Oeuvres de Montesquieu, Volume 3J.J. Smits, an IV de la Republique, 1796 |
Contents
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Common terms and phrases
aleu appelloit auroit avoient avoit Baluze Bourguignons Brunehault c'étoit Callisthène capitulaire capitulaire de l'an cause cens CHAPITRE Charlemagne Charles Martel Charles-le-Chauve choses Chronique de Frédégaire citoyens clergé climat Clotaire Clovis commerce comte couronne crime devoit doit doivent donner ecclésiastiques édit églises enfans établi états despotiques étoient étoit évêques faisoient faisoit falloit femmes fiefs Gaules gens Germains gion gouvernement Grégoire de Tours guerre hommes libres ibid juger justice l'abbé Dubos l'auteur l'Esprit des Loix l'usure leudes livre loi des Lombards loi salique loix barbares loix civiles loix romaines Lombards Lothaire Louis-le-Débonnaire maires mariages ment mœurs monar monarchie n'avoient n'avoit n'étoient nation noblesse paroît pays Pepin peuples politique polygamie pouvoient pouvoit première race prince puissance punis raison règle religion chrétienne religion naturelle république Ripuaires rois Rome royaume seconde race seigneurs serfs seroit servitude Spinosa suiv sujet systême terres tion tributs trouve usage usures vassaux Wisigoths
Popular passages
Page 293 - Les principes du christianisme, bien gravés dans le cœur, seraient infiniment plus forts que ce faux honneur des monarchies , ces vertus humaines des républiques , et cette crainte servile des états despotiques.
Page 200 - ... apprendre, dans ses lois, à gouverner sa maison ; on voit dans ses capitulaires la source pure et sacrée d'où il tira ses richesses. Je ne dirai plus qu'un mot : il ordonnait qu'on vendît les œufs des basses-cours de ses domaines et les herbes inutiles de ses jardins...
Page 269 - Gengiskan , qui ont dévasté l'Asie ; et nous verrons que nous devons au christianisme, et dans le gouvernement un certain droit politique, et dans la guerre un certain droit des gens que la nature humaine ne sauroit assez reconnoître.
Page 267 - Ce n'est pas assez pour une religion d'établir un dogme; il faut encore qu'elle le dirige : c'est ce qu'a fait admirablement bien la religion chrétienne, à l'égard des dogmes dont nous parlons. Elle nous fait espérer un état que nous...
Page 267 - ... par quelques chaînes, mais par un nombre innombrable de fils; qui laisse derrière elle la justice humaine, et commence une autre justice; qui est faite pour mener sans cesse du repentir à l'amour et de l'amour au repentir; qui met entre le juge et le criminel un grand médiateur, entre le juste et le médiateur un grand juge; une telle religion ne doit pas avoir de crimes inexpiables.
Page 199 - CHARLEMAGNE. t \JHARLEMAGNE songea à tenir le pouvoir de la noblesse dans ses limites , et à empêcher l'oppre,ssion du clergé et des hommes libres. Il mit un tel tempérament dans les ordres de l'état , qu'ils furent contrebalancés , et qu'il resta le maître.
Page 346 - vertu politique qui est la vertu morale, dans le « sens qu'elle se dirige au bien général ; fort peu « des vertus morales particulières ; et point du « tout de cette vertu qui a du rapport aux vérités
Page 356 - Lois , etc. , dans un bûcher auquel on mettra le feu avec un paquet de Nouvelles ecclésiastiques. En effet, monsieur, quels maux épouvantables n'ont pas fait dans le monde une douzaine de vers répandus dans...
Page 51 - Dubos ont fait chacun un système , dont l'un semble être une conjuration contre le tiers-état , et l'autre une conjuration contre la noblesse. Lorsque le Soleil donna à Phaéton son char à conduire , il lui dit : « Si vous montez trop haut, vous « brûlerez la demeure céleste ; si vous descendez « trop bas , vous réduirez en cendres la terre. « N'allez point trop à droite, vous tomberiez dans « la constellation du Serpent; n'allez point trop « à gauche, vous iriez dans celle de l'Autel...
Page 127 - Dubos soutient que, dans les premiers temps de notre monarchie , il n'y avait qu'un seul ordre de citoyens parmi les Francs. Cette prétention injurieuse au sang de nos premières familles, ne le serait pas moins aux trois grandes maisons qui ont successivement régné sur nous. L'origine de leur grandeur n'irait...