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ter d'inspirer des sentiments de jalousie à l'une et l'autre des parties belligérantes.

Il faut, d'ailleurs, faire attention à un point important. Cette guerre, en se prolongeant et en affaiblissant les deux parties belligérantes, pourrait amener une intervention de nations plus puissantes qui, n'ayant en vue que leurs intérêts pécuniaires, pourraient dicter aux deux parties des conditions aussi désavantageuses à la nation qui les su birait qu'aux Etats-Unis. Nous ne pourrions tolérer une intervention qui serait à notre désavantage. Le Texas, n'est séparé des Etats Unis que par une ligne géographique. Le Texas, suivant l'opinion de plusieurs personnes, faisait partie intégrante du territoire de l'Union; sa population est ho mogène, son commerce est le même que celui des Etats limitrophes; la plupart des citoyens de ce pays ont appartenu à l'Union, et les institutions politiques y sont les mêmes. C'est pourquoi le gouvernement de l'Union doit, par intérêt aussi bien que par sympathie, désirer que le Texas reste libre d'agir comme il voudra dans les affaires intérieures, sans se laisser intimider par la force ou par les prétentions d'autres pays; en conséquence, le gouvernement n'a pas balance à déclarer au gouvernement mexicain com. bien il désirait ardemment voir arriver le terme de cette guerre. L'Union, qui est la plus ancienne des républiques de l'Amérique, devrait tenir sur cet objet un langage non équivoque au gouvernement mexicain.

Il est temps que la guerre finisse. Voilà huit années qu'elle dure; et, puisque la métropole n'a pu faire rentrer dans le devoir sa colonie révoltée, qui a proclamé et fait reconnaître son indépendance, il ne faut pas que le gouvernement mexicain s'imagine que d'autres nations souffriront qu'à leur détriment les hostilités se prolongent.

Le gouvernement britannique, après avoir longtemps combattu les EtatsUnis, qui aspiraient à l'indépendance, a fini par reconnaître cette indépendance et par les admettre dans la grande famille des nations. Le Mexique peut, sans se compromettre, suivre l'exemple d'une aussi puissante nation

que l'Angleterre. Ainsi, le pornice cutif, tout en déclarant que la des relations amicales entre e pays leur causerait un grand déve ajoute qu'il ne souffrira point gouvernement mexicain cont politique, quelle qu'elle soit, 1 la du Texas, et qu'en ce qui conte reconnaissance de l'indépenda Texas, il agira sans consulter le ș vernement mexicain.

Les devoirs politiques pours traindre les autorités des Eut-la adopter une politique détermi l'obstination du gouvernement cain. Dans ce cas, le pouvoir es fera un appel au patriotisme de ple pour qu'il soutienne le go

ment.

Des mesures d'un caractère im out été récemment adoptées a gouvernement mexicain; elless nature à affecter le commerce de tres nations avec le Mexique et judicier aux Etas-Unis. Tous le gers, en vertu d'un décret du s tembre, et dans les six mois,à pr sa promulgation, ne pourront ple des affaires en vendant au détai marchandises dans les limites de b que. Notre ministre a présente montrances contre ce décret.

Le commerce de nos conc avec Santa-Fé, jusqu'ici, com qui employait beaucoup de et qui prenait chaque jour plus portance, a été brusquement par un décret de prohibition vi du gouvernement mexicain. Que puisse être le droit du Mexique ( terdire aux citoyens ou sujets tranger un commerce quelconqu dernier acte a été, pour le moins mesure, du reste, peu amicale. C compte sur les arrérages récen réglés par la convention avec le Ne que ont été régulièrement paya échéances, et notre ministre re instamment l'organisation d'une velle commission, aux termes d convention, pour liquider les rec tions non encore réglées,

Vis-à-vis des autres Etats d'in que, nos relations d'amitié p été interrompues: notre ministre la république de la Nouvelle-Gre est parvenu à arranger avec ce goe nement l'aflaire du schooner By Ch

