Histoire de la civilisation française: Depuis les origines jusqu'à la FrondeA. Colin, 1901 - France |
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abbés appelle Arabes armes assemblées avaient barbares barons bourgeois Bourgogne c'est-à-dire c'était Capétiens Carolingiens César Charlemagne Charles le Gros Charles VII château chef chevaliers chrétiens cité civile civilisation classes clercs clergé Clovis commence comte concile Croisades Dieu dieux domaine royal Druides duché ecclésiastiques églises empereurs esclaves États généraux évêques féodal feudataires fief française franque gallo-romaine Gaule Gaulois Germains grec guerre Hist hommes libres impôts institutions juges justice l'ancienne l'Église l'empereur l'Empire l'époque l'évêque laïques langue latin Louis IX Louis VII Louis XI manses ment Mérovingiens midi militaire monastères moyen âge n'était nations nobles noblesse nord Normandie pape pays paysans peuple Philippe le Bel Philippe-Auguste pouvait premiers Capétiens presque prêtres prévôts prince propriétaire provinces régime féodal religieux reste revenus Robert rois romain Rome royauté saint Louis seigneurs serf seulement souvent souverain surtout suzerain terre tiers état tion Toulouse tribunaux vassal vilains villes Wisigoths xe siècle XIIe siècle
Popular passages
Page 589 - ... tout ce que l'on peut croire du droit des peuples et de celui des rois, qui ne s'accordent jamais si bien ensemble que dans le silence.
Page 571 - Je lui promis d'employer toute mon industrie et toute l'autorité qu'il lui plaisait me donner pour ruiner le parti huguenot, rabaisser l'orgueil des Grands, réduire tous ses sujets en leur devoir et relever son nom dans les nations étrangères au point où il devait être1.
Page 487 - C'est une vraie geôle de jeunesse captive : on la rend débauchée, l'en punissant avant qu'elle le soit. Arrivez-y sur le point de leur office, vous n'oyez que cris, et d'enfants suppliciés, et de maîtres enivrés de leur colère. Quelle manière, pour éveiller l'appétit envers leur leçon, à ces tendres âmes, et craintives, de les y guider d'une trogne effroyable, les mains armées de fouets...
Page 365 - Je te dirai d'abord que le Père, le Fils et le Saint-Esprit sont trois en une seule personne. Comme le monde a été perdu par la femme , il faut- aussi qu'il soit régénéré par elle. C'est pourquoi, prends la mère, place-la avec ses huit fils dans un lit; surveille-la; etqu'elle fasse rigoureusement pénitence, jusqu'à ce qu'elle soit lavée de tous ses péchés.
Page 586 - ... lieux des provinces s'enquérir des mœurs des officiers de justice et des finances, voir si les impositions se lèvent conformément aux ordonnances et si les receveurs n'y commettent pas d'injustices en vexant les peuples, découvrir la façon avec laquelle ils exercent leurs charges, apprendre...
Page 312 - On me conta la façon dont mon père, dans son enfance, fut guéri de la fièvre. Le matin, avant le jour, on le conduisit à la chapelle du saint qui en guérissait. Un forgeron vint en même temps, avec sa forge, ses clous, ses tenailles. Il alluma son fourneau, rougit...
Page 586 - Je crois, écrit-il dans le chapitre où il traite des réformes à apporter à l'administration de la justice, je crois qu'il sera très utile d'envoyer souvent dans les provinces des conseillers d'État ou des maîtres des requêtes bien choisis, non seulement pour faire la fonction d'intendant de justice dans les villes capitales, ce qui peut plus servir à leur vanité qu'à futilité du public, mais pour aller en tous lieux des provinces...
Page 546 - ... je les pends par les aisselles ; je leur chauffe les pieds d'une pelle rouge ; je les mets aux fers et aux ceps; je les enferme en un four, en un coffre percé plein d'eau ; je les pends en chapon...
Page 217 - Ces légistes travaillent à rendre la royauté absolue en matière de lois, en matière de justice, en matière de finances. Ils n'ont souci, ni des droits des nobles, ni de ceux de l'Eglise, ni de ceux du peuple. Ils n'ont en vue que les droits du souverain, tels qu'ils sont consignés dans les lois de l'empire romain.
Page 547 - Je vous ai fait assembler pour recevoir vos conseils, pour les croire, pour les suivre, bref, pour me mettre en tutelle entre vos mains; envie qui ne prend guère aux rois, aux barbes grises et aux victorieux.