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(28 août 1915). SEWALL CABOT et C. F. CAIRNS: Sur l'établisment des transformateurs. — Analyse de quelques méthodes employées pour le calcul des transformateurs statiques et simplifications possibles de ces méthodes. Deux méthodes sont examinées par les auteurs; celle de Bohle et Robertson et celle de Hobart.

(4 septembre 1915). W. HARRISSON. Lanterne pour éclairage public. - Notes sur l'éclairage public, de Cleveland, éclairage effectué avec des lampes à filament métallique de 1 000 bougies de la General Electric (lampe Mazda).

La particularité est l'emploi de surfaces transparentes en cristal à consistance rugueuse pour obtenir une diffusion assez forte. Deux modèles sont employés l'un avec emploi unique de ces surfaces, l'autre avec emploi de ces surfaces combinées avec d'autres en substance légèrement opaline.

(4 septembre 1915). DRIVER et V. PANNELL: Câble en aluminium renforcé par un fil d'acier. On sait que l'emploi de l'aluminium comme conducteur nécessite l'emploi de pylônes très élevés pour permettre l'adoption de flèches plus grandes exigées par suite de la moins grande élasticité que le cuivre; pour remédier à cet inconvénient, on emploie des câbles en aluminium avec âme en acier. C'est le calcul de cette sorte de conducteurs que développent les auteurs en donnant les constantes de ces câbles, module d'élasticité, coefficient de dilatation, limite d'élasticité, etc.

(18 septembre 1915). -Sous-station d'énergie dans un moulin. Description d'une petite sous-station avec matériel générateur de secours, faite par l'American Manufacturing C° de Brooklyn.

La sous-station comporte deux séries de trois transformateurs de 3 000 kilovolts-ampères chacune et abaissant la tension de 6600 volts à 440 volts. Le service de secours est formé par des unités de 750 kilowatts formées d'une turbine et d'un alternateur de même puissance.

(22 septembre 1915). - Projet de station centrale du type «< Outdoor ». Description d'un projet de station hydro-électrique de 50 000 kilowatts installée suivant les principes adoptés déjà depuis quelques années pour les sous-stations réceptrices.

Le coût de l'installation serait de 18 millions, soit 360 francs par kilowatt, les bâtiments et fondations entreront seulement pour 435 000 francs.

Les générateurs et les transformateurs sont disposés extérieurement, une grue à portique dessert l'emplacement où se trouve ce

matériel. Les unités ont une puissance de 12 500 kilowatts et les transformateurs de 4 200 kilowatts. La tension des transformateurs est de 100 000 volts.

Le prix et renÉtude sur les transformateurs

The Electrician (9 avril 1915) BURNAND. dement des transformateurs. montrant la dépendance existant entre le poids et, par suite, le prix d'un transformateur et son rendement.

L'auteur donne de nombreuses courbes permettant de faciliter les calculs et décrit un appareil dit calculateur de rendement lequel permet de tracer les courbes de rendement pour des pertes données dans le fer et dans le cuivre.

- (16 avril 1915): Extension de la station municipale de Carlisle. Courte description d'un nouveau groupe turbo-alternateur de 1 250 kilowatts mis en service dans la station de Carlisle. Ce groupe est formé d'une turbine Rateau à 3.000 tours par minute et d'un alternateur à 3 200 volts pour une fréquence de 50 périodes par seconde. (7 mai 1915) MERRICK. Courants dans les paliers de dynamo. Intéressante étude où l'auteur montre comment des courants peuvent prendre naissance dans les paliers des dynamos, donne des résultats d'essais entrepris pour la mesure de ces courants et indique les procédés, adoptés pour empêcher leur formation.

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-(21 mai 1915). Station centrale de Karachi (Indes).

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- Description d'une station centrale avec moteurs Diesel installée dans le port de Karachi et alimentant un circuit à 3 fils sur 440 volts.

(28 mai) BUCHANAN. Courants dans les paliers des dynamos génératrices. Étude du même genre que celle signalée plus haut, mais d'un caractère un peu plus théorique.

(11 juin 1915). Station de pompage des Gladstone Dock à Liverpool. Description de l'importante installation de pompage des Docks Gladstone à Liverpool. Cette installation comporte quatre groupes de 1 000 chevaux formés de moteurs Diesel avec pompe Worthington du type centrifuge. L'ensemble peut élever 200 000 mètres cubes d'eau à une hauteur de 6 mètres en 2 heures et demie.

- (18 juin 1915): AYTON. services municipaux.

Emploi de l'énergie électrique dans les Description des principales applications

et principalement de la traction dans les services municipaux, transport des ordures ménagères, service d'incendie, service d'ambulance.

(18 juin 1915) Station centrale provisoire de la Municipalité de Birmingham. - Pour permettre une transformation au système " de distribution à Birmingham (la Municipalité doit transformer les trois stations génératrices en une seule), on a installé une station provisoire de 10 000 kilowatts formée de deux unités à courants triphasés sous une tension de 5 500 volts et 25 périodes par seconde. La vitesse des unités est de 1 500 tours par minute.

La traction élec

(9 et 16 juillet 1915) GILCHRIST et MARSHALL. trique par automobiles et les stations centrales. Intéressante étude sur l'emploi des stations centrales pour la charge des batteries d'accumulateurs employées dans les véhicules automobiles. L'article contient de nombreux tableaux sur le prix de revient en général et sur les résultats obtenus par l'United Electric Light and Power Co de New-York ainsi que de nombreux diagrammes sur la charge des batteries.

