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du Roule; d'autres sont préparées rue de Charonne, rue de Poissy, aux Bernardins et rue de Vaugirard. Le budget dé toute cette partie s'est élevé de 250,000 à 880,000 fr., et les travaux qui s'y rapportent coûtent près de 100,000 fr. par année. Les colléges, dont la ville est également chargée, ont été successivement améliorés et agrandis. Un nouvel établissement de ce genre est projeté, et le conseil municipal est saisi de cette affaire, dont l'exécution est vivement réclamée par le ministre commé par la population.

L'augmentation de la garde municipale a nécessité pour la ville, chargée du casernement, de nouveaux sacrifices; plusieurs casernes ont été réparées ou augmentées. Les travaux faits à celles des Célestins coûteront 4 million 800,000 fr. La dépense totale sera de 4 millions. Ainsi la ville aura contribué au succès d'une mesure également utile à la sécurité des citoyens et au maintien de l'ordre public.

» Le système des prisons a été l'objet de nombreux sacrifices. De grands travaux ont eu lieu à la maison de dépôt des condamnés, à la Conciergerie, à Saint-Lazare, au dépôt de VillersCotterets. Les prisons des jeunes détenus et de la dette ont été términées. Nous allons élever une autre prison destinée à remplacer la Force : elle se composera de 1,200 cellules, et la dépense sera de plus de 4 millions.

Les hôpitaux n'ont pas été négligés: malgré quelques suppressions à l'HôtelDieu pour l'ouverture du nouveau quai, les divers établissements se sont aug. mentés de 350 lits. Le nombre total est encore loin de suffire aux besoins d'une population toujours croissante. Un nouvel hôpital est projeté pour le quartier Poissonnière, voté depuis trois ans par le conseil général des hospices; le conseil municipal en est saisi en ce moment. Si, comme tout le fait espérer, il est adopté, ce sera un véritable bienfait pour une population nombreuse qui, dans tout l'espace compris entre l'hôpital Beaujon et celui de SaintAntoine, sur la rive droite, est privé de tout établissement de charité. Ce sera l'accomplissement d'un ancien projet adopté en principe, il y a vingt-cinq ans, et qui devait être exécuté sur le lieu même où il est proposé aujourd'hui.

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⚫ Deux mesures arrêtées, il y quelques jours, par le conseil du Montde-Piété viennent de compléter les dispositions déjà adoptées, il y a deux ans, dans le but de conserver à cette institution le caractère de philanthropie qu'elle doit avoir: Le droit de prisée sera désormais à la charge de l'administration, et le décompte des intérêts se fera par quinzaine au lieu de se faire par mois. Ce sera un soulagement de plus de 200,000 fr. pour les classes indigentes qui ont recours au Mont-dePiété.

» Les caisses d'épargne contiuuent à témoigner des habitudes d'ordre et d'économie qui, chaque année, pénètrent plus profondément dans la population. Nous trouvons que les nouveaux livrets, en 1842, se sont élevés à 36,688 et qué les versements ont été de 39 millions 189,612 fr. ce qui donne sur l'époque correspondante de 1841 une augmentation de 3,583 pour les livrets, et de 3 millions 400,235 fr. sar les versements; mais il y a eu 4 millions 586,000 fr, remboursés de plus en 1842.

» Quant à notre situation financière, elle n'est pas moins favorable que celle de l'année dernière. Les produits de l'octroi pour 1842 seront, à 500,000 fr. à peu près les mêmes qu'en 1841. Ces produits, au 20 de ce mois, s'élevaient à 29,634,116 fr. Les 500,000 fr. de diminution portent particulièrement sur les combustibles, les matériaux et les bois de construction. L'état de la Seine, dont les eaux ont été si basses cette année, n'a pas été sans influence à cet égard. Il y a eu augmentation sur les huiles et sur les bières ainsi que sur les fourrages.

On remarque aussi quelques accroissements, mais peu importants, dans la consommation des bestiaux.

La valeur des exportations de la

douane de Paris était montée en 1841, pour les onze premiers mois, au chiffre de 138 millions. Il était difficile de penser que cette situation pourrait se maintenir irrévocablement; car il est de la nature du commerce d'être sou mis à des fluctuations. La crise financière des Etats-Unis et l'élévation du tarif de ce pays, qui a eu lieu ceite année, nous ont fait ressentir leur effet. Nous avons une diminution de 11 millions sur les exportations ordinaires, et de 13 millions sur les exportations avec primes. Les tissus de soie figurent seuls dans cette diminution pour 6 milJions et demi. La somme totale des onze premiers mois de 1842 n'est donc que de 144,599,730 fr.; ce qui est un chiffre encore supérieur à celui des époques antérieures à 1830, où les exportations de l'année entière n'ont jamais dépassé 80 millions.

