Mémoires de M. Dupin, Volume 2H. Plon, 1856 |
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actes affaires août attaques aurait avaient baron Louis Bravo budget c'était Casimir Périer Chambre des députés Charles X Charte Charte de 1830 chose citoyens clubs collègues Commission constitution constitutionnelle d'approbation déclare défendre demande dévouement dire discours discussion duc d'Orléans Dupin aîné électeurs élections électoral émeutes eût février finances garde des sceaux garde nationale gauche général Lafayette général Lamarque général Sébastiani gouvernement guerre Guizot hommes j'ai j'avais j'étais jésuites jour journaux justice l'armée l'Assemblée l'État l'opposition l'ordre Laffitte laisser légal lettre liberté liste civile lois Louis Blanc Majesté majorité maréchal Martignac Mauguin membres ment Messieurs militaire ministres Montalivet mouvement n'avait nation Nièvre Odilon Barrot orateurs ordonnance parle parole pays personne pétition peuple politique pouvoir Président du Conseil presse prince principe proposition public publique question reste révolution de Juillet rien Rigny royale séance sentiment serait session seulement société sorte tion très-bien tribune trouve vive voix vote voulait
Popular passages
Page 492 - Le gouvernement de la république française reconnaît que la religion catholique, apostolique et romaine est la religion de la grande majorité des citoyens français. Sa Sainteté reconnaît également que cette même religion a retiré et attend encore en ce moment le plus grand bien et le plus grand éclat de l'établissement du culte catholique en France et de la profession particulière qu'en font les consuls de la république.
Page 117 - ... mais elle est positive dans son résultat ; car elle fait du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux, de votre peuple , la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire , notre loyauté , notre dévoûment nous condamnent à vous dire que ce concours n'existe pas.
Page 33 - Parbleu, je te saurai, Maudit jeu de trictrac, ou bien je ne pourrai. Tu peux me faire perdre, ô fortune ennemie ! Mais me faire payer, parbleu, je t'en défie : Car je n'ai pas un sou.
Page 117 - Cette intervention devait être, elle est en effet, indirecte, sagement mesurée, circonscrite dans des limites exactement tracées, et que nous ne souffrirons jamais que l'on ose tenter de franchir; mais elle est positive dans son résultat, car elle fait, du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques.
Page 115 - Si de coupables manœuvres suscitaient à mon gouvernement des obstacles, que je ne peux pas, que je ne veux pas prévoir, je trouverais la force de les surmonter dans ma résolution de maintenir la paix publique, dans la juste confiance des Français et dans l'amour qu'ils ont toujours montré pour leur roi.
Page 84 - Dupin aîné propose de statuer que le crédit demandé par l'article en discussion sera accordé sauf liquidation , et à la charge par le ministre des finances d'exercer devant les tribunaux une action en indemnité contre l'ancien ministre, qui a ordonné la dépense sans crédit préalable.
Page 27 - Ses yeux ne demandent aux. dépositaires de votre pouvoir que la vérité de vos bienfaits. Ses plaintes n'accusent que le système déplorable qui les rendit trop souvent illusoires.
Page 494 - La présente Charte et tous les droits qu'elle consacre demeurent confiés au patriotisme et au courage des gardes nationales et de tous les citoyens français . 67.
Page 160 - Dans l'accomplissement de cette noble tâche, c'est aux Chambres qu'il appartient de me guider. « Tous les droits doivent être solidement garantis , toutes les institutions nécessaires à leur plein et libre exercice doivent recevoir les développements dont elles ont besoin. « Attaché de cœur et de conviction aux principes d'un gouvernement libre , j'en accepte d'avance toutes les conséquences.
Page 152 - France, en ce moment réunis à Paris, ont exprimé le désir que je me rendisse dans cette capitale pour y exercer les fonctions de lieutenant général du royaume. Je n'ai pas balancé à venir partager vos dangers, à me placer au milieu de votre héroïque population, et à faire tous mes efforts pour vous préserver de la guerre civile et de l'anarchie.