(23 et 30 juillet 1915) BREUGHTON. — Emploi des grues électriques au déchargement du charbon et des minerais. Très importante description des grues à fort débit pour le déchargement du charbon et des minerais. L'auteur donne en particulier, la description des élévateurs de 8 tonnes du type Brown employés par la Grab Bucket Astoria Light, Heat and Power Co de New-York, celle des grues à portique de la Lake Shore Railroad C° de Ashtabula et celle des convoyeurs de la Pittsburgh Coul Co Dock à Duluth.

— (30 juillet 1915): JONES. — Méthode pour le calcul rapide des rhéostats de démarrage. Exposé d'une méthode de calcul rapide de rhéostats de démarrage des différents genres de moteurs.

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- (20 août 1915): SNYDER. Réglage pour l'équipement des appareils de levage dans l'industrie. Intéressante étude sur les conditions que doivent réaliser les contrôleurs destinés aux appareils de levage en général. L'auteur fait intervenir non seulement les conditions de manœuvre, mais aussi celles de l'entretien, de la location du prix de revient.

Ces différents points de vue sont appliqués à trois exemples particuliers d'appareils.

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Économies dans la puissance per(3 septembre 1915): STORER. — due dans les chemins de fer à traction électrique. Extrait d'une communication faite à la Wertern Society sur les économies de puissances réalisées dans la traction électrique pour chemin de fer.

L'auteur examine successivement les moteurs, les pertes dans les rhéostats et les pertes par freinage.

(24 septembre 1915): BANG. - Expérience de quatre années sur une ligne à haute tension. Intéressante étude sur le fonctionnement continu d'une ligne de transmission à 70 000 volts de la Pensylvania Water et Power Co et dont la longueur est de 65 kilo

mètres.

L'auteur donne une description succincte de la ligne et des isolateurs employés ainsi que les résultats du fonctionnement pendant les quatre dernières années.

Elecktrotechnische Zeitschrift (18 mars 1915): THIErrach. -— Suppression des pertes à vide dans les transformateurs. - Description d'un dispositif par la réduction des pertes à vide des transformateurs et applicable surtout aux installations pour sous-stations.

Le dispositif consiste à employer deux transformateurs, un gros et un petit, ce dernier est destiné à assurer le service de faible débit. Le gros appareil n'est mis en service qu'au moment de la charge.

(8 avril 1915) WEINBERGER. Explosions avec les interrupteurs à huile. Intéressante étude pour la protection des interrupteurs à huile contre les explosions qui peuvent se produire par suite de la formation d'un mélange d'air et de vapeur produite par l'huile, mélange enflammé au moment de la rupture. L'auteur propose l'emploi d'une atmosphère formée d'un gaz inerte, tel que l'azote avec valve automatique permettant de régler la pression.

- (1er avril 1915): BETHGE.

Service rapide à l'intérieur des villes.

Description de différents systèmes de troisième rail ou l'emploi combiné de l'acier doux pour les connexions faites généralement en cuivre et de rail conducteur plus lourd, 45 kilos au mètre courant au lieu de 28.

(6 mai 1915) E. SALOMON. - Taux et désignation des lampes à incandescence. Intéressante étude sur la désignation des lampes à incandescence où l'auteur signale le défaut de la désignation actuelle par l'intensité horizontale qui dans bien des cas d'application est insuffisante. Il faut remarquer, qu'actuellement, ce qui intéresse surtout, c'est la moyenne hémisphérique et propose de caractériser les lampes par les quatre conditions moyenne sphérique, moyenne hémisphérique, intensité horizontale et consommation en

watts et recommande finalement de se contenter de l'indication de la tension de la consommation.

-(22 avril 1915): EscH. - Emploi de l'acier et du conducteur bimétalliques à la place du cuivre et de l'aluminium. - Comptes rendus d'essais faits dans le but de remédier à la pénurie du cuivre et de l'aluminium par l'emploi comme conducteurs en électricité de l'acier et d'alliages. Ces essais ont été faits sur le fer, l'acier, le bronze et le métal Monnot (acier et cuivre). La section était de 42,5 mm2 avec six fils de 3 millimètres de diamètre. La résistance en courant continu avec une longueur de 6,2 est pour l'acier de 0,043 ohm, en courant alternatif les résultats varient avec la fréquence et la densité de courant; pour une densité de 2 ampères par mm2 et à 50 périodes la résistance du même échantillon atteint 0,063 avec un ampère par mm2 elle est de 0,075.

Pour le câble en métal Monnot, les variations avec la densité de courant sont naturellement plus faibles. L'effet de la température est très important.

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(13, 20 et 27 mai 1915) Divers. Taux et désignation des lampes à incandescence et des lampes à arc. Discussion de l'étude signalée plus haut et présentée par son auteur à la Société des Électriciens de Berlin. MM. Schneider et Cie, Holbertsman, Klein, Blanc, Burstyn, Passavant, Meng, Wedding, Dietz, Schaller, pour les lampes à incandescence et Bloch et Eichel pour les arcs présentent de nombreuses objections aux propositions de M. Salo

mon.

En général, la discussion porte sur ce fait que le public s'intéresse surtout à l'éclairage fourni et peu à peu à la consommation en watts par bougie,

(3 juin 1915): A. CHEVALIER. - Arcs contre lampes demi-watt au lungstène. Intéressante comparaison entre les lampes à arc et les lampes à incandescence avec filament métallique dite demi-watt. L'auteur par de nombreux exemples numériques, montre que l'avantage reste toujours aux arcs et surtout aux arcs à flamme qu'il préconise plus particulièrement.

-(10 juin 1915). MUENZINGER. -Sur les interrupteurs à rupture dans l'huile. Remarque faite par l'auteur au sujet d'une étude de Weinberger signalée plus haut. L'auteur doute que l'emploi d'une atmosphère formée par un gaz neutre, l'azote, par exemple, soit suffisante pour prévenir les explosions, il établit que la chaleur développée

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