Oeuvres de Henri Fonfrède: De la Societé; Du Gouvernement et; De l'Administraton (423; 426; 427; 400 p.)Chaumas-Gayet, 1844 |
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actes Alliances basées anarchiques armée aurait Belgique Casimir Périer chambre chances CHAPITRE charte Châteaubriand choses citoyens conciliation conséquent conserver constitutionnelle contraire contre-sens coupable cour d'assises crimes démocratie despotisme détruire direction doctrines doit doivent elle-même Espagne esprits factions fausse flétrir force garde nationale gouver gouvernement gouvernementale guerre HENRI FONFREDE hommes d'État hostilité institutions intérêts jamais journaux jury juste-milieu l'action l'anarchie l'armée l'État l'instruction l'opinion l'opposition l'ordre social laisser légale législation libérale liberté lois lui-même majorité matériels mème ment mesures ministère mœurs politiques monarchie monarchie absolue monarchie constitutionnelle monde morale moyens nation nationale nement pacte de famille paix paix armée pareil parlementaires passions patriotisme pays peine de mort pensée peuple pouvoir presse principes progrès propriété public publique puissance punir qu'un raison rait réellement répression républicaines résultat révolution de juillet révolutionnaire rien royauté s'il serait seul société sophisme sorte système politique tion tisme véritable vernement voilà volonté
Popular passages
Page 206 - Croira-t-on échapper à ces reproches eu se targuant d'un manifeste autrichien où ces sectaires sont nommés? Sont-ils devenus sacrés parce que Léopold a prononcé leur nom? Et parce que nous devons combattre les étrangers qui s'immiscent dans nos querelles, sommes-nous dispensés de délivrer notre patrie d'une tyrannie domestique?
Page 207 - C'est elle que j'en accuse hautement. Organisée comme un empire à part, dans sa métropole et ses affiliations ; aveuglément dirigée par quelques chefs ambitieux, cette secte forme une corporation distincte au milieu du peuple français, dont elle usurpe les pouvoirs, en subjuguant ses représentants et ses mandataires.
Page 208 - ... aux vrais principes de la liberté , leur fureur délirante au courage calme et constant d'une nation qui connaît ses droits et les défend; enfin leurs combinaisons sectaires aux véritables intérêts de la patrie , qui dans ce moment de danger doit réunir tous ceux pour qui son asservissement et sa ruine ne sont pas les objets d'une atroce ' jouissance et d'une infâme spéculation...
Page 207 - ... existence. Ce n'est pas assez néanmoins que cette branche du gouvernement soit délivrée d'une funeste influence. La chose publique est en péril, le sort de la France repose principalement sur ses...
Page 231 - ... avec indifférence? Et, tandis que le malheureux attend le coup fatal, dans les convulsions et les angoisses, le juge qui vient de le condamner , quitte froidement son tribunal pour aller goûter en paix les douceurs et les plaisirs de la vie , et peut-être s'applaudir avec une complaisance secrète de l'autorité qu'il vient d'exercer. Ne peut-on pas dire que ces lois ne sont que le masque de la tyrannie; que ces formalités cruelles et réfléchies de la justice ne sont qu'un prétexte pour...
Page 317 - ... mieux faite pour enseigner à de jeunes enfants les premiers éléments des sciences et des arts, pour approprier à leurs débiles esprits des méthodes simples et exactes de juger des choses et des hommes, que pour suivre avec des élèves déjà préparés à l'étude, déjà marchant par leurs propres mouvements, agissant de leurs propres forces, des théories plus élevées, niais que le concours des hommes éclairés de l'Europe a rendues si claires et si sûres.
Page 317 - ... espérance de la République. Les professeurs formeront des savants et des artistes. L'instituteur du peuple travaillera à former des hommes; il sera le précepteur du pauvre, et ce dernier caractère doit le rendre plus respectable à vos yeux. Si je considère la difficulté de l'enseignement, je trouve qu'il faut non des connaissances plus vastes, mais une raison plus exercée; non une tête plus pleine, mais une tête mieux faite, pour enseigner à de jeunes enfants les premiers éléments...
Page 231 - Que doit-on penser en voyant le sage magistrat et les ministres sacrés de la justice faire traîner un coupable à la mort, en cérémonie , avec tranquillité, avec indifférence? Et, tandis que le malheureux attend le coup fatal, dans les convulsions et les angoisses, le juge qui vient de le condamner , quitte froidement son tribunal pour aller goûter en paix les douceurs et les plaisirs de la vie , et peut-être s'applaudir...
Page 275 - ... ne vous comprendront même pas. Et pourtant rien ne s'opère de grand, de vraiment utile et de durable, que par le sacrifice et le dévouement. Le peuple encore en est capable, mais presque lui seul. Aussi est-ce lui qui produira les hommes destinés à réaliser l'œuvre sociale de notre époque. Organiser la nation entière sur la base d'une parfaite égalité de droits, et coordonner les lois secondaires à ce principe d'égalité; Organiser le travail et diriger la répartition de ses fruits...
Page 365 - ... être exercé. Vainement ferait-on de nouvelles chartes, de nouvelles lois, de nouvelles libertés, si les mœurs politiques de la nation s'affaiblissent et reculent; si on les divise, si on les corrompt, si on détruit ce lien moral, ce point d'appui sur lequel l'ordre social et la liberté doivent exclusivement s'étayer, point de liberté, point d'ordre, point de progrès : divagation universelle, bavardages d'écoliers, lois incohérentes qui font...