Le communisme jugé par l'histoire, depuis son origine jusqu]en 1871 |
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absolue anabaptistes Aristote Babœuf besoins bles bourgeois brahmane c'est-à-dire capital castes chambre unique chap charité Charles Fourier christianisme citoyens civile civilisation classes communauté communisme condition conscience conséquent constitution d'hui Dieu édition ÉDOUARD LABOULAYE elle-même esclavage esprit esséniens état de nature États-Unis États-Unis d'Amérique existé facultés famille femmes fonder force fortune frères moraves galité gouvernement gratuité du crédit Histoire hommes idées individuelle indus institutions intelligence intérêts justice l'égalité l'Église l'empire l'esclavage l'État l'histoire l'homme l'individu l'industrie l'inégalité l'ordre social laisse législateur légitimes lévirat liberté d'enseignement lois Louis Blanc Lycurgue Mably membres ment misère mœurs morale Morelly munauté nation nature humaine nécessaire nisme non-seulement opprimer ordre social ouvriers passions pensée personne peuple politique principe propriété Proudhon qu'une raison réforme régime religieuse religion républicaine RÉPUBLIQUE CONSTITUTIONNELLE révolution rien Robespierre Rousseau sacrifice sentiment sera servitude seul Société internationale Sparte supprime système tion travail Ubi supra violence voilà
Popular passages
Page 82 - Les secours publics sont une dette sacrée. La société doit la subsistance aux citoyens malheureux, soit en leur procurant du travail, soit en assurant les moyens d'exister à ceux qui sont hors d'état de travailler.
Page 66 - LE premier qui ayant enclos un terrain s'avisa de dire ceci est à moi, et trouva des gens assez simples pour le croire, fut le vrai fondateur de la société civile (*). Que de crimes, de guerres , de meurtres, que de misères et d'horreurs n'eût point épargnés au genre humain celui qui , arrachant les pieux ou comblant le fossé , eût crié à ses semblables : Gardezvous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne...
Page 81 - La propriété est le droit qu'a chaque citoyen de jouir et de disposer de la portion de biens qui lui est garantie par la loi.
Page 71 - Premièrement , on doit considérer le rapport des quantités selon lequel, toutes choses égales, celui qui a dix fois plus de bien qu'un autre doit payer dix fois plus que lui : secondement, le rapport des usages, c'est-à-dire la distinction du nécessaire et du superflu. Celui qui n'a que le simple nécessaire ne doit rien payer du tout; la taxe de celui qui a du superflu peut aller au besoin jusqu'à la concurrence de tout ce qui excède son nécessaire.
Page 69 - Chacun de nous met en commun sa personne et toute sa puissance sous la suprême direction de la volonté générale; et nous recevons en corps chaque membre comme partie indivisible du tout.
Page 66 - Gardez-vous d'écouter cet imposteur; vous êtes perdus si vous oubliez que les fruits sont à tous , et que la terre n'est à personne!
Page 46 - Il ya telles positions malheureuses où l'on ne peut conserver sa liberté qu'aux dépens de celle d'autrui , et où le citoyen ne peut être parfaitement libre que l'esclave ne soit extrêmement esclave.
Page 67 - Il est certain que le droit de propriété est le plus sacré de tous les droits des citoyens, et plus important, à certains égards, que la liberté même...
Page 40 - On ne laissait à personne, dit-il (2) , la liberté de vivre à son gré ; la ville était comme un camp où l'on menait le genre de vie prescrit par la loi. » Si nous ajoutons maintenant à cette...
Page 34 - Les sages qui connaissent les temps anciens ont décidé que le champ cultivé est la propriété de celui qui le premier en a coupé le bois pour le défricher, et la gazelle celle du chasseur qui l'a blessée mortellement (1).