Histoire de la Révolution française, Volume 2M. Lévy frères, 1850 - France |
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Common terms and phrases
10 août applaudissements armée armes arrêté assemblées avaient Beaulieu Brissot Brunswick Camille Desmoulins cent Chabot Champ-de-Mars château chefs citoyens clubs comité de surveillance commissaires conseil général conspiration Constitution Convention nationale coupables cour crimes d'accusation Danton déclarer décret demande départements députés Desmoulins devant dictature directoire discours Dumouriez égorger émigrés ennemis envoya Fabre d'Églantine fédérés force foule garde nationale Girondins Guadet guerre j'ai Jacobins journal Journiac de Saint-Méard juges justice l'Abbaye L'Ami du Peuple l'armée l'Assem l'Assemblée législative l'Assemblée nationale Lafayette laisser liberté Longwy Louis Capet Louis XVI maire majorité Marat massacres membres ment messieurs mille hommes ministre mort motion municipalité nation officiers passa à l'ordre patrie patriotes Pétion pétition pouvoir exécutif président prisonniers prisons proclamation prononcer Prussiens république révolution Robespierre Rolland royalistes salut public sang sauver séance sections septembre serait seul soldats Suisses tête tion toyens traîtres tribunal tribune troupes tueurs Tuileries tyran Vergniaud voix
Popular passages
Page 253 - La Commune de Paris se hâte d'informer ses frères de tous les départements, qu'une partie des conspirateurs féroces détenus dans les prisons a été mise à mort par le peuple : actes...
Page 336 - Un jour peut-être les hommes , aussi éloignés de nos préjugés que nous le sommes de ceux des Vandales , s'étonneront de la barbarie d'un siècle où ce fut quelque chose...
Page 234 - Le tocsin qu'on va sonner n'est point un signal d'alarme, c'est la charge sur les ennemis de la patrie. Pour les vaincre, Messieurs, il nous faut de l'audace, encore de l'audace^ toujours de l'audace, et la France est sauvée.
Page 357 - La convention nationale déclare Louis Capet, dernier roi des Français, coupable de conspiration contre la liberté de la nation, et d'attentat contre la sûreté générale de l'État.
Page 344 - J'avoue que les preuves multipliées que j'avais données dans tous les temps de mon amour pour le peuple, et la manière dont je m'étais toujours conduit, me paraissaient devoir prouver que je craignais peu de m'exposer pour épargner son sang, et éloigner à jamais de moi une pareille imputation.
Page 253 - ... qui lui ont paru indispensables pour retenir, par la terreur, ces légions de traîtres cachés dans ses murs, au moment où il allait marcher à l'ennemi; et sans doute la nation entière, après la longue suite de trahisons qui l'ont conduite sur les bords de l'abîme, s'empressera d'adopter ce moyen si nécessaire de salut public, et tous les Français s'écrieront comme les Parisiens: Nous marchons à l'ennemi; mais nous ne laisserons pas derrière nous des brigands, pour égorger nos enfans...
Page 179 - Que ceux qui vont obtenir l'honneur de marcher les premiers pour défendre ce qu'ils ont de plus cher, se souviennent toujours qu'ils sont Français et libres; que leurs concitoyens maintiennent dans leurs foyers la sûreté des personnes et des propriétés; que les magistrats du peuple veillent attentivement ; que tous , dans un courage calme , attribut de la véritable force , attendent pour agir le signal de la loi , et la patrie sera sauvée.
Page 353 - Ah! fuyez-les plutôt! redoutez leur réponse! Je vais vous l'apprendre. Vous leur demanderiez du pain; ils vous diraient : Allez dans les carrières disputer à la terre quelques lambeaux sanglants des victimes que nous avons égorgées ! Ou : voulez-vous du sang? Prenez, en voici! Du sang et des cadavres, nous n'avons pas d'autre nourriture à vous offrir! Vous frémissez, citoyens...
Page 328 - L'univers, la postérité ne verra dans ces événements que leur cause sacrée et leur sublime résultat; vous devez les voir comme elle. Vous devez les juger, non en juges de paix, mais en hommes d'État et en législateurs du monde.
Page 115 - terreur sont souvent sorties dans les temps antiques, « et au nom du despotisme, de ce palais fameux : « qu'elles y rentrent aujourd'hui au nom de la loi! » (Les applaudissements redoublent et se prolongent.) « Qu'elles y pénètrent tous les cœurs ! Que tous ceux « qui l'habitent sachent que notre constitution n'ac...