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séparée de la souche-mère dès le xve siècle et fondue en 1705 dans la famille de Rougé du Plessis-Bellière. Elle a produit les rameaux de la Ferrière, de Bernac et de Kervéno. Le premier s'est fondu dans les Kersauson, le second dans les Francheville; le troisième subsiste actuellement dans les de Lantivy-Gillot de Kervéno, le nom de Gillot ayant été transmis par adoption aux de Lantivy de Kervéno, à la fin du siècle dernier. A la branche des sgrs du Coscro se rattachent aussi les sgrs de Rulliac, éteints au XVIIIe siècle.

3o La branche des sgrs de Talhouet, éteinte en 1764 et de laquelle sont sortis les rameaux du Rest et de Frémeur, fondus dans la maison de la Bourdonnaye-Blossac; de Sarrouet et du Boishardouin, éteint au siècle dernier, et des sgrs de Kergoff, vicomtes de Trédion, actuellement aînés de la maison de Lantivy.

4 La branche des sgrs de la Haye-Dréan, en Bretagne, de la Lande de Niafle et de l'Isle-Tizon au Maine, qui a donné naissance aux rameaux du Faouëdic, de la Guitonnière ou de Kergal et de la Vieuville. Cette branche s'est éteinte dans la personne du comte Louis-André-Charles de Lantivy qui, en 1789, fit des preuves de noblesse pour les honneurs de la Cour devant Louis-Nicolas-Hyacinthe Chérin, généalogiste et historiographe des ordres du Roi.

5° Une branche qui se fixa en Languedoc, sous le nom de de Reste, a donné plusieurs capitouls à la ville de Toulouse, une élève à Saint-Cyr, et a eu pour dernier représentant un commandeur de Malte, page de la comtesse d'Artois avant la Révolution, mort en 1822.

6o Il semble enfin qu'un rameau de la maison de Lantivy se soit fixé en Guyenne, s'il faut s'en rapporter à un article du Mercure de France de sept. 1753, qui annonce la mort en son château, près de Ségur, en Guyenne, de messire Pierre de Lantivy, chlr, marquis de Limur, comte de Saint-Ursin, sgr de Kerlan et de Danteuil. A la suite de cette nouvelle est une généalogie des Lantivy à laquelle le défunt n'est pas rattaché. Il nous a été impossible d'établir la filiation de ce personnage. D'après Potier de Courcy, les sgries de Limur et de Kerlan se trouvaient en la par. de Buléon, et les de Lantivy furent seigneurs de la Ferrière, par. de Buléon, depuis 1500. Il est pro

mousin: fascé, ondé d'ar

gent et de gueules de six pièces. Devise: Ante mare undæ.

bable que Limur et Kerlan étaient des métairies nobles qui furent données à des cadets. Danteuil n'est pas un nom breton. Peut-être est-ce le château de Guyenne dont parle l'article du Mercure?

Les rameaux qui subsistent encore sont :

1o Le rameau des vicomtes de Trédion dont les membres sont, depuis 1764, les aînés de la famille.

2o Le rameau de Lantivy-Gillot de Kervéno.

La filiation de la maison de Lantivy remonte, d'une façon exacte, d'après ses archives et les documents conservés dans les dépôts publics, à deux frères, Jean et Pierre de Lantivy, qui vivaient au commencement du xive siècle et ont pu naître à la fin du XIII.

L'aîné, Jean DE LANTIVY, chlr, baron d'Arches et sgr des Combes', d'après La Chesnaye des Bois, épousa 1° Julienne DE DE ROCHECHOUART, LI- ROCHECHOUART, sœur de Guillaume de Rochechouart, auteur de la branche des de Rochechouart, ducs de Mortemart, pairs de France, et fille d'Aimery, vil du nom, vicomte de Rochechouart, sgr de Mortemart, et de Marguerite de Limoges, (mariés avant 1245), laquelle était fille de Guy V, vicomte de Limoges, et d'Ermengarde; 2° Françoise DE CRAMEZEL, fille qur, alias de gucules à probablement d'Emmanuel Philippe de C. et de Louise de Fortescu.

De CRAMEZEL, Angle

terre et Bretagne d'a

trois dauphins d'argent. Devise: Fidelis patriæ.

Le cadet, Pierre de Lantivy, fut le premier auteur connu de la famille; son article suit.

