Royer-Collard |
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Common terms and phrases
allait amis appelé assez aurait avaient c'était caractère cause cesse Chambre Charte chercher choses Collard commun comte Conseil côté coup cours d'autres demandait députés dernière devait devoir dire disait discours Doctrinaires doctrine domination donner élèves esprit faisait filles fond force formes française général gens gouvernement haute hommes idées institutions intérêts jeune jour jugeait jusqu'à justice l'ancien l'esprit l'État l'homme l'instruction l'un l'Université laisser lettre liberté libre livre lois Louis XVIII lui-même ment mère mieux ministre monarchie monde montre morale n'avait n'en n'était nation nécessaire nobles nouvelle parler paroles passé passion pays pensée personne peuple peut-être philosophie place politique portait pouvait pouvoir premier profondément propos propre public publique qu'à qu'un raison régime religion remarqué représentant Restauration reste Révolution rien royale royauté Royer-Collard s'était savait sentiment serait seulement siècle sociale société sorte souvent surtout tard tenait théorie tion trait tribune trouver venait vérité vive voulait voyait vrai
Popular passages
Page 179 - C'est, selon le projet de loi, la profanation des vases sacrés et des hosties consacrées. Qu'est-ce que la profanation ? C'est toute voie de fait commise volontairement, et par haine ou mépris de la religion.
Page 179 - Il n'ya plus de Dominique, et nous ne sommes pas non plus des Albigeois. La théocratie de notre temps est moins religieuse que politique ; elle fait partie de ce système de réaction universelle qui nous emporte : ce qui la recommande, c'est qu'elle a un aspect contre-révolutionnaire.
Page 113 - L'Université, considérée sous ce grand point de vue, n'est autre chose que le gouvernement appliqué à la direction universelle de l'instruction publique...
Page 181 - Mais elles ne contiennent pas l'homme tout entier. Après qu'il s'est engagé à la société, il lui reste la plus noble partie de lui-même, ces hautes facultés par lesquelles il s'élève à Dieu, à une vie future, à des biens inconnus dans un monde invisible.
Page 164 - Adieu, mon cher Camille, nous sommes entrés ensemble, il ya vingt-quatre ans, dans la carrière publique, et pas un seul jour, dans une si longue route, nous n'avons été désunis. Même but, même pensée, même fortune. La mort seule a pu nous séparer pour un temps. Adieu , ô le plus aimable de mes amis.
Page 145 - Voilà notre démocratie, telle que je la vois et la conçois ; oui, elle coule à pleins bords dans cette belle France, plus que jamais favorisée du ciel. Que d'autres s'en affligent ou s'en courroucent ; pour moi, je rends grâce à la Providence de ce qu'elle a appelé aux bienfaits de la civilisation un plus grand nombre de ses créatures. « 11 faut accepter cet état ou il faut le détruire, et pour le détruire, il faut dépeupler, appauvrir, abrutir les classes moyennes.
Page 111 - L'Université a. donc le monopole de l'éducation, à peu près comme les tribunaux ont le monopole de la justice, ou l'armée celui de la force publique.
Page 110 - Ceux qui veulent que le paysan ne sache ni lire ni écrire, se sont fait, sans doute, un patrimoine de son ignorance, et leurs motifs ne sont pas difficiles à apprécier.
Page 58 - VM , comme un gage de tranquillité et de bonheur, les règles sur lesquelles elle établit la transmission du pouvoir : c'est-à-dire qu'on propose à VM d'assurer à la France, autant qu'il est en Elle, à la place du gouvernement monarchique héréditaire tempéré par des lois fondamentales , le gouvernement militaire électif sans limites et sans barrières. Avoir réduit la question à ces termes , c'est l'avoir résolue. Il s'agit en effet de prononcer entre le plus parfait et le pire des...
Page 180 - ... est l'outrage direct à la majesté divine, c'està-dire, selon les anciennes ordonnances, le crime de lèse-majesté divine, et d'une autre part, que ce crime sort tout entier du dogme catholique de la présence réelle...