Le comte Molé, 1781-1855: sa vie--ses mémoires, Volume 1 |
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abdication affaires allait armée avaient Barante Bonaparte Bondy Bourbons C'était Cambacérès cause Cent-Jours Chambellan Chambre des représentants château de Champlâtreux collègues comte Molé confiance Conseil d'État Conseil municipal conserver conversation Corps législatif Decazes déclaration demande devait dire discours dit-il donner duc d'Angoulême duc d'Otrante duc de Wellington esprit faisait force Fouché fùt général gloire gouvernement Guizot hommes j'ai j'avais j'étais jamais jours juger juifs l'Angleterre l'archichancelier l'armée l'avait l'Empereur l'Europe l'Impératrice Labédoyère laisser lignes supprimées Louis XVIII Majesté maréchal Mathieu-Louis menaces ment ministre Moniteur n'avait n'était Napo Napoléon nation nommé Note du comte Pairs parler parole Pasquier passer pendant penser personne peuple politique Ponts et Chaussées porte pouvait Pozzo préfet de police première prendre présenter prince proclamation régence Regnault reste retour révolution révolutionnaires rien royalistes Russie s'était salon savait sénatus-consulte sentiment serait servir seul Sire soir sorte surtout Talleyrand tion trouver Tuileries Vitrolles voulait
Popular passages
Page 292 - En butte aux factions qui divisent mon pays, et à l'inimitié des plus grandes puissances de l'Europe; j'ai terminé ma carrière politique. Je viens, comme Thémistocle, m'asseoir sur le foyer du peuple britannique; je me mets sous la protection de ses lois, que je réclame de Votre Altesse Royale, comme celle du plus puissant, du plus constant, du plus généreux de mes ennemis 1.
Page 95 - ... langui, état qu'il n'entre point dans nos intentions de maintenir ni de renouveler. Pour l'accomplissement de ce dessein, nous avons résolu de réunir en une assemblée les premiers d'entre les juifs, et de leur...
Page 11 - Premier Président, le plus intrépide homme, à mon sens, qui ait paru dans son siècle, demeura ferme et inébranlable. Il se donna le temps de rallier ce qu'il put de la Compagnie; il conserva toujours la dignité de la magistrature et dans ses paroles et dans ses démarches, et il revint au Palais-Royal au petit pas, dans le feu des injures, des menaces, des exécrations et des blasphèmes.
Page 27 - Paisible société, dit-il lui-même, où n'avait accès aucune des prétentions qui peuvent désunir les hommes, où la bonhomie s'unissait à la célébrité, où, sans y penser, on se faisait une occupation assidue de louer tout ce qui est louable, où l'on ne songeait qu'à ce qui est beau. » C'est au sortir de ces réunions que Joubert résumait sa pensée sur la conversation.
Page 242 - Charte constitutionnelle est rédigée; et si la force des armes parvenait à nous imposer momentanément un maître; si les destinées d'une grande nation devaient encore être livrées au caprice et à l'arbitraire d'un petit nombre de privilégiés...
Page 11 - Palais-Royal, et ne disant rien au peuple de la liberté de Broussel, ne trouva d'abord qu'un morne silence, au lieu des acclamations passées. Comme il fut à la barrière des Sergents, où était la première barricade, il y rencontra du murmure, qu'il apaisa en assurant que la Reine lui avait promis satisfaction.
Page 96 - Dans les autres départements de notre empire non portés audit tableau, et où il existerait des individus professant la religion juive, au nombre de cent et de moins de cinq cents, le préfet pourra désigner un député ; pour cinq cents et au-dessus jusqu'à mille...
Page 11 - Le seul premier président, le plus intrépide homme, à mon sens, qui ait paru dans son siècle, demeura ferme et inébranlable. Il se donna le temps de rallier ce qu'il put de la compagnie ; il conserva toujours la dignité de la magistrature et dans ses paroles et dans ses démarches, et il revint...
Page 95 - ... les sentiments de morale civile qui malheureusement ont été amortis chez un trop grand nombre d'entre eux par l'état d'abaissement dans lequel ils ont longtemps langui , état qu'il n'entre point dans nos intentions de maintenir ni de renouveler.
Page 95 - Rhin-et-Moselle, de la Moselle et des Vosges, lorsque les titres contre ces cultivateurs auront été consentis par eux en faveur des juifs.