I. Pierre DE LANTIVY, chlr, sgr de Lantivy, par. de Baud, de

1. Le Dictionnaire topographique du Morbihan de M. Rosenzweig indique Les Arches, moulin sur le ru (ruisseau) de ce nom, com. de Ruffiac, cant. de Malestroit. arr. de Ploërmel, et Les Combes, écart de la com. de Josselin, cant. et arr. de Ploërmel, mais sans faire suivre les noms de ces lieux-dits de la mention seigneurie, et nous n'avons rien trouvé sur les Arches et les Combes dans les anciennes réformations de Bretagne. On trouve aussi les Arches, fief relevant de Saint-André (Eure) et Combes (Eure-et-Loir).

2. Cette illustre maison est issue de Foucher, vicomte de Limoges, vivant en 880, par Géraud, cinquième vicomte de Limoges, dont le quatrième fils, Aimery Ier, épousa Ava, fille unique de Guillaume, comte d'Angoulême, qui lui apporta en dot la vicomté de Rochechouart et dont il prit les armes. Aimery IV, vicomte de Rochechouart, se croisa en 1096. Aimery VII épousa, en 1256, Alice, fille unique et héritière de Guillaume, baron de Mortemart.

3. Cette famille originaire, dit-on, d'Angleterre, est représentée aujourd'hui par la branche des marquis de Kerhué.

4. D'après une généalogie dressée sur titres par Roger de Gaignières. (Bibl. Nationale. Dossiers Bleus, vol. 390, cote 10503.)

Saint-Ursin et de Vaudémont', probablement aussi de Kernazel, par. de Radenac, de Keraudrénou, par. de Baud, de Kervéno et de Kervily, par. de Languidic, est rappelé dans une enquête faite, le 26 janv. 1455, par Jean de Lantivy, Ire du nom, et Jean de Kerméno, ses arrière-petits-fils. Une tradition de famille, appuyée sur de vieilles chroniques, rapporte que ce Pierre n'était pas seulement orné de la valeur et des richesses temporelles, mais qu'il avait reçu de saint Mériadec le don de guérir par le toucher une espèce de maladie des petits enfants appelée malitouche ou garo, en se servant de la formule suivante : "Que Dieu te guérisse et saint Mériadec mon parent, un Lantivy te touche". » Ses descendants, en 1753, se vantaient toujours de jouir de cette prérogative. Il vivait encore en 1368, comme on le verra plus loin, à l'article de son arrièrepetit-fils, Jean de Lantivy, ir' du nom.

Il épousa 1o vers 1335, Aliette alias Aliénor DE LANVAUX', fille

1. D'après l'article de la Chesnaye des Bois. Les preuves de noblesse faites en 1747 par François-Claude-Camille de Lantivy du Rest donnent également pour auteur à la maison de Lantivy, d'après la réformation du xviie siècle, Perron (sic) de Lantivy, chlr, sgr de Saint-Urcin et de Vaudémont, mais sans autres explications. M. Potier de Courcy place la sgrie de Saint-Ursin dans la com. de Noyal-Pontivy, où il nous a été impossible d'en trouver trace. Vaudémont ne semble pas être un nom breton. On trouve des villages du nom de Saint-Ursin dans la Mayenne, l'Eure, l'Eure-et-Loir.

2. Gaignières attribue en effet ces sgries à Guillaume de Baud, père d'Adelice de Baud, unique héritière de ce dernier et femme dudit Pierre de Lantivy, dont les descendants les possédèrent.

3. Cette maladie pour laquelle les femmes de Normandie invoquent saint Martin, est encore connue sous le nom de garo. Son autre nom de malitouche (écrit mal y touche) lui vient de l'imposition des mains, qui devait la guérir.