Hentait en litige depuis des années. réclamation relative au brick Morqui avait commencé alors que la blique de Colombie existait, et laquelle des indemnités n'ont pas

depuis la dissolution de cette blique, d'être demandées à ses di. membres, cette réclamation sera puvelée avec zèle. Je suis charmé oir à vous dire que le gouverue. t brésilien a réglé l'affaire du oner Johns-Bryan, et il y a lieu pèrer que le même esprit de jusprésidera à l'arrangement des auaffaires en litige, qui fera dispare toute cause de dissentiment enles deux puissances dont les intérêts tiennent et se lient jusqu'à un cerpoint.

tion, la plus grande vigilance du gouvernement a été employée à les maintenir en paix entre elles et à leur inspirer des sentiments de confiance dans la justice de ce gouvernement, et à cultiver l'amitié avec les habitants des pays limitrophes. On a réussi en grande partie, mais il est à regretter que ces tribus se laissent quelquefois égarer par des hommes artificieux et méchants, malgré tous les efforts du gouvernement pour l'empêcher.

Les recettes du trésor pendant l'année 1843, sans compter les emprunts, ont été d'un peu plus de 18 millions de dollars. Les dépenses, sans compter les paiements de la dette publique, auront été d'environ 23 millions de dollars. Par l'acte de 1842, il a été fait un nouvel arrangement de l'année fi

Notre ministre au Chili est par u à faire reconnaître par le gouvernancière qui devra commencer le nent l'arrangement opéré par son décesseur, des premières réclama'ns dans l'affaire des Macédoniens. premier à compte a été reçu par parties intéressées dans les Etatsfabis.

Nous n'avons pas encore reçu la nuvelle de l'échange des ratifications

traité avec le Pérou, qui doit avoir Heu à Lima; on la recevra bientôt, et ans doute alors seront liquidées et ayées les réclamations contre cette épublique.

Par suite d'une mésintelligence enre ce gouvernement et celui de Buemos-Ayres, survenue il y a quelques ~nnées, le gouvernemen! n'a pas été eprésenté près cette cour, tandis qu'un ministre de Buenos-Ayres est Constamment resté ici. La cause de 'irritation est passée en grande partie, et l'on songe, en vue des intérêts im*portants qui se sont développés dans ce pays au commencement de la présente session du congrès, avec le concours du sénat, à rétablir les relations diplomatiques entre les deux pays.

Aux termes d'un acte du congrès de la dernière session, un ministre a été envoyé des Etats-Unis en Chine au mois d'août de cette année. D'après les dernières nouvelles reçues de lui, il était à Suez, en Egypte, le 25 septembre dernier, se dirigeant vers la Chine.

Quant aux tribus indiennes qui résident dans les limites de notre juridic

1er juillet de chaque année. Le budget de l'année financière courante prouvera que les emprunts et bons du trésor, faits et émis avant la clôture du dernier congrès pour faire face au déficit présumé, n'ont pas été entièrement suffisants. Bien que le 1er octobre dernier il y eût au trésor une balance, par suite de l'allocation faite de 3,914,082 dollars, cependant les appropriations faites par le congrés absorberont cette balance et laisseront un déficit probable de 2 millions de dollars à la clôture de la présente année financière. Il y a des bons du trésor encore à rembourser pour 4.600,000 dollars; s'ils étaient représentés au trésor cette annnée, il faudrait des prévisions pour les racheter. Je ne regarde pas cette éventualité comme probable, car ces bons sont entrés dans le système monétaire du pays, dont ils continueront à faire partie, si l'on continue ce système. L'emprunt de 1841, s'élevant à 5,672,976 dollars, doit échoir le 1er janvier 1845; il faut y faire face ou faire un nouvel emprunt. Si vous n'augmentez pas matériellement les ressources des revenus, il y aura un déficit probable, pour le service de l'année financière qui expire au 30 juin 1845, de plus de 4 millions de dollars.

