Le marquis Wielopolski: sa vie et son temps, 1803-1877, Volume 1Faesy & Frick, 1880 - Poland |
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Common terms and phrases
affaires aurait autrichien Berlin c'était cabinet de Vienne cause chambre des nonces charte Chlopicki choses clergé club coeur comte Zamoyski congrès de Vienne conseil d'état conserver conspirateurs constitutionnel Cracovie d'Alexandre Diebitch diète duché de Varsovie esprits établi force Galicie général Gentz gouvernement grand-duc Constantin Grégoire XVI guerre haute cour hommes jamais jour Krzyżanowski l'Angleterre l'Autriche l'Eglise l'émigration l'empereur Alexandre l'empereur Nicolas l'empire l'Europe l'instruction l'insurrection laisser Lelewel lettre liberté Lithuanie logne lord Palmerston majorat maréchal ment militaire ministre moral Myszkowski n'avait n'était nation nationale Niemoïowski noblesse polonaise Novosiltzow Olrych Paskiewitch passé patrie pays paysans personne Pétersbourg peuple politique Posen pouvait pouvoir présent prince Czartoryski prince de Metternich prince Lubecki principes provinces Prusse publique puissances qu'à question rapport régime reste révolution révolutionnaire rien royaume de Pologne Russie sénat sentiments seul Skrzynecki slave social société patriotique souverain système tion traité de Vienne troupes trouvait Vistule Volhynie Zamoyski
Popular passages
Page 185 - Les Polonais sujets respectifs de la Russie, de l'Autriche et de la Prusse, obtiendront une représentation et des institutions nationales, réglées d'après le mode d'existence politique que chacun des gouvernements auxquels ils appartiennent jugera utile et convenable de leur accorder.
Page 198 - Messieurs, il faut des actions et non pas des paroles; il faut que le repentir vienne du cœur. Je vous parle sans m'échauffer ; vous voyez que je suis calme ; je n'ai pas de rancune, et je vous ferai du bien malgré vous. Le maréchal que voici remplit mes intentions, me seconde dans mes vues et pense aussi à votre bien-être.
Page 199 - Il m'est pénible de vous parler ainsi; il est bien pénible à un souverain de traiter ainsi ses sujets; mais je vous le dis pour votre propre bien. C'est à vous, messieurs, de mériter l'oubli du passé: ce n'est que par votre conduite et par votre dévouement à mon gouvernement que vous pouvez y parvenir.
Page 3 - Prusse, d'après des arrangements à prendre par ces trois puissances, sans aucune intervention du gouvernement français ; 2° l'agrandissement de la Prusse en suite de ce partage, et par la cession de la ville et du...
Page 199 - C'est en élevant bien vos enfants, en leur inculquant des principes de religion et de fidélité à leur souverain, que vous pouvez rester dans le bon chemin. Et...
Page 198 - L'empereur Alexandre, qui avait fait pour vous plus qu'un empereur de Russie n'aurait dû faire, qui vous a comblés de bienfaits , qui vous a favorisés plus que ses propres sujets, et vous a rendus la nation la plus florissante et la plus heureuse, l'empereur Alexandre a été payé de la plus noire ingratitude. <• Vous n'avez jamais pu vous contenter de la position la plus avantageuse, et vous avez fini par détruire vous-mêmes votre bonheur.
Page 189 - Article 13 La liberté d'exprimer sa pensée par la parole ou par la plume, la liberté de la presse, la liberté de réunion et la liberté d'association sont garanties dans les limites fixées par la loi.
Page 194 - Dans le cas où l'assistance matérielle de l'une des trois Cours d'Autriche, de Prusse et de Russie aurait été réclamée, et qu'une puissance quelconque voulût s'y opposer par la force des armes, les trois Cours considéreraient comme dirigé contre chacune d'elles tout acte d'hostilité entrepris dans ce but.
Page 18 - ... subversives qui ont menacé de nos jours le système social d'une catastrophe épouvantable, ne sont point un prestige dangereux, mais que, réalisées avec bonne foi et dirigées surtout avec pureté d'intention vers un but conservateur et utile à l'humanité, elles s'allient parfaitement avec l'ordre, et produisent d'un commun accord la prospérité véritable des nations. C'est à vous qu'il est désormais réservé de faire preuve de cette grande et salutaire vérité...
Page 199 - Pologne indépendante, ou vivre tranquillement et en sujets fidèles sous mon gouvernement. Si vous vous obstinez à conserver vos rêves de nationalité distincte, de Pologne indépendante et de toutes ces chimères, vous ne pouvez qu'attirer sur vous de grands malheurs. J'ai fait élever ici la citadelle, et je vous déclare qu'à la moindre émeute je ferai foudroyer la ville, je détruirai Varsovie, et certes ce ne sera pas moi qui la rebâtirai.