| François Guizot - 1865 - 566 pages
...croyais de telles poursuites ni nécessaires, ni opportunes, ni efficaces. Les luttes du pouvoir civij contre les influences religieuses prennent aisément...promise par la Charte et réclamée, non pas seulement pour une congrégation religieuse, mais pour l'Église elle-même. C'était, pour l'État comme pour... | |
| François Guizot - Europe - 1865 - 558 pages
...moi de la puissance des jésuites, et moins confiants dans celle de la société et de la liberté. On énumérait les maisons que les jésuites possédaient...promise par la Charte et réclamée, non pas seulement pour une congrégation religieuse, mais pour l'Église elle-même. C'était, pour l'État comme pour... | |
| François Guizot - Europe - 1865 - 568 pages
...jésuites possédaient déjà en France, les oratoires qu'ils desservaient, les propriétés'qu'ils acquéraient, les enfants et les jeunes gens qu'ils...promise par la Charte et réclamée, non pas seulement pour une congrégation religieuse, mais pour-l'Église elle-même. C'était, pour l'État comme pour... | |
| Guizot (M., François) - Europe - 1865 - 564 pages
...d'eux. On réclamait contre eux l'exécution des lois dont, sous l'ancien régimej sous ,1'Empire, et même sous la Restauration , les congrégations...promise par la Charte et réclamée, non pas seulement pour une congrégation religieuse, mais pour l'Église elle-même. C'était, pour l'État comme pour... | |
| Revue catholique des institutions et du droit, Grenoble - 1879 - 658 pages
...Guizot, que M. Spuller cite six fois au moins, cette phrase digue d'être méditée aujourd'hui : « Les luttes du pouvoir civil contre les influences...aboutissent souvent à la réalité de la persécution. » (Mémoires, t. vil, p. 391.) M. le duc de Broglie disait à Louis-Philippe : « il faudra surtout... | |
| Paul Thureau-Dangin - France - 1889 - 604 pages
...luttes du pouvoir civil contre les influences religieuses », qui, suivant la parole de M. Guizot, « prennent aisément l'apparence et aboutissent souvent à la réalité de la persécution ». Sur ce point, sa prudence ne parlait pas moins haut que sa justice. Rien de plus aisé que de pérorer... | |
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