4. Issue des comtes souverains du pays de Vannes, la maison de Lanvaux possédait en apanage la célèbre baronnie de ce nom, une des plus anciennes de Bretagne, dont l'étendue était considérable. Le premier connu de ces puissants sgrs est Alain, baron de Lanvaux, qui fonda en 1138 la célèbre abbaye de ce nom. L'auteur de la filiation, Olivier, baron de Lanvaux (1190-1248), époux d'Adelice d'Hennebont, se révolta contre le duc Jean Le Roux qui le vainquit, le prit et le dépouilla de son patrimoine. Il laissa, outre un bâtard du nom d'Alain, un fils légitime, Geoffroy I d'Hennebont, nom qu'il prit à la suite de la confiscation de la baronnie (12..-1265), époux de Catherine de Rohan. Celui-ci fut père de 1o Alain de Lanvaux, chlr (1241-1267), marié à N... de Camors; 2o Adelice d'Hennebont, ép. d'Eudon Picaut, chlr, sgr de Ty-Henry (1256-1279); 30 Geoffroy, dit d'Hennebont, écuyer (1267-1288). Alain de Lanvaux eut de son mariage: 10 Geoffroy II de Lanvaux, chlr (1258-1298), époux de Thiphaine de Rohan; 20 Jean ou Nicolas de Lanvaux, chlr (1270-1273); 3° Thomasse de Lanvaux (1278-1314, ép. d'Henry de Bodrimont, chlr. Geoffroy II fut père de 1o Alain II de Lanvaux (1288–1314), marié à l'héritière de Trogoff. Leur fils aîné Pierre (1294), époux de Marie de Lanvaux, prit le nom de Trogoff qu'il transmit à ses descendants, encore existants; 2o Guillaume de Lanvaux (1298), sgr de Beaulieu; 3o Jehan (1298); 4o Raoul (1298); 5o Geoffroy (1298). La filiation des Lanvaux, sgrs de Beaulieu, par. de Bignan, se continua, à partir du xve siècle, de la manière suivante: N... de Lanvaux, qui assista à l'assemblée de la noblesse à Dinan en 1419; N... de Lanvaux, qui ratifia le traité de Senlis en 1475; Pierre de Lanvaux, père d'Olivier de L., qui fut successivement secrétaire de la Reine en 1502, maitre des requêtes à la chancellerie de

DE LANVAUX, Bretagne d'argent à trois

fasces de gueules. Devise: Tout franc.

de N... de Lanvaux, sgr dud. lieu; 2° Adélaïde ou Adelice DE DE BAUD, Bretagne : BAUD', fille de Guillaume de Baud, chlr, sgr de Kernazel, de d'azur à dix billettes Keraudrénou, de Kervéno, de Kervily, et peut-être de Brésean franc-canton chargé de 4 (nunc Brézéhan), par. d'Inguiniel et de Pennanrun, et de Béatrix de Lanvaux. Du second mariage naquirent :

d'or, 4, 3, 2 et 1, alias au

roses.

1° Raoul, qui suit.

2 Olivier DE LANTIVY, l'un des dix-huit écuyers de la garnison de Saint-Brieuc qui, dans cette ville, le 29 avril 1381, ratifièrent et scellèrent la paix de Guérande entre le roi de France, Charles VI, et le duc de Bretagne, Jean de Montfort.

Voici le texte de ce document qui se trouve aux Archives Nationales, dans les layettes du Trésor des Chartes des rois de France, sous la cote J. 242 °, no 5840 :

<< A tous ceulz qui ces lettres verront Helies du Rouvre, sire du "Boiz Boissel, chevalier, capitaine de Saint Briout des Vaulx, Jehan « Percevaulz, Robin Le Breton, Olivier de Letivy, Rollant Dolo, "Olivier Sevestre, Jehan Chevy, Geffroy de Mordeles, Pierre le

Bretagne en 1510, puis sénéchal de Donges. Il mourut en 1518, laissant d'Anne de Guėmadeuc son épouse: 1o François de Lanvaux, sgr de Beaulieu, chevalier de l'ordre du Roi en 1572; 2o Olivier, sgr de Beaulieu, sans enfants; 30 Jacquette, qui ép., le to mai 1561, Jean Visdelou, sgr de la Villetéhart, mort en 1581. Pierre de Lanvaux avait eu pour fils puiné N... de Lanvaux, père de Jean de L., marié à Louise Tivarlan, épouse en 2ines noces d'Artus de Cahideuc et mère de Louise de Lanvaux, dame de Beaulieu. Nous trouvons encore : Jean de Lanvaux, écuyer, sgr de Brosse (1503–1520); Pierre de L., écuyer (1520); Jean de L., écuyer, sgr de Crain et de Monts-lez-Monceaux-le-Comte (1536); Philbert de L., écuyer, sgr de Monts, époux de Judith de Loron, veuve en 1586. Enfin Jeanne de Lanvaux, ép. en 1536 d'Yves Péro, sgr de Penvernitz et de la Haye. Kerdaniel; Charlotte de L., fