Histoire politique et littéraire de la presse en France, Volume 7Poulet-Malassis et De Broise, 1861 - French newspapers |
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10 août abonnés Actes des Apôtres aristocrates articles assez assignats aurait Barnave Bertin Bonaparte Bulletin c'était Camille Camille Desmoulins censeur chose citoyen Constitution coup courage Courrier décret démocratie royale Deschiens despotisme dire Directoire donner Durosoy écrivains épigraphe esprit feuille Fiévée Fontanes Fréron fructidor Garat Gazette général gens Geoffroy gloire gouvernement hommes j'ai jacobins jamais jour Journal de l'Empire Journal des Débats jugement l'abbé Royou l'Ambigu l'Ami l'Année littéraire l'Assemblée nationale l'empereur l'esprit l'opinion publique lecteurs législateurs lettres liberté littéraire lois Louis Louis XVI malheurs Marat ment Mercure Messieurs mille ministre Mirabeau Modérateur monarchie Moniteur Montjoye n'avait Napoléon nation nouvelles numéro parler patriotisme Peltier pensée personne peuple philosophie police politique premier consul presse principes prospectus public qu'un raison rédacteurs rédaction républicain République reste Révolution révolutionnaire rien Rivarol royalistes sentiments serait seul sorte souscripteurs Suard succès Suleau talent Target tête teur tion titre trône trouve vérité
Popular passages
Page 551 - devant le tyran, et qu'il est aussi dangereux d'encourir sa faveur que de mériter sa disgrâce, l'historien parait, chargé de la vengeance des peuples. C'est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l'empire; il croit inconnu auprès des cendres de
Page 258 - Les peuples, une fois accoutumés à des maîtres, ne sont plus en état de s'en passer. S'ils tentent de secouer le joug, ils s'éloignent d'autant plus de la liberté que, prenant pour elle une licence effrénée, qui lui est opposée, leurs révolutions les livrent presque toujours à des séducteurs qui ne font qu'aggraver leurs chaînes (1).
Page 296 - i Les peuples, une fois accoutumés à des maîtres, ne sont plus en état de s'en passer. S'ils tentent de secouer le joug, ils s'éloignent d'autant plus de la liberté que, prenant pour elle une licence effrénée, qui lui est opposée, leurs révolutions les livrent presque toujours à des séducteurs qui ne font qu'aggraver leurs chaînes
Page 550 - elle se serve : entre ses mains tout est foudre, tout est tempête, tout est Alexandre, tout est César. Elle peut faire par un enfant, par un nain, par un eunuque, ce qu'elle a fait par les géants, par les héros, par les hommes extraordinaires. » — « Les imbéciles! dit-il, un nain, un eunuque, cela peut-il
Page 50 - Air : Quand la Mer Rouge apparut. C'est un coup que l'on reçoit Avant qu'on s'en doute; A peine on s'en aperçoit, Car on n'y voit goutte. Un certain ressort caché, Tout à coup étant lâché, Fait tomber, ber, ber, Fait sauter, ter, ter, Fait tomber Fait sauter, Fait voler la tête; C'est bien plus honnête. Les
Page 552 - Si le rôle de l'historien est beau, il est souvent dangereux ; mais il est des autels, comme celui de l'honneur, qui, bien qu'abandonnés, réclament encore des sacrifices : le Dieu n'est point anéanti parce que le temple est désert. Partout où il reste une chance à la fortune, il n'ya point
Page 371 - Vous pouvez d'un seul coup sauver la République, deux cent mille têtes peut-être qui sont attachées à son sort, et conclure la paix en vingt-quatre heures. Faites arrêter les émigrés, détruisez l'influence des étrangers ; si vOUS avez besoin de force, appelez les armées ; faites briser les presses des journaux vendus à
Page 297 - et celle même de toutes les villes du royaume, ont encore bien des crimes à faire avant d'égaler les sottises de la cour. Tout le règne actuel peut se réduire à quinze ans de faiblesse et à un jour de force mal employée. » Dans tout le cours de ce journal,
Page 296 - s'en passer. S'ils tentent de secouer le joug, ils s'éloignent d'autant plus de la liberté que, prenant pour elle une licence effrénée, qui lui est opposée, leurs révolutions les livrent presque toujours à des séducteurs qui ne font qu'aggraver leurs chaînes
Page 253 - On a renversé, dit-il, les fontaines publiques, sous prétexte qu'elles accaparaient les eaux, et les eaux se sont perdues. » Voici quelques pensées que ne désavoueraient ni un Machiavel ni un Montesquieu : La populace croit aller mieux à la liberté quand elle attente à