La déception qui se rattache à une circulation énormément excessive du papier donnant une valeur factice à tont, et stimulant l'esprit başardeux

de spéculation, cette déception a été heureusement remplacée par la substitution des métaux précieux et du papier promptement rachetable en espèces ainsi ont disparu de fausses valeurs, et les choses se sont établies sur un meilleur pied. Cette transition, bien que se rattachant d'une manière intime à la prospérité du pays, a été accompagnée de beaucoup d'embarras pour le gouvernement dans les matières financières. Tant que les étrangers qui font l'importation ont reçu le paiement de leurs cargaisons en argent de moins de valeur que celui de l'Europe, mais pouvant servir ici à l'achat de nos produits agricoles, leurs bénéfices s'augmentant considérablement par l'opération, les embarquements ont été considérables, et les revenus - du gouvernement sont devenus surabondants. Mais le changement du carac tère de la circulation a amené la dimi nution des importations et le déficit des revenus. Aussi le congrès, en 1837, fut-il forcé de recourir à l'expédient d'émettre des bons du trésor et de les consolider pour faire face aux déficits. Toutefois, je ne saurais m'empêcher de faire observer qu'il n'est pas compatible avec la dignité du gouver nement qu'une dette publique soit créée en temps de paix pour faire face aux dépenses courantes du gouverne ment, ou qu'il ne faut employer aucun expédient temporaire que juste le temps où l'on ne peut s'en passer. Le pou voir exécutif ne peut qu'employer les moyens que le congrés lui met aux mains pour l'appui du gouvernement. Heureusement pour le bien du pays et pour la conservation de ses libertés, il n'a pas le pouvoir de faire subir au peuple des exactions, ni de le forcer, Sous quelque forme que ce puisse être, de verser des tributs aux revenus publics.

Il peut seulement recommander les mesures qui, dans son opinion, peu. vent être utiles au service public; et le congrès, à qui il les soumet, a seul le droit d'émettre et toucher des taxes, droits, impôts et accises. Ce droit a déjà été mis en vigueur dans plusieurs occasions. L'état actuel des choses fait espérer que le commerce et l'industrie revivront rapidement et heureusement pour le pays; les sources du revenu

n'ont qu'à être ouvertes pour cau abondamment.

Bien que nous ne puissions pas, des raisons connues de tous, espér un accroissement considérable dip duit des ventes de biens nation pendant quelques années, cependa ces biens doivent être regardes come les biens du crédit public.

Lorsque le gouvernement a somm contrôle à sa disposition les terrai plus fertiles du monde, qui pouri douter qu'il fera face dans toute un sion à ses engagements, à des épops d'épreuves et de difficultés semblai à celles que nous traversons? Le up taliste place son argent dans les fond publics avec la plus grande coním dans le remboursement définitif, a quoi que l'on puisse dire, à une p que de plus grande prospérité f cière que celle des années qui siv rent 1833. Je regarderais comme a acte de suicide, à une époque d'emb ras financier, d'aliéner les biens naux eux-mêmes ou les proven de leurs ventes. Le premier de les devoirs des hommes investis & l'administration des affaires publiqu c'est de conserver le crédit public. tablir le crédit du gouvernement tral, c'est le seul moyen de rester le crédit des Etats. Les extrémitéu » peuvent être saines et sauves gre produisant une action salutaire sur gouvernement central. L'histoire nos jours démontre que la hausse à la vente des fonds du gouverneme sera, la plupart du temps, accomp gnée par un accroissement de la leur des fonds des Etats. Ce serait tière à félicitations générales, qu'aum lieu de tous les embarras, nés de circonstances, le crédit du gouverne ment eût été assez solidement réta pour qu'il pût effectuer un emprant de 7 millions de dollars, pour rachete une somme de bons du trésor à de conditions plus favorables que tous celles proposées depuis nombre d'a

nées.

