L'Université catholique, Volume 61838 |
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Abyssinie Aëtius âme anciens apôtres Arméniens assez avaient avons catacombes catholicisme catholique charité Chateaubriand chose chré chrétiens Christ Christianisme ciel civilisation clergé cœur conserver corps crime croix devant Dieu divin doctrine doigt doit donner églises enfans époque évêque force forme François de Sales Geoffroy de Sablé Grecs Grégoire Grégoire VII guerre Hébreux hommes humaine infanticides Jérusalem Jésus Jésus-Christ jour juges Juifs Juilly justice l'âme l'Eglise l'esprit l'histoire l'homme l'in langue latin livre lois long-temps lumière lune main ment Moïse monde morale mort moyen âge nation nature nisme pable païenne pape parole passé passions pensée père peuple philosophie politique pontife porte pouvoir premier prêtres primitive principe prophètes protestantisme puissance raison Ranke réforme religieux religion reste révélation révolution romaine Rome sacré saint saint Paul sance science Seigneur semble sentiment sera seul siècle social société soleil Solesme sorte temple terre teur tion tours trouve vérité Villèle
Popular passages
Page 44 - Cependant, mes actions vont hausser après le départ de M. de Montmorency. J'aperçois déjà les symptômes d'une faveur à venir. Je réussirai surtout si vous m'écrivez et si on sait que je suis votre homme: car, tout en trouvant quelque chose à redire à votre prudence, on a la plus haute idée de votre capacité. En vous priant de m'écrire, dans votre intérêt et dans le mien, je ne vous engage pas à grand'chose, car à peine aurai-je le temps de recevoir une lettre de vous.
Page 169 - Israélites devaient apprendre par cœur. Jamais nulle ode grecque ou latine n'a pu atteindre à la hauteur des Psaumes. Par exemple , celui qui commence ainsi, Le Dieu des dieux, le Seigneur a parlé, et il a appelé la terre ' , surpasse toute imagination humaine.
Page 170 - Enfin il ya autant de différence entre les poètes profanes et les Prophètes qu'il y en a entre le véritable enthousiasme et le faux. Les uns, véritablement inspirés, expriment sensiblement quelque chose de divin ; les autres, s'efforçant de s'élever au-dessus d'eux-mêmes, laissent toujours voir en eux la faiblesse humaine.
Page 228 - Mais voyez derechef ce petit poupon appasté des caresses maternelles, comme de son costé il coopère à cette union d'entre sa mère et lui ; car il se serre aussi et se presse tant qu'il peut par luy-mesme sur la poitrine et le visage de sa mère, et semble qu'il se veuille tout enfoncer et cacher dans ce sein agréable duquel il est extrait.
Page 94 - Vous ferez tout ce qu'auront dit ceux qui président au lieu que le Seigneur aura choisi, et tout ce qu'ils vous auront enseigné » Selon sa loi, et vous suivrez leurs avis, sans vous détourner ni à droite ni à gauche.
Page 169 - ... tantôt ce prophète a toute la douceur et toute la tendresse d'une églogue dans les riantes peintures qu'il fait de la paix ; tantôt il s'élève jusqu'à laisser tout au-dessous de lui. Mais qu'y at-il, dans l'antiquité profane, de comparable au tendre Jérémie déplorant...
Page 172 - ... assez bien préparées pour le lire avec fruit. Je ne prétends pas dire que cette réserve n'a commencé qu'au temps de ces hérétiques : il faudrait faire une exacte recherche pour pouvoir fixer le commencement de cette discipline.
Page 41 - ... de faire, relativement à l'Espagne, sera que la France étant la seule puissance qui doive agir par ses troupes, elle sera seule juge de cette nécessité. — En résumé, les plénipotentiaires français ne doivent pas consentir à ce que le congrès prescrive la conduite de la France à l'égard de l'Espagne. Ils ne doivent point admettre de secours achetés par des sacrifices pécuniaires ni par le passage de troupes étrangères sur notre territoire ; ils tendront à faire considérer la...
Page 258 - Mon royaume n'est pas de ce monde ; si mon royaume était de ce monde, mes serviteurs auraient combattu pour que je ne fusse pas livré aux Juifs ; mais maintenant mon royaume n'est pas d'ici-bas.
Page 43 - ... à voir si vous ne devez pas saisir une occasion, peut-être unique, de replacer la France au rang des puissances militaires, de réhabiliter la cocarde blanche dans une guerre courte, presque sans danger, vers laquelle l'opinion des royalistes et de l'armée vous pousse aujourd'hui fortement.