Histoire du Consulat et de l'Empire, faisant suite à l'Histoire de la Révolution française, Volume 8Paulin, 1849 - France |
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allait Anglais Août Aranjuez armée arriver aurait avaient Avril bataillons Bayonne Beauharnais Bourbons Burgos c'était Cadix Caulaincourt chanoine Escoïquiz Charles Charles IV colonies conseil Corfou corps cour d'Espagne couronne d'Aranjuez détrôner devait division donner dynastie Emmanuel Godoy Espagne Espagnols eût événements fallait famille royale favori Ferdi Ferdinand VII Fév Finlande flotte frégates fût garde général Dupont général Junot général Savary gouvernement guerre Janv Joseph junte l'amiral l'Angleterre l'armée l'empereur Alexandre l'empire l'Escurial l'Espagne l'Europe laisser léon lettre Lisbonne Madrid maréchal Mars ment militaire mille hommes millions ministre Murat n'avait n'était nand VII Naples Napo Napoléon nation nouvelle Octob ordonna ordres pagne Paix passé peuple poléon politique porter Portugal pouvait prince des Asturies princesse française projet provinces reine résolution reste route royaume Russie s'était secret serait seul soldats sorte Tage Talleyrand Tilsit tion Tolstoy traité de Fontainebleau Trésor trône troupes françaises vaisseaux Valachie vieux souverains Vittoria voulait Yzquierdo
Popular passages
Page 672 - Exercerai-je l'acte d'un grand protectorat, en prononçant entre le père et le fils ? Il me semble difficile de faire régner Charles IV : son gouvernement et son favori sont tellement dépopularisés qu'ils ne se soutiendraient pas trois mois. « Ferdinand est l'ennemi de la France, c'est pour cela qu'on l'a fait roi. Le placer sur le trône sera servir les factions qui, depuis vingt-cinq ans, veulent l'anéantissement de la France. Une alliance de famille serait un faible lien.
Page 159 - Je désire la paix maritime. Aucun ressentiment n'influera jamais sur mes déterminations ; je n'en saurais avoir contre une nation, jouet et victime des partis qui la déchirent, et trompée sur la situation de ses affaires comme sur celles de ses voisins.
Page 673 - J'ordonne que la discipline soit maintenue de la manière la plus sévère : point de grâce pour les plus petites fautes. L'on aura pour l'habitant les plus grands égards. L'on respectera principalement les églises et les couvents.
Page 671 - Je reste dans une grande perplexité. « Ne croyez pas que vous attaquiez une nation désarmée, et que vous n'ayez que des troupes à montrer pour soumettre l'Espagne. La révolution du 20 mars prouve qu'il ya de l'énergie chez les Espagnols. Vous avez...
Page 158 - ... de nouveaux triomphes , de nouveaux traités de paix ont changé la face de l'Europe politique. Si la maison de Brandebourg , qui la première se conjura contre notre indépendance , règne encore , elle le doit à la sincère amitié que m'a inspirée le puissant empereur du Nord. Un prince français régnera sur l'Elbe : il saura concilier les intérêts de ses nouveaux sujets avec ses premiers et ses plus sacrés devoirs. La maison de Saxe a recouvré , après cinquante ans , l'indépendance...
Page 673 - ... qu'il lui faut des lois qui garantissent les citoyens de l'arbitraire et des usurpations de la féodalité, des institutions qui raniment l'industrie, l'agriculture et les arts ; vous leur peindrez l'état de tranquillité et d'aisance dont jouit la France, malgré...
Page 672 - J'ai donné ordre à Savary d'aller auprès du vieux roi voir ce qui se passe. Il se concertera avec VAI J'aviserai ultérieurement an parti qui sera à prendre; en attendant , voici ce que je juge convenable de vous prescrire : Vous ne m'engagerez à une entrevue, en Espagne, avec Ferdinand, que si vous jugez la situation des choses telle que je doive le reconnaître comme roi d'Espagne. Vous userez de bons procédés envers le roi, la reine et le prince Godoy.
Page 452 - ne cherche pas des acquisitions qui pourraient entraver la paix ; « elle fait avec plaisir ce sacrifice et tous ceux qui peuvent conduire « à la rendre prompte et solide. Elle propose par conséquent d'ériger « la Servie en royaume indépendant, de donner cette couronne à l'un « des archiducs qui ne fût pas chef de quelque branche souveraine et « qui fût assez éloigné de la succession au trône d'Autriche. Dans ce « cas-ci l'on stipulerait même que jamais ce royaume ne pourrait «...
Page 671 - L'aristocratie et le clergé sont les maîtres «le l'Espagne; s'ils craignent pour leurs privilèges et pour leur existence, ils feront contre nous des levées en masse qui pourront éterniser la guerre. J'ai des partisans ; si je me présente en conquérant, je n'en aurai plus. » Le prince de la Paix est détesté, parce qu'on l'accuse d'avoir livré l'Espagne à la France; voilà le grief qui a servi l'usurpation de Ferdinand; le parti populaire est le plus faible.
Page 158 - Messieurs les députés des départements au Corps législatif, Messieurs les tribuns et les membres de mon conseil d'État: « Depuis votre dernière session, de nouvelles guerres, de nouveaux triomphes, de nouveaux traités de paix ont changé la face de l'Europe politique. « Si la maison de Brandebourg, qui, la première, se conjura contre notre indépendance, règne encore, elle le doit à la sincère amitié que m'a inspirée le puissant Empereur du Nord.