligne , le détachement nécessaire à la garde des portes extérieures.
Page 288 - Phelippe par la grâce de dieu duc de Bourgoingne, de Lothier, de Brabant et de Lembourg, conte de Flandres, d'Artois, de Bourgoingne palatin...
Page 135 - Gilles; qu'il lui donne son missel, un calice et d'autres ornements; qu'on y dira chaque malin, au point du jour, une messe pour le repos de son âme et de celles de ses omis; qu'on annoncera cette messe par la cloche paroissiale, afin que ceux qui travaillent ou qui veulent voyager puissent y assister, etc. V, fol. 111 v«.