Pendant la pluie |
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arrive assassins assez ASSIGNAT aujourd'hui avez avocats beau belle besoin bleue blique cher chevaux chiens chose Cicéron citoyen Collot-d'Herbois condamné Convention nationale crime demande députés devant dire disait doit donner duel enfants enragé Étole femmes ficoïde filles fleurs gens Gianduja gouvernement Grecs guerre heureux hommes honnêtes idées impôts j'ai j'avais jamais jeunes jolie jour journaux justice KARR l'abbé l'Angleterre l'Assemblée l'empereur l'Europe laisser Lamartine Lebiez lettre liberté livre loterie Louis Louis Blanc Louis XIV madame madame de Sévigné manger Marat ment Modane Monesiglio n'avait Napoléon Napoléon Ier parler passer pauvre pays peine de mort pense petite peuple peut-être politique prison Pritchardia public qu'une question rage raison rappelle répu République reste révolution rien robes roses rouge Russie saint saint Hubert Saint-Raphaël sais serait seulement sociale soi-disant républicains sort statue Stenterello suffrage dit universel surtout terrible théâtre Thiers tion triste trouver Victor Hugo Voici voter vrai
Popular passages
Page 297 - RAPPORT Fait au nom de la commission chargée de l'examen des papiers trouvés chez Robespierre et ses complices, par EB COURTOIS, député du département de l'Aube, dans la séance du 16 nivôse, An III' de la République française une et indivisible.
Page 138 - Comment une multitude aveugle, qui souvent ne sait ce qu'elle veut, parce qu'elle sait rarement ce qui lui est bon, exécuteraitelle d'elle-même une entreprise aussi grande, aussi difficile qu'un système de législation?
Page 139 - Chez les Grecs,' tout ce que le peuple avait à faire il le faisait par lui-même; il était sans cesse assemblé sur la place. Il habitait un climat doux; il n'était point avide; des esclaves faisaient ses travaux ; sa grande affaire était sa liberté.
Page 81 - Elle conservera la destination qui lui avait été donnée par l'Assemblée constituante, et sera consacrée à la sépulture des grands dignitaires, des grands officiers de l'Empire et de la couronne, des sénateurs, des grands officiers de la Légion d'honneur, et, en vertu de nos décrets spéciaux, des citoyens qui, dans la carrière des armes ou dans...
Page 139 - Ajoutons qu'il n'ya pas de gouvernement si sujet aux guerres civiles et aux agitations intestines que le démocratique ou populaire, parce qu'il n'y en a aucun qui tende si fortement et si continuellement à changer de forme, ni qui demande plus de vigilance et de courage pour être maintenu dans la sienne.
Page 140 - Comme , avant d'élever un grand édifice , l'architecte observe et sonde le sol pour voir s'il en peut soutenir le poids, le sage instituteur ne commence pas par rédiger de bonnes lois en ellesmêmes , mais il examine auparavant si le peuple auquel il les destine est propre à les supporter.
Page 203 - N'ont-elles pas des devoirs à remplir, mais des devoirs qui sont les fondements de toute la vie humaine? Ne sont-ce pas les femmes qui ruinent ou qui soutiennent les maisons , qui règlent tout le détail des choses domestiques, et qui par conséquent décident de ce qui touche de plus près à tout le genre humain?
Page 140 - Elles ne sauraient même avoir lieu deux fois pour le même peuple : car il peut se rendre libre tant qu'il n'est que barbare, mais il ne le peut plus quand le ressort civil est usé. Alors les troubles peuvent le détruire sans que les révolutions puissent le rétablir; et, sitôt que ses fers sont brisés, il tombe épars et n'existe plus : il lui faut désormais un maître et non pas un libérateur. Peuples libres, souvenez-vous de cette maxime : « On peut acquérir la liberté, mais on ne la...
Page 306 - Frère et ami, Encore des têtes, et chaque jour des têtes tombent ! Quelles délices tu aurais goûtées, si tu eusses vu, avant-hier, cette justice nationale de deux cent neuf scélérats ! Quelle majesté ! Quel ton imposant ! Tout édifiait. Combien de grands coquins ont, ce jour-là, mordu la poussière dans l'arène des Brotteaux! Quel ciment pour la République...
Page 334 - Il y avait un grand vice dans la plupart des anciennes républiques : c'est que le peuple avait droit d'y prendre des résolutions actives, et qui demandent quelque exécution ; chose dont il est entièrement incapable. Il ne doit entrer dans le gouvernement que pour choisir ses représentants ; ce qui est très à sa portée.