Journal de la ville, Issues 1-62chez Maradan., 1789 |
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7 liv abfolu adreffer Affemblée affez affure ainfi André-des-Arts Août arrêté ASSEMBLÉE NATIONALE auffi avoient avoit bafe befoins c'eft c'eſt Caiffe caufe Citoyens Comité commencer au premier Comte Confeil confidération Conftitution décret Députés difcours difcuffion District doit toujours commencer efprits eſt étoient étoit fages fanction Fayette fe font feconde femble feroit fervice fervir feul fieur fimple foir foit fommes font priées fous fouvent fufpenfif fuivant fujet Hôtel de Château Hôtel de Château-vieux inférer quelques morceaux JEAN-PIERRE-LOUIS DE LUCHET Journal jufqu'à juftice L'abonnement doit l'Affemblée Nationale laiffer lettre liberté Libraire Loix maniere MARADAN Meffieurs Membres millions Miniftre Mirabeau Monfieur motion Municipalité n'eft Nation néceffaire néceffité NYON obfervations Officiers paffer paroît patriotique penfe Perfonnes qui voudront plufieurs pouvoir préfent Préfident prefque premiere propofa Provinces puiffe queftion raifon refte refufer rue Saint rue Saint-André-des-Arts s'abonne s'eft Sanction royale Séance Septembre 1789 tems tion toyens trente numéros veto voudront faire inférer
Popular passages
Page 292 - La liberté consiste à pouvoir faire tout ce qui ne nuit pas à autrui; ainsi l'exercice des droits naturels de chaque homme n'a de bornes que celles qui assurent aux autres membres de la société la jouissance de ces mêmes droits; ces bornes ne peuvent être déterminées que par la loi.
Page 171 - Le principe de toute souveraineté réside essentiellement dans la Nation. Nul corps, nul individu ne peut exercer d'autorité qui n'en émane expressément.
Page 292 - La libre communication des pensées et des opinions est un des droits les plus précieux de l'homme : tout citoyen peut donc parler, écrire, imprimer librement, sauf à répondre de l'abus de cette liberté dans les cas déterminés par la loi.
Page 188 - Lucerne, aucuns deniers pour annales ou pour quelque autre cause que ce soit; mais les diocésains s'adresseront à leurs évêques pour toutes les provisions de bénéfices et dispenses, lesquelles seront accordées gratuitement, nonobstant toutes réserves, expectatives et partages de mois , toutes les églises...
Page 188 - Que toutes les municipalités du royaume, tant dans les villes que dans les campagnes, veilleront au maintien de la tranquillité publique, et que, sur leur simple réquisition, les milices nationales, ainsi que les maréchaussées, seront assistées des troupes, à l'effet de poursuivre et d'arrêter les perturbateurs du repos public...
Page 236 - Le gouvernement français est un gouvernement monarchique. Il n'ya pas en France d'autorité supérieure à la loi. Le roi ne règne que par elle ; et quand il ne commande pas au nom de la loi, il ne peut exiger obéissance.
Page 188 - ... lieux du royaume , elle puisse remonter à la source des désordres, et pourvoir à ce que les chefs de ces complots soient soumis à des peines exemplaires qui répriment efficacement de pareils attentats; «Que tous attroupemens séditieux, soit dans les villes, soit dans les campagnes, même sous prétexte de chasse, seront incontinent dissipés par les milices nationales...
Page 292 - La loi n'a le droit de défendre que les a&ions nuifîbles à la fociété. Tout ce qui n'eft pas défendu par la loi ne peut être empêché, &: nul ne peut être contraint à faire ce qu'elle n'ordonne pas.
Page 232 - Nous avons reçu la lettre que vous nous avez fait l'honneur de nous écrire le...
Page 80 - Me voilà enfin éclairé. Venez, venez , monfieur , fans délai , reprendre vos droits à ma confiance , qui vous eft acquife à jamais. Mon cœur vous eft connu. Je vous attends avec toute ma nation ., & je partage bien fîncerement fon impatience.