Le 6 p. cent créé en 1842 a moolè entre les mains des porteurs à près de 20 p. cent au-dessus du pair; ainsi des manifestée d'une manière signalée à confiance du peuple dans l'intégrité de son gouvernement. Si le congrès joge nécessaire la révision du tarif dans l'i

térêt du revenu, je ne doute pas que vous examinerez la question sous le point de vue juste et éclairé de la sollicitude pour les intérêts de l'union enière. Mes principes et mes vœux déjà exprimés à ce sujet n'ont pas varié; mais on ne saurait trop répéter que »l'intérêt de toute affaire importante dans la vie demande pour le succès la permanence et la stabilité de la législation.

On ne peut atteindre ce but qu'en prenant pour base d'action la modération en toutes choses, aussi nécessaire pour assurer l'action harmonieuse du système politique que du système animal de notre organisation politique. Aucune section du pays ne doit désirer faire prévaloir ses intérêts au sacrifice de ceux des autres sections. L'u nion étant le grand intérêt également précieux pour tous, doit être fomentée et soutenue par des concessions mutuelles, et, en cultivant cet esprit de transaction d'où la constitution elle#même a émané, vous apprendrez, par

le rapport de la trésorerie, la mesure adoptée sous l'empire de l'acte de la dernière session, autorisant la réémission des bons du trésor au lieu de ceux qui sont encore à rembourser. Le système adopté conformément aux lois existantes paraît bien calculé pour épargner au pays un chiffre énorme d'intérêts, en donnant des facilités et en faisant disparaître le danger et les fruits de la transmission des fonds à des agents qui déboursent. Je vous renvoie également au rapport sur les moyens proposés par le secrétaire pour augmenter les revenus, et surtout à la partie qui a trait au système d'emmagasinage, par moi soumis au congrès avec instance dans la dernière session, et dont je soutiens toujours l'importance. En vue de l'état de désordre du systėme monétaire à cette époque, et du taux élevé des charges entre les diverses parties du pays, j'ai cru de mon devoir d'appeler l'attention de mes prédécesseurs sur une proposition en harmonie avec la constitution ou avec les droits des Etats et sanctionnée, sinon en détail, du moins en principe, par quelques hommes éminents, mes prédécesseurs au pouvoir exécutif.

Cette proposition avait pour but d'établir que l'émission de bons du trésor,

n'étant pas moins de 5 ni de plus de 100 dollars, serait employée à payer les obligations du gouvernement, au lieu d'or et d'argent, au choix des créanciers publics et pour une somme n'excédant pas 15 millions de dollars. On proposait que ces bons fussent reçus partout, et qu'il fût établi sur divers points des dépôts d'or et d'argent pour le rachat de ces bons, de manière à assurer leur conversibilité en espèces. Sans doute ces bons eussent maintenu une valeur égale à l'or et à l'argent, fournissant ainsi un papier monétaire d'une égale valeur dans toute l'Union, et satisfaisant à la fois au vœu du peuple et au devoir d'un bon gouvernement.

Une telle combinaison, dont le congrès eût réglé les accessoires et les dé tails, aurait eu, selon moi, les plus heureux résultats, et tout le système monétaire se serait ainsi trouvé placé sous le contrôle immédiat du congrès, suivant le vœu de la constitution.

L'action du gouvernement aurait été indépendante de toute corporation. Cette combinaison eût offert des avantages plus réels et surtout plus expéditifs que ceux résultant de la banque. Si l'on juge par le passé des secours que pourrait donner la banque, on peut évaluer qu'il faudrait quinze ans pour que l'émission de 15 millions de dollars en billets de la banque des Etats-Unis pût produire de l'effet, tandis qu'une année aurait suffi, en vertu de la combinaison nouvelle,pour que l'émission de 15 millions de dollars en bons du trésor produisit le même résultat.

L'économie pour le gouvernement eût égalé tout l'intérêt qu'il y eu à payer sur les bons du trésor en émission, tant antérieurs que postérieurs, et le gouvernement et le peuple y eussent gagné. Sous la responsabilité qui s'attache à mon poste, et pour te nir la promesse faite au dernier congrès, à la clôture de la première ses. sion, j'ai, dans deux sessions consécu tives, appelé l'attention du congrès sur cette combinaison. La recommandation n'a pas eu de succès. Tout en reconnaissant que les besoins du temps se sont modifiés et que la position s'est améliorée, et qu'il y a eu lieu d'espérer voir le pays sortir des difficultės sans

bornes qui l'assiégeaient en 1841, je ne puis m'empêcher de penser que son retour à une condition saine et heureuse serait bien facilité par l'adoption de cet expédient modifié.

