CONFÉRENCES de Loudun, p. 19.
CONFRERIE de Saint-Jacques d'Amiens, formée
par les merciers, p. 116;- de Saint-Louis, éta-
blie par quelques merciers dissidents, ibid. ; — de
Saint-Nicolas, érigée par les maîtres écrivains, p. 99.
CONSEIL D'ÉTAT. Statue sur une question re-
lative à la banlieue d'Amiens, p. 90.-
une délibération de l'échevinage d'Amiens, p. 104.
-Autorise cet échevinage à recevoir des maîtres
dans les corporations industrielles, p. 139.
Exempte les Amiénois du droit de franc-fief, p. 146.
- Règle la forme des élections municipales d'A-
miens,
169.
p.
Statue sur un différend entre le
gouverneur et les magistrats municipaux de cette
ville, p. 179. Décharge l'échevinage d'Amiens
de l'établissement d'un office de garde-scel, p. 197.
Renvoie les magistrats municipaux d'Amiens
devant le parlement, p. 204. - Confirme les pri-
viléges des Amiénois, p. 206. Statue sur une
protestation des drapiers d'Amiens, p. 211.—
Rend un arrêt relatif à une taxe imposée sur la
milice bourgeoise d'Amiens, p. 218. Fait droit
à une réclamation de l'échevinage d'Amiens, p. 236.
- Maintient les habitants d'Amiens dans le droit
d'élire les magistrats municipaux, p. 250. — Rend
divers arrêts dans un débat entre les Amiénois et
le bailli, ibid. - Règle en 1720 le mode de nomi-
nation des échevins à Amiens, p. 253. - Sanc-
tionne l'établissement de la chambre de commerce
d'Amiens, p. 281.-Autorise la construction d'un
moulin à foulon à Amiens, p. 331. - Intervient
dans un procès au sujet de la seigneurie des eaux
de la Somme, p. 335. -- Rend un arrêt relatif à