Revue de Bretagne, de Vendée & d'Anjou, Part 2Arthur La Broderie, Émile Grimaud J. Forest, aîné, 1888 - Brittany (France) |
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acte Apollinaire Astaroth avaient avocat beau belle Bertrand du Guesclin Bétoine Biographie Biré Borderie bougrement breton c'était chant charge chose cœur Congrès conseiller Corentin Cour Courcy date délibérants dernier deuz Dieu dire donner enfants fabriciens famille femme fille Finistère foen François Fréron général Guesclin gwerz homme j'ai Jean jeune jour journal juin l'abbé l'auteur l'église l'empereur L'INTENDANT DE BRETAGNE Langoat Laval Lefeuvre Lehon lettre littéraire livres maison mariage mars ment Monseigneur MONSELET Monsieur mort Nantes Nominoë nommé ô gué Parlement de Bretagne paroissiens passer Paul Féval pauvre pays pays de Léon Père Duchêne pièce politique Pont-Labbé Pontivy premier procureur publié Quimper recteur Rennes reste rien roman Royou saint Patrice saint Yves Saint-Brieuc Saint-Malo Saint-Sévrin sainte Pompée seigneur sera seul sieur simple queue sœur somme SOURY Timandre tion Tréguer Trémoille trouve Vicaire vieux Voltaire vrai XVIIe siècle
Popular passages
Page 245 - Gardez-vous des faux prophètes, qui viennent à vous couverts de peaux de brebis, et qui au dedans sont des loups ravisseurs (/). 16. Vous les connaîtrez par leurs fruits : peut-on cueillir des raisins sur des épines, ou des figues sur des ronces ? 17.
Page 354 - N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. Pour elle, quoique Dieu l'ait faite douce et tendre, Elle ira son chemin, distraite, et sans entendre Ce murmure d'amour élevé sur ses pas ; A l'austère devoir pieusement fidèle, Elle dira, lisant ces vers tout remplis d'elle : ' Quelle est donc cette femme ?
Page 101 - La plus grande de toutes les joies du Père Duchesne après avoir vu, de ses propres yeux, la tête du VETO femelle séparée de son foutu col de grue.
Page 16 - Je soutiendrai toujours, morbleu ! qu'ils sont mauvais, Et qu'un homme est pendable après les avoir faits. (A Cliiandre et à Acaste, qui rient.) Par la sambleu ! messieurs, je ne croyais pas être Si plaisant que je suis.
Page 282 - Mon petit bien n'est pas un fief impérial : N'attaquez jamais de bicoque Indigne d'un siège royal; Subjuguez tout le Rhin, la gloire en sera grande, La justice le veut, votre droit le demande, Ce sont des coups dignes d'un roi; Prenez sur l'Empereur, prenez sur la Hollande : Mais, Sire, au nom de Dieu, ne prenez rien sur moi...
Page 133 - Je l'ai vue en toutes sortes que j'ai pu voir, et ne faisait-on point de difficulté de me la montrer. » Et quant au personnage, elle est assez belle et a fort bonne grâce, sa manière fort douce et fort arrêtée, fort beau corps sans avoir tare d'être bossue, et autant obéissante à monsieur son père et à madame sa belle-mère que femme que j'acointai jamais...
Page 154 - STATUTS DE L'ASSOCIATION BRETONNE, ainsi conçu : Toute discussion sur la religion ou sur la politique est interdite dans les réunions de l'Association Bretonne. Une des journées du Congrès sera consacrée à une excursion archéologique.
Page 388 - En tesmoing de ce, Nous avons fait mettre nostre seel à ces présentes. Donné en nostre ville de Bruxelles, le XXIIII™...
Page 335 - ; son père était orfèvre. Voici un fait qu'on m'a assuré , mais dont je n'ai pas la certitude : on prétend que le père de Fréron a été obligé, plusieurs années avant sa mort, de quitter sa profession, pour avoir mis de l'alliage plus que de raison dans l'or et l'argent.
Page 471 - Loys, par la grace de Dieu, roy de France et duc de Bretaigne, à touz presens et advenir, salut. Savoir faisons, nous avoir receu...