Le Conservateur, Volume 3Le Normant Le Normant fils, 1819 |
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agens aujourd'hui auroient auroit avoient avoit bannis Benjamin Constant Bignon Bourdonnaye budget Buonaparte Cadastre calomnie cent-jours Chambre des Députés Chambre des Pairs Charte chose chrétienne Clausel conseil conseils-généraux Conservateur Convention Correspondance privée crime demande despotisme destitutions devoir Dieu dire discours discussion doctrines Etats étoient étoit eût faction falloit fidélité foiblesse force garde des sceaux général gloire gouvernement guerre institutions intérêts jacobins jamais jour journaux jugement justice l'Eglise l'Etat l'Europe l'opinion laisser Languedoc légitime libéraux liberté LIVRAISON loi des élections lois long-temps Louis XVI majorité Mathieu Dumas ment Minerve ministérielle ministres monarchie morale n'étoit nation nistres noble opinions parler paroît patrie pense pétitions peuple police politique pourroit pouvoir Pradt prince principes province public publique puissance qu'un raison régicides religieux religion reste révolution révolutionnaires rien rois Romorantin royalistes royauté s'est s'il saint Saint-Aulaire secret sentimens seroient seroit seul siècle silence société système talens tion tribune trône trouve vérité voter
Popular passages
Page 274 - L'âge de ces deux vieillards, leur position au-dessus de nous, la mort planant sur nos têtes et nous environnant de toutes parts, tout répandait sur cette cérémonie une...
Page 231 - La personne du roi est inviolable et sacrée. Ses ministres sont responsables. Au roi seul appartient la puissance executive. 13. Le roi est le chef suprême de l'Etat ; il commande les forces de terre et de mer , déclare la guerre , fait les traités de paix , d'alliance et de commerce...
Page 10 - L'incapacité passionnée perd les royaumes; elle ne conspire pas toujours, mais se* petites haines sont pires qu'une conspiration véritable. Veut-elle frapper un homme, elle tue une institution. Elle renversera la pairie pour se conserver , et elle aura l'ingénuité de le dire. Au reste . nous ne doutons point que l'Europe ne soit menacée d'une révolution générale, par la raison que le Christianisme...
Page 182 - Dépouillés le matin par un gouverneur turc, le soir les retrouve au pied du Calvaire , priant au lieu où Jésus-Christ souffrit pour le salut des hommes.
Page 560 - Mon gouvernement devait faire des fautes ; peut-être en at-il fait. Il est des temps où les intentions les plus pures ne suffisent pas pour diriger, où quelquefois même elles égarent : l'expérience seule pouvait avertir ; elle ne sera pas perdue.
Page 277 - Cette seule date devroit avertir les petits impies du moment que s'ils ne parviennent à renverser le trône, c'est en vain qu'ils prétendent détruire la religion. Le trône de saint Louis sans la religion de saint Louis est une supposition absurde ; la légitimité politique amène de force la légitimité religieuse.
Page 558 - Ce qui constitue une République, c'est la destruction totale de ce- qui lui est opposé. On se plaint des mesures révolutionnaires! Mais nous sommes des modérés, en comparaison de tous les autres gouvernements.
Page 344 - Voici donc le principe fondamental des lois politiques en fait de religion. Quand on est maître de recevoir dans un état une nouvelle religion , ou de ne la pas recevoir , il ne faut pas l'y établir; quand elle y est établie , il faut la tolérer.
Page 547 - La ville de Lyon sera détruite, tout ce qui fut habité par le riche sera démoli...
Page 183 - Romains, ont disparu de la terre; et un petit peuple, dont l'origine précéda celle de ces grands peuples, existe encore sans mélange dans les décombres de sa patrie. Si quelque chose, parmi les nations, porte le caractère du miracle , nous pensons que ce caractère est ici.