Studj filosofici e religiosi: del sentimentoT.Degiorgis, 1854 |
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adunque affatto all'uomo assoluta assurdo atti mentali azione c'est certezza ch'egli chap chè classificazione co'l cognizione concetto conoscenza conoscere contradizione coscienza credenze cristianesimo dell'Assoluto dell'ente dell'Umanità dell'uomo differenza diverse divina dogmatismo dogmi dottrina ENCYCLOPÉDIE ente enti esiste essenzialmente être facultà fede fenomeni filosofia forma Gioberti gione giudizio ideale idee imaginazioni instinto intelletto Kant l'altra l'anima l'ente l'essenza l'idea l'idée l'intelletto l'oggetto l'Umanità l'una l'uomo Lamennais leggi logica mais medesima mente metafisica mondo morale natura naturale NUOVO SAGGIO objettiva oggetto ontologiche pensiero percezione Perciocchè perocchè possono potenza principio proprio psicologia pure qu'il ragione raison rapporto razionale reale rebbe reli religione religioso RINOVAMENTO rivelazione Rosmini rosminiani roveretano scienza sensazione sensibile sensismo sensitività senso commune sentimento signor Nallino simbolo sistema sofista sovranaturale spirito umano subjetto suggetto sustanza teologia teoria teorica termini timento tismo tiva tout turale universale uomini v'ha verità vérité vero zione Zoroastro
Popular passages
Page 386 - Depuis la création, il a été vrai que les trois angles d'un triangle sont égaux à deux angles droits, et cela sera vrai jusqu'au jugement dernier et au delà.
Page 392 - ... de concert. On sait infailliblement par avance dans un hémisphère ce qu'on répondra dans l'autre sur ces vérités. Les hommes de tous les pays et de tous les temps, quelque éducation qu'ils aient reçue, se sentent invinciblement assujettis à penser et à parler de même.
Page 392 - Deux hommes qui ne se sont jamais vus, qui n'ont jamais entendu parler l'un de l'autre, et qui n'ont jamais eu de liaison avec aucun autre homme qui ait pu leur donner des notions communes, parlent aux deux extrémités de la terre sur un certain nombre de vérités , comme s'ils étaient de concert. On sait infailliblement par avance dans un hémisphère ce qu'on répondra dans l'autre sur ces vérités. Les hommes de tous les pays...
Page 365 - ... lança dans les recherches sans limites de l'absolu, il n'avait que cette voie ouverte devant lui. Aujourd'hui, une autre voie s'est faite, celle de l'expérience et de l'induction ; elle ne peut conduire aux notions absolues, et, quand on les demande à la raison, on lui demande plus qu'elle n'a. Ni l'édifice n'est plus solide que le fondement, a dit Bossuet, ni l'accident attaché à l'être plus réel que l'être même.
Page 381 - A cette foi naturelle correspond aussi une révélation naturelle supérieure et antérieure aux efforts réfléchis de la science. Kant lui-même reconnaît au nom de la foi l'existence de Dieu qu'il a refusé d'admettre au nom de la raison. Mais pour lui, encore plus que pour les philosophes qui lui ont succédé, la foi est un fait naturel qui résulte inévitablement des lois les plus essentielles de notre existence. D'une part, la règle absolue du devoir; de l'autre, le désaccord que nous...
Page xxix - ... laquelle nous insistons. En la comprenant, nous comprenons en même temps que la discussion pour savoir si le mythe provient d'un individu ou de plusieurs, du poète ou du peuple, ne porte pas, dans les cas mêmes où l'on peut la soulever, sur le fond de la question. Car si l'individu, c'est-à-dire le narrateur ne fait qu'obéir, dans l'invention du mythe, aux impulsions qui agissent simultanément sur le moral des autres, c'est-à-dire des auditeurs, il n'est plus que l'organe par lequel tous...
Page 385 - ... du moins une très-grande inégalité entre les hommes. Mais un grand nombre de nos croyances, précisément celles que nous avons citées tout à l'heure, sont nécessaires, invariables et universelles ; en même temps que je les reconnais en moi, il m'est impossible de supposer qu'elles n'existent pas chez tous les hommes, ou plutôt chez tous les êtres intelligents, qu'elles souffrent un seul instant d'interruption et soient susceptibles de s'affaiblir ou de gagner en force. Enfin nous sommes...
Page 386 - ... aussi embrassées et comprises par l'esprit avec une entière évidence comme les rapports auxquels elles donnent lieu. Mais la foi n'est pas renfermée dans les mêmes limites et ne reconnaît pas les mêmes conditions. Là où cesse l'évidence il ya encore de la place pour la foi. La foi est une espèce de certitude qui se passe de l'évidence et qui a pour objet propre, non les formes, mais la réalité; non les phénomènes , mais les êtres ; non de simples équations entre nos idées,...
Page 382 - ... philosophes écossais au scepticisme de Hume et à l'idéalisme de Berkeley. La philosophie étant une science de raisonnement et d'observation où rien ne doit être admis qui ne soit rigoureusement démontré et parfaitement accessible à la raison ou à l'expérience, nous n'avons pas à nous occuper ici de la foi entendue dans l'acception théologique, comme une vertu surnaturelle qui nous fait croire à une révélation non moins en dehors des lois de la nature; mais nous rechercherons s'il...
Page 369 - ... des entités aux conceptions concrètes du système théologique; dans l'état positif, enfin, l'homme, reconnaissant sa vraie position au sein de l'ordre dont il fait partie, comprend que l'ensemble des phénomènes est déterminé par les propriétés des choses, d'où résultent des lois immuables. Ainsi l'astronomie, où figurèrent...