»En résumé, Messieurs, plus on etudie la situation de Paris, comme celle de la France tout entière, et plus on reste pénétré d'admiration pour la sagesse de nos institutions et de recon. naissance pour le souverain magnanime que la révolution de juillet nous a donné, et que les épreuves les plus terribles, les douleurs les plus cruelles de père de famille ne sauraient détourner de la noble tâche qu'il s'est imposée. Depuis bientôt douze années, les plus grands événements se sont passés el accumulés; d'immenses malheurs ont eu lieu; ils n'ont servi qu'à mieux faire éclater l'amour de la nation pour notre roi, le concours et l'union de tous les bons citoyens, la grandeur et la force de notre gouvernement. »

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25. Catastrophe du 8 mai. Procès intenté à l'administration du chemin

de fer de Versailles (rive gauche). Nous extrayons de ce procès les interrogatoires des témoins, pour ajouter aux détails que nous avons déjà donnés sur cette déplorable affaire.

7 chambre. Tribunal correctionnel. Présidence de M. Perrot de Chézelles.

Dans l'auditoire se trouve un grand nombre de personnes en deuil, qui sont ou parties civiles comme parentes des victimes de l'épouvantable événement du 8 mai, ou témoins cités dans la cause.

Quelques-unes de ces personnes sont elles-mêmes blessées et ne peuvent se soutenir qu'à l'aide de béquilles.

Plusieurs hommes de peine appor. tent du greffe l'une des roues de la locomotive appelée le Matthieu-Murray. Cette roue est extrêmement pesante, on n'a pu lui faire monter qu'avec difficulté l'escalier et les degrés qui séparent l'estrade du tribunal de l'auditoire public. On apporte ensuite l'essieu dont les deux extrémités sont fracturées. Le modèle en petit de la locomotive ellemême, montée sur quatre roues, est déposé sur le bureau des pièces de conviction.

Le nombre total des victimes est de cent soixante-quatre, dont cinquantecinq ont perdu la vie et cent neuf, blessées plus ou moins grièvement, out survécu.

Trente-neuf cadavres ont été relevés sur le lieu même de l'accident; sept d'entre eux étaient susceptibles d'être reconnus: on les a transportés à la Morgue; ce sont Messieurs :

Droitecourt, négociant, demeurant à Paris, rue Mauconseil, 24;

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Peysselon et la dame Peysselon, son épouse, de Lyon, demeurant à Paris, rue des Bons-Enfants, 19;

Antoine Greffeuille, rue de Charonne, 23, à Paris ;

La dame Martin, rue Saint-Dominique-Saint-Germain, 21, à Paris;

Henri Bouchard, élève de l'École des Beaux-Arts, rue du Pot-de-Fer, 4, à Paris;

Ces six cadavres ont été reconnus, le septième ne l'a pas été; c'était celui d'un homme paraissant avoir trentecinq ans ; il portait un tatouage représentant un saint-sacrement, les lettres A. D., et le millésime 1825.

Les trente-deux autres cadavres étaient réduits à l'état de carbonisation le plus avancé. Les médecins ont eu á s'expliquer sur trente-un. La mort, chez les uns, était la suite d'un écrase. ment du corps; chez les autres, le résultat de l'asphyxie par la brûlure.

Sur ces trente-deux cadavres, dix ont pu être reconnus, malgré l'horrible état où ils étaient réduits; ce

sont :

M. Dumont-d'Urville, contre-amiral, demeurant à Paris, rue des PetitsAugustins, 42;

Mme Dumont d'Urville; Jules Dumont d'Urville, âgé de quatorze ans ;

Veuve Mignot, rue Mauconseil, 24 ; Philippe Lepontois, âgé de quaranteneuf ans, négociant à Lorient;

Charles Lepontois, avocat à Paris; Auguste Lemarié, peintre à Paris; Paul Lefrançois de Driouville, âgé de dix-neuf ans, demeurant à Saint-Germain-en-Laye;

Marie - Henriette Hetzer, âgée de treize ans, rue de la Vieille-Draperie, 19, à Paris;

Louis Kaiser, ébéniste, rue du Cherche-Midi, 33, à Paris;

11 restait vingt-trois cadavres dont l'identité matérielle était devenue impossible à saisir; mais il en est vingt-un dont la présence dans le fatal convoi a été constatée par la découverte d'objets trouvés dans les débris, et dont la disparition est certaine; ce sont:

La dame Troup, des environs de Nancy;

Chavardès, de Béziers, qui accompagnait cette dame;

La demoiselle Elisa Morlet, de Moy (Aisne);

Gosset, concierge des Folies-Dramatiques;

Pierre Bruneau et sa femme ; Adolphe Duranton, de Chailley (Yonne);

Charles de Kytspoter, de Cassel; Louis de Kytspoter, de Cassel; Alphonse Comte, de Cheminat (Isè re);

Emile Toulmouche, âgé de seize

ans;

Paul-François Gouirand, vingt-neuf
ans, commis de commerce à Marseille ;
Auguste Apiau, dix-neuf ans;
Pascal Clément, né à Gap;
Adolphe Sicard, marchand de draps;
Antoine Matheron, dix-neuf ans, né à
Lyon;

Georges, chef des mécaniciens;
Dupin, mécanicien;

Tissier, chauffeur, montés tous trois sur le Mathieu-Murray;

Bontems, mécanicien, monté sur l'E. clair;

Mauviel, conducteur du 5e wagon à frein.

