Histoire de la terreur, 1792-1794, Volume 3Michel Lévy frères, 1863 - France |
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10 août 1er septembre 24 août accusés administrateurs Adrien Duport arrêté assassins avaient avons retrouvé Bouffart ci-devant citoyens comité de sûreté comité de surveillance commandant commissaires commission extraordinaire commune insurrectionnelle Conciergerie conseil général constitution Convention nationale corps législatif crime d'accusation d'Orléans Danton Débats et Décrets déclare délibération démagogie demande députés détenus devant Duport égorger envoyé Étampes Fayette Fournier garde nationale heures hommes jour Journal des Débats journée juges juré jury justice l'Abbaye l'an l'armée l'Assemblée législative l'Assemblée nationale l'Hôtel Léonard Bourdon lettre liberté Louis Blanc Louis XVI Maillard maire malheureux Marat massacres de septembre membres ment ministre de l'intérieur Moniteur monsieur Montmorin mort nation nommé officiers municipaux ordres Orléans parisienne patrie patriotes Pétion peuple pouvoir exécutif présent président prêtres prisonniers prisons procès-verbal procureur registre révolution Robespierre Roland sauver séance section septembre 1792 sera sieur Suisses sûreté générale tion tribunal criminel tribunal du 17 trouve Versailles victimes
Popular passages
Page 221 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie: pour les vaincre, messieurs, il faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Page 429 - 16 de la déclaration des droits, toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée, ni la séparation des pouvoirs déterminée, n'a point de constitution;
Page 425 - si le roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuteroit en son nom
Page 308 - La commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements qu'une partie des conspirateurs féroces, détenus dans les prisons, a été mise à mort par le peuple : actes de justice
Page 469 - tout complot tendant à troubler l'État par une guerre civile en armant les citoyens les uns contre les autres ou contre l'exercice de l'autorité légitime, seront punis de mort;
Page 320 - une douzaine de bourreaux, les bras nus, couverts de sang, les uns avec des massues, les autres avec des sabres et des coutelas qui en dégouttaient, exécutant à l'instant les jugements; des citoyens attendant au dehors les jugements avec impatience, gardant le plus morne silence aux arrêts de mort, jetant des cris de joie aux arrêts d'absolution
Page 134 - et l'on a eu raison. Il était important de se saisir des traîtres; mais, y en eût-il trente mille à arrêter, il faut qu'ils soient arrêtés demain, et que demain Paris communique avec la France entière... La municipalité est investie du droit de saisir tous les hommes suspects, mais que, dès demain, le peuple
Page 220 - Mars? Vous avez manifesté une grande ardeur pour les fêtes; sans doute, vous n'en aurez pas moins pour les combats. Vous avez chanté, célébré la liberté, il faut la défendre ; nous n'avons plus à renverser des rois de bronze, mais des rois environnés d'armées puissantes. Il
Page 313 - du Temple et autres voisins de la demeure du roi et de l'hôtel de la Force, à qui j'ai recommandé cette prison qui n'était pas encore attaquée. « Je vais redoubler d'efforts auprès de la garde nationale, et je vous jure que si elle reste dans l'inertie, mon corps servira de bouclier au premier citoyen qu'on voudra insulter.
Page 221 - tout s'ébranle, tout brûle de combattre ; que quiconque refusera de servir de sa personne ou de remettre ses armes soit puni de mort. Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie: pour les vaincre, messieurs, il faut de l'audace, encore de l'audace, toujours de l'audace, et la France est sauvée.