L'opinion était excellente, elle est exécrable. La France se demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'empereur, ce bras dont elle a besoin pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite, de lois naturelles ? La première... Madame de Staël et Napoléon - Page 396by Paul Gautier - 1903 - 422 pagesFull view - About this book
| Étienne Aignan, Benjamin Constant, Évariste Dumoulin, Charles Guillaume Etienne, Antoine Jay, Étienne de Jouy, Pierre-Louis de Lacretelle, Pierre-François Tissot - France - 1819 - 656 pages
...qu'est de» venu le vieux bras de l'empereur, ce bras dout elle a be» soin pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de » bonté, de justice abstraite, de lois naturelles? La pre» mière loi , c'est la nécessité. La première justice, c'est » le salut public. On veut que... | |
| Jean-Baptiste Honoré Raymond Capefigue, Capefigue - France - 1831 - 502 pages
...demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'empereur. Que me parle -t-on de bonté, de justice abstraite? La première loi c'est la nécessité, la première justice c'est le salut public. Ou veut que des hommes que j'ai comblés de biens s'en servent pour conspirer contre moi dans l'étranger;... | |
| Jean Baptiste H.R. Capefigue - France - 1831 - 498 pages
...demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'empereur. Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite? La première loi c'est la nécessité, la première justice c'est le salut public. On veut que des hommes que j'ai comblés de biens s'en servent pour conspirer contre moi dans l'étranger;... | |
| Achille de Vaulabelle - France - 1847 - 484 pages
...qu'est « devenu le vieux bras de l'empereur, ce bras dont elle a besoin « pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de bonté, de justice « abstraite, de lois naturelles? La première loi, c'est la néces« sité ; la première justice, c'est le salut public. On veut que des « hommes que j'ai comblés... | |
| Achille de Vaulabelle - France - 1855 - 546 pages
...demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'Empereur, ce bras dont elle a besoin pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite,...nécessité; la première justice , c'est le salut public. On veut que des hommes que j'ai comblés de biens s'en servent pour conspirer contre moi dans l'étranger.... | |
| Guizot (M., François) - Europe - 1858 - 496 pages
...demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'Empereur, ce bras dont elle a besoin pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite,...à chaque circonstance sa loi, à chacun sa nature. La mienne n'est pas d'être un ange. Quand la paix sera faite, nous verrons. » Un autre jour, dans... | |
| Guizot (M., François) - Europe - 1858 - 502 pages
...(In'est devenu le vieux bras de l'Empereur, ce bras dont elle a besoin pour dompter l'Euro|K?. Une me parle-t-on de bonté, de justice abstraite, de...à chaque circonstance sa loi, à chacun sa nature. La mienne n'est pas d'être un ange. Quand la paix sera faite, nous verrons. » Un autre jour, dans... | |
| François Guizot - Europe - 1858 - 504 pages
...demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'Empereur, ce bras dont elle a besoin pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite,...nécessité; la première justice, c'est le salut public... A charme jour sa peine, à chaque circonstance sa loi, à chacun sa nature. La micane n'est pas d'être... | |
| Hippolyte Castille - Democracy - 1858 - 362 pages
...demande ce qu'est devenu le vieux bras de l'Empereur, ce bras dont elle a besoin pour dompter l'Europe. Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite,...nécessité, la première justice, c'est le salut public. » Ce fut à ce moment où le salut public commuadait tant de réserve que M. Guizot, envoyé par ses... | |
| François Buloz, Charles Buloz, Ferdinand Brunetière, Francis Charmes, René Doumic, André Chaumeix - France - 1859 - 1026 pages
...toute l'élévation de son génie, répondait encore en 1815 aux rédacteurs de l'acte additionnel : « Que me parle-t-on de bonté, de justice abstraite,...nécessité; la première justice, c'est le salut public. » Or Chateaubriand n'avait jamais admis cette loi de la nécessité supérieure à la justice, ou... | |
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