Georges Cadoudal Et La Chouannerie

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E. Plon, 1887 - Chouans - 476 pages
 

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Popular passages

Page 444 - Au nom du peuple français, Bonaparte, premier consul, proclame loi de la république le décret suivant, rendu par le corps législatif le...
Page 192 - ... révolutionnaires. Sévissez avec fermeté. Il est à craindre que beaucoup de ceux qui seront déclarés otages ne cherchent un refuge dans les bandes ; qu'ils soient au premier soupçon de fuite frappés de mort ; c'est la lettre et l'esprit de la loi, un bon Républicain doit s'y soumettre aveuglément. « Quant à l'emprunt forcé dont le Directoire s'est réservé plus spécialement l'application où et quand cela convient aux nécessités dont il reste le maître, il me semble que les deux...
Page 445 - Meynard, secrétaires. Soit la présente loi revêtue du sceau de l'état, insérée au bulletin des lois, inscrite dans les registres des autorités judiciaires et administratives et le ministre de la justice chargé d'en surveiller la publication.
Page 333 - Je vous salue, Marie, pleine de grâce ; le Seigneur est avec vous, vous êtes bénie entre toutes les femmes, et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni. Sainte Marie, Mère de Dieu, priez pour nous, pauvres pécheurs, maintenant et à l'heure de notre mort.
Page 110 - ... appeler téméraires, parce que ceux qui les portent « ne sont pas instruits de la vérité. Puis-je conquérir <• ainsi mon royaume? Et supposé que mes fidèles « sujets obtiennent un tel secours que je n'aie qu'à me
Page 449 - N. (le prénom de l'Empereur], par la grâce de Dieu et les Constitutions de la République, Empereur des Français, à tous présents et à venir ; SALUT :
Page 320 - ... entendu très-distinctement : « Je viens de la Conciergerie; j'ai vu « Georges ; c'est un homme extraordinaire. Je « lui ai dit que j'étais disposé à lui offrir sa grâce , « s'il voulait promettre de ne plus conspirer « contre le gouvernement et accepter du service. « J'ai beaucoup insisté , tout a été inutile ; il a « résisté à tous mes efforts , et a fini par me dire : « Mes camarades m'ont suivi en France , je les sui« vrai à la mort » On verra qu'il tint parole , ej:...
Page 323 - Réal que s'il voulait s'attacher à moi, « non-seulement il aurait sa grace , mais que je « lui aurais donné un régiment. Que sais-je? je « l'aurais peut-être pris pour aide-de-camp. On « aurait crié ; mais cela m'eût été , parbleu , bien « égal. Georges a tout refusé; c'est une barre de « fer. Qu'y puis-je ? il subira son sort, car c'est « un homme trop dangereux dans un parti ; c'est « une nécessité de ma position. Que je ne fasse « pas d'exemples , et l'Angleterre va me jeter...
Page 355 - Mais sans ces conditions préalablement acceptées , nous mépriserons une amnistie que le crime ne doit jamais offrir à la vertu; nous braverons vos efforts et vos menaces. Aidés de nos fidèles et généreux soldats, nous combattrons jusqu'à la mort, et vous ne régnerez que sur la tombe du dernier d'entre nous.
Page 378 - Les cbouans sont des hommes de bien, ce sont de vrais chrétiens; ils se sont levés pour défendre notre pays et nos prêtres ; s'ils frappent à votre porte, je vous en prie, ouvrezleur ; Dieu de même, mes braves gens, vous ouvrira un jour, Julien 'aux cheveux roux i disait à sa vieille mère, un matin : — Je m'eu vais, moi.

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