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nuant quand / augmente, comme M. Resal l'a trouvé également (1), lorsque la hauteur des murs de soutènement, augmente.

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relation dans laquelle N a la valeur (20) 1re partie, et :

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Faisons une application de la relation (1), qui remplacerait l'équation (21) de la 1re partie. Prenons, C2 A et = 15", on a :

N1 = 8 x 0,767 = 6,136.

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Appelons R1, la valeur de R, donnée par (1) pour la distinguer de celle donnée par (21) on a :

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En se reportant aux tableaux 5 et 6, 1re partie, on trouve, que pour

1 = 4", on a des valeurs, de R1 pour de R, correspondant à un angle fictif augmente, diminue, et tend vers ọ.

=

15° qui sont les valeurs

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25° et que lorsque l

Il y a donc encore accord avec ce qu'obtient M. Resal.

(1) RESAL. Poussée des terres, 2o Partie, pages 159 et 170.

Les résultats auxquels nous arrivons, confirment la conclusion
de notre étude, c'est-à-dire, la supériorité de la théorie statique,
sur la théorie dynamique.

Comme en pratique, on bat des pieux dans des terrains de résis-
tance douteuse, qui, par suite, doués de cohésion à un certain
moment peuvent la perdre à un autre moment, pour les raisons bien
expliquées par M. l'Inspecteur général Resal, nous pensons qu'on
peut appliquer en toute sécurité les formules et les tableaux que
nous avons établis pour des terrains non cohérents, en ayant soin,
bien entendu, de ne pas adopter des valeurs de exagérées, que
l'on pourra déterminer, d'ailleurs, par des sondages.

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Nos des

articles

9. Conditions dans lesquelles se trouvent les extrémités d'un pieu.......... Détermination des efforts exercés par le terrain dans la flexion d'un pieu...

10.

11. Condition nécessaire et suffisante pour qu'il ne puisse pas y avoir flambage dans un terrain à talus naturel horizontal. . . . .

Nos dos

pages

280

281

285

12.

13.

Calcul du coefficient de sécurité entrant dans la longueur minima..
Généralisation de la condition nécessaire et suffisante pour qu'il n'y
ait pas flambage.

290

294

14.

Stabilité des pieux dans les terrains vaseux..

299

15.

Résistance par unité de surface latérale de pieu. Abaque.

302

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3. Comparaison des résultats obtenus avec les données en usage.

Conclusion. Coefficient de sécurité pratique.

Tableaux de 1 à 6:

307

312

322

325

328

293

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1. Choc du mouton sur le pieu (Théorie classique)
2. Equation du travail disponible après le premier choc.
3. Ressaut..

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340

340

344

352

352

352

475

477

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480

483

Nos des articles

6. Autres théories sur le choc..

7. Equation générale du mouvement vibratoire longitudinal d'un pieu... 8. Travaux absorbés et disponibles, d'après la théorie du choc de

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Nos des

pages

486

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492

499

500

500

503

511

14. Variations de R1 en fonction de k.

513

15. Variations de R1 en fonction de e.

515

16. Equation simplifiée. Formule proposée, formule d'Eytelwein et formule Hollandaise....

516

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N 70

LES

TRAVAUX D'AMÉLIORATION DU RHONE

par M. ARMAND,

Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées.

Planches 18 et 19.

CHAPITRE I.

Caractères généraux du fleuve.

Longueur. Le cours du Rhône, sur le territoire français, depuis la frontière Suisse jusqu'à la Mer, présente une longueur totale de 522 kilomètres; mais la navigation n'y prend une réelle importance qu'en aval du confluent de la Saône, soit que les transports qui s'y font aient Lyon pour point de départ et d'arrivée, soit qu'ils se prolongent au delà par la Saône qui, dans l'état actuel des choses, est la continuation naturelle et normale de la ligne de navigation qui emprunte le Rhône.

Cette partie, qui seule a fait l'objet de travaux d'amélioration suivis, se divise naturellement en deux sections:

Le Bas-Rhône, entre Lyon et Arles, sur 283 km. ;

Le Rhône Maritime, entre Arles et la Mer, sur 48 km.

Constitution du lit. Le lit du fleuve, de même que le sol de la vallée dans lequel il coule, est constitué par une couche de terrains d'alluvion dont l'épaisseur est presque partout considérable. La nature, la grosseur et la résistance de ces alluvions sont très variables. On y trouve à la fois du sable très fin mêlé d'argile ténue,

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