Documents officiels recueills dans la secret́airerie privée de Maximilien: Histoire de l'intervention franc̜aise au Mexique, Volumes 1-2Ve Pairt et fils, 1869 - Mexico |
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acte adressée affaires étrangères Aguascalientes anglais Arrangoiz aurait avaient Bazaine belge Billault capitale choses clergé colonel Dupin commandant commissaires alliés Comonfort comte Russell conduite Convention de Londres d'Orizaba date déclaration décret dépêche devait Drouyn de Lhuys forces Fuente Gabriac général Almonte général en chef général Forey général Prim gouver gouvernement impérial gouvernement mexicain gouverneur Guanajuato guerre Hidalgo hommes intérêts Isturitz j'ai Jalisco Jecker José journal jours Juarez Kératry l'Angleterre l'archiduc l'armée française l'empire l'Espagne l'expédition l'Intervention légation lettre lord Russell Lorencez manière Maximilien ment Mexico Mexique ministre des affaires Miramar Miramon mois motifs n'avait n'était négociations nement officiers Orizaba paiement passé pays personne piastres populations pouvait président prince protection Puebla puissances Querétaro question réactionnaire réclamations refus réponse République rien Rouher S. M. l'Empereur s'était Saligny serait seulement siége de Puebla signature Signé situation soldats Soledad somme soussigné Tamaulipas Tampico tion troupes trouve Veracruz vernement Zacatecas Zuloaga
Popular passages
Page 85 - Les hautes parties contractantes s'engagent à ne rechercher pour elles-mêmes, dans l'emploi des mesures coercitives prévues par la présente convention, aucune acquisition de territoire, ni aucun avantage particulier, et à n'exercer, dans les affaires intérieures du Mexique , aucune influence de nature à porter atteinte au droit de la nation mexicaine de choisir et de constituer librement la forme de son gouvernement.
Page 217 - Bonaparte s'est placé hors des relations civiles et sociales, et que, comme ennemi et perturbateur du monde, il s'est livré à la vindicte publique. Elles déclarent en...
Page 83 - Grande-Bretagne et d'Irlande, se trouvant placées, par la conduite arbitraire et vexatoire des autorités de la République du Mexique, dans la nécessité d'exiger de ces autorités une protection plus efficace pour les personnes et les propriétés de leurs sujets, ainsi que l'exécution des obligations contractées envers Elles par la République du Mexique, se sont entendues pour conclure entre elles une convention dans le but de combiner leur action commune, et, à cet effet, ont nommé pour...
Page 145 - A ces grands intérêts se joint encore un but également important, et qui tient à cœur aux deux souverains, c'est de faire cesser l'anarchie dans l'intérieur de la France, d'arrêter les attaques portées au trône et à l'autel, de rétablir le pouvoir légal, de rendre au roi la sûreté et la liberté dont il est privé, et de le mettre en état d'exercer l'autorité légitime qui lui est due.
Page 97 - Sa Majesté l'Empereur des Français, Sa Majesté la reine d'Espagne et Sa Majesté la reine de la Grande-Bretagne et d'Irlande s'engagent à arrêter, aussitôt après la signature de la présente convention, les dispositions nécessaires pour envoyer sur les côtes du Mexique des forces de terre et de mer combinées...
Page 222 - La guerre ne peut être décidée que par un décret du corps législatif, rendu sur la proposition formelle et nécessaire du roi , et sanctionné par lui.
Page 148 - Majesté très chrétienne la sûreté nécessaire pour qu'elle puisse faire sans danger, sans obstacle, les convocations qu'elle jugera à propos, et travailler à assurer le bonheur de ses sujets, suivant ses promesses et autant qu'il dépendra d'elle ; 3°...
Page 360 - ... hommes, y compris la légion étrangère. Ce corps, pour sauvegarder les intérêts qui ont motivé l'intervention, restera temporairement au Mexique dans les conditions réglées par les articles suivants. ART. 2. Les troupes françaises évacueront le Mexique au fur et à mesure que SM l'Empereur du Mexique pourra organiser les troupes nécessaires pour les remplacer. ART. 3. La légion étrangère au service de la France, composée de...
Page 229 - République, sans vouloir comprendre les avantages qu'il aurait pu retirer, en cette occasion, d'une conduite plus prudente et plus modérée, crut n'avoir rien de mieux à faire, pour consolider sa situation, que de renouveler ces édits de proscription qui rappellent si tristement les plus mauvais jours des révolutions européennes. Cette fâcheuse résolution fut notifiée aux commissaires des trois hautes puissances. Les plénipotentiaires de...