Décès présumés : François Boulet, dix-huit ans, éběniste;

Ann. hist. pour 1842. App.

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Henri-Gilles Gaudrain, rue NotreDame des Champs, 55. — 10 mai; La demoiselle Marie-Catherine-Laure Colas, trente-quatre ans, rue SaintAndré-des-Arts, 61. 19 mai; Albinet père, soixante-quinze ans, rue de la Vieille-Estrapade, 17. — 44 mai;

La dame Albinet, née Cécile Masson, rue Servandoni, 29. - 26 mai; Louis Albinet, soixante ans, rue de la Vieille-Estrapade, 17. — 5 juillet;

La dame Caillée, soixante-dix ans, domiciliée à Tours, demeurant à Paris, cour Batave, 9. — 17 mai;

La dame Louise-Renée Gaudereau, quarante-huit ans, domiciliée à Tours, demeurant à Paris, cour Batave, 9. 2 juin;

Total des décès, cinquante-cinq. Le père du jeune Toulmouche est au nombre des parties civiles, et décline ses nom et prénoms.

Les six prévenus assignés sur mandat de comparution sont :

M. Jules Bourgeois, administrateur délégué du chemin de fer de Versailles par la rive gauche et directeur du service;

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M. Bordet, directeur provisoire: M. Henry, chef du mouvement et chef de gare à Paris;

M. Bricogne, ingénieur civil, directeur du matériel;

M. Lamoninari, chef de gare à Versailles ;

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M. de Milhau, inspecteur du service. Ce dernier a été lui-même blessé; il marche encore avec des béquilles.

Me Liouville, avocat de M. Toulmouche Les parties de Me Jules Favre ont fait citer à l'audience du tribunal, comme civilement responsables, MM. Achille Fould, Usquin, Marguerite et autres, composant le conseil d'administration de la rive gauche. L'assignation a été donnée hier au soir.

Me Bethmont Mes clients n'ont pas reçu d'assignation; plusieurs d'entre eux ne sont venus à l'audience que pour avoir connaissance des débats. M. de Royer, avocat du roi Nous n'avons pas vu l'original.

Me Liouville: La procédure sera régularisée dans la journée.

On fait l'appel de plus de cent témoins, parmi lesquels on remarque MM. Perdonnet, Cave, Clapeyron et Polonceau.

MMes Jules Favre, Paillet, Cremieux, Arago, Maudheux, Desmarets et autres avocats des parties civiles, prennent • place au barreau.

MMes Chaix d'Est - Ange, Dupin, Bethmont et Giraud, sont les défenseurs des prévenus.

L'ordonnance de renvoi prononcée par la chambre du conseil et la procédure précisent les faits suivants :

Le 8 mai, au départ de Versailles, à cinq heures et demie, le convoi devait être remorqué seulement par l'Eclair, locomotive à six roues. Mais à l'instant du départ, l'affluence des voyageurs augmentant, le chef de gare Lamoninari fit ajouter des wagons par derrière et placer en tête de l'Eclair le MathieuMurray, locomotive à quatre roues.

Le convoi partit composé ainsi qu'il suit:

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48 places; trois wagons à frein, de 46 places.

En supposant toutes ces places occupées, ce qui n'a pu être exactement vèrifié, mais ce qui est plus que vraisem. blable, puisqu'on a fait descendre d'un wagon et qu'on a laissé à la gare les enfants de Georges, pour faire place au public, le nombre des voyageurs aurait été de 768, plus les employés de l'administration au nombre de 9.

Le convoi venait de passer sous le pont situé entre la station de Bellevue et la borne portant 8 kilomètres; quel ques secousses réitérées, dont la cause était alors inconnue, jettent une tardive alarme; le Mathieu-Murray franchit encore sans obstacle le passage de niveau qui coupe, la route départementale n° 40, dite du Pavé-des-Gardes; seulement, il atteint et renverse en passant la guérite et la cabane du gaide-bar. rière Carbon; puis il va s'abattre contre le talus de gauche. Sa roue motrice gauche et l'avant de son châssis pénètrent dans le talus. La violence de l'obstacle et du choc arrête subitement le convoi; 'Eclair arrivant derrière de toute la force de sa vapeur contrariée et de l'élan du convoi, mais sans suivre la déviation de gauche qu'a prise le Mathieu Murray, brise les deux essieux du tender de cette première machine, en défonce la caisse, et la projette sur la gauche, hors de la voie, dans l'intérieur de l'angle formé par le croisement de la voie de fer avec la route no 40.