Les operations du trésor reposent maintenant sur l'acte de 4789 et la résolution de 1816, et ces lois ont été administrées de manière à produire le plus de bien possible au pays. Si quelque opinion distincte avait cherché à démontrer que le sentiment public repousse le plan, soit sous la forme recommandée déjà au congrès, ou sous une forme modifiée, tandis que mon opinion sur ce plan fût restée invariable, je ne l'aurais pas présenté de nouveau à votre considération. Le gouvernement est né des Etats et du peuple pour leur bien-être et leur avantage; il serait donc contraire aux principes fondamentaux de tout l'édifice politique qu'ils ont élevé, de persévérer dans une mesure que dans leur jugement ils auraient répudiée ou condamnée. Le vœu de nos constituantes, clairement exprimé, doit être regardé comme la lumière qui guidera nos pas. La véritable différence qui existe entre un gouvernement monarchique ou aristocratique et un républicain, c'est que, dans le premier, la volonté de quelques uns prévaut sur la volonté de tous, tandis que, dans le second, la volonté de tous doit seule être consultée.

Le rapport du secrétaire de la guerre vous fera connaître l'état de cette importante branche du service public. L'armée peut être considérée, à raison du petit nombre d'hommes et de compagnies de chaque gouvernement, comme un nœud autour duquel se rallierait la force militaire du pays en cas de guerre, et cependant ses services pour la conservation de la paix aux frontières sont de la plus haute importance. Dans l'urgence, la réserve du pays est placée dans la milice des divers Etats; et il méritera d'être pris en considération par le congrès si l'on ne pourrait pas introduire une nouvelle et plus parfaite organisation de l'armée, relativement aux volontaires actuels, et d'une application aisée au grand corps de la milice en temps de guerre.

Les dépenses du département de la

guerre ont été considérableme: v duites dans les deux dernières a il pourrait se présenter des cas, cou dant, où il faudrait remplir le des régiments par des supple d'hommes, et remonter le cou dragons, qui avait été dissous p acte du dernier congrès.

Je me réfère au rapport da taire du gouvernement pour tout a trait à la marine des États-Unika dis que nous ferons tous nos de pour retrancher toutes les superfe de dépenses, cependant il est sp prudent de ne recommander im changement matériel dans les att tions. Les intérêts qui concernen. marine sont d'une importance grande pour que je recommande a tre chose qu'une politique libérale

Des allocations sont également cessaires pour permettre au pos exécutif de terminer les vaisseaut tuellement sur le chantier, et de in les réparations requises pour les actif dans l'espace de temps le p court possible, afin de prévenir le a d'urgence. Une marine convenia en même temps qu'elle est le m de défense le moins coûteux, dr. la nation des idées d'orgueil es confiance, que des faits brillantser valeur héroïque ont soutenues jus Je me réfère tout particulièremen cette partie du rapport qui a trat récentes expériences faites dans la plication de la vapeur, et dans la struction des steamers de guerre, * ̧ la surveillance d'officiers distingust, la marine. Outre ces améliorations tentes dans la construction des mach nes à vapeur et l'application é puissance motrice qui les appropria aux besoins des vaisseaux de guem un de ces officiers a mis en usage m nouvelle puissance qui rend les seaux à vapeur formidables dans l'a taque et dans la défense. Je ne p trop hautement recommander ce sug à votre considération, et je n'est pas à exprimer ma conviction qu'ile d'une grande importance.

J'appellerai encore votre attention particulière sur cette partie du ş port du secrétaire, qui a trait à l'a de la dernière cession du congrès qu prohiba le transport de toute balance d'allocation d'autres chapitres à cet

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