Placé entre la résistance du talus et cette nouvelle secousse, le MathieuMurray se couche sur le flanc droit, sa petite roue de droite dans le fossé, son foyer sur la voie.

L'Eclair, dont les roues gauches, dont la roue de derrière du moins, monte sur cet obstacle, verse à droite de la voie sur le flanc droit; mais le mouvement que reçoit encore sa partie d'arrière, dont la petite roue est enga gée dans le Mathieu-Murray, fait que, dans la dernière position qu'elle prend sur le sol, sa tête est obliquement ramenée dans la direction de Versailles.

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Cependant l'élan s'amortit, le 2o wagon découvert ne franchit qu'incomplètement les machines; son arrièretrain reste suspendu sur elles, tandis que l'avant-train porte en avant, à terre, sur les charbons enflammés qu'ont répandus les foyers renversés des deux machines. Le premier wagon couvert s'élève et se porte en entier sur cette base, qui va devenir un foyer d'incendie. Le deuxième wagon couvert, qui est la quatrième voiture, après avoir enfoncé de sa barre d'attelage la boîte à fumée de l'Eclair, s'intercale encore dans cet échafaudage, dont l'élévation finit par n'être pas moindre de dix métres!

Enfin le poids du convoi lancé pressant toujours avec violence les voitures qui, comme la diligence qui suit, ne parviennent plus à gravir ce sommet placé devant elles, viennent s'écraser pour ainsi dire, contre lui. Les parois se rejoignent, les banquettes intérieures se rapprochent presque entre elles et broient les jambes des voyageurs qu'elles emprisonnent ainsi, non moins que les portières des voitures fermées à clef.

Tout cela se passe avec moins de temps qu'il n'en faut pour le dire. Bientôt les charbons répandus sur le sol communiquent le feu aux voitures amoncelées; la peinture qui les enduit, et, plus encore, les vêtements des victimes, en développent les progrès avec une effroyable rapidité. En dix minutes il a irréparablement envahi tout ce qui est venu toucher son foyer; l'eau bouillante et la vapeur qui s'échappent des machines brisées mêlent leurs ravages à ceux des flammes et produisent les plus horribles blessures.

On ne fut maître du feu qu'à neuf heures du soir.

Le Journal des Débats a publié,

dans son numéro du 10 octobre, un extrait du volumineux rapport des experts; nous en rappelons ici un court résumé:

Le Mathieu-Murray a conservé, jusqu'à sa chute complète, ses deux roues de devant, maintenues par leurs plaques de garde. Quand on a relevé cette machine, ses deux roues se sont retrouvées, l'une sous le Mathieu-Murray, l'autre sur le talus, vis-à-vis la plaque de garde, d'où elle venait de s'échapper.

Mais cette locomotive, avant de franchir le passage de niveau de la route n° 40, avait perdu son essieu, qui s'était ́ brisé de chaque côté à fleur du moyeu des roues, et qui était tombé sur la voie entre les deux rails. Dès que cet essieu eut ainsi été trouvé, quelques heures après le sinistre, on dut attribuer à sa rupture la cause première du désordre dans la marche du convoi. En effet, les experts ont déclaré que l'événement est dû à la rupture de l'essieu droit : de ces faits ils tirent de fortes inductions d'un excès de vitesse qui, en imprimant à la locomotive des oscillations verticales pour lesquelles elle n'a pas été construite, ont déterminé la rupture du

ressort.

Les experts ajoutent qu'à leur avis cet accident a été aggravé par le jeu de la plaque de garde, qui, au lieu d'être limitée, comme à l'ordinaire, à sept ou huit centimètres, a pu baisser à vingthuit centimètres. Ce défaut de construction, auquel il était facile de remédier au moyen d'un point d'arrêt placé entre le dessous de la plaque de garde et le dessus de la boîte à graisse, aurait puissamment concouru à la désorganisation du système.

Il est procédé à l'interrogatoire des prévenus.

M. le président : Bourgeois, vous reconnaissez bien que vous étiez administrateur délégué du service dans la journée du 8 mai, et que vous aviez les fonctions de directeur,

M. Bourgeois : J'étais administrateur de service en ce qui concerne l'administration proprement dite, mais nullement en ce qui concerne la locomotion et la traction. Mes précédents ne m'auraient pas fourni a cet égard les notions nécessaires.

D. N'étiez-vous pas chargé de suppléer le directeur ? R. Je n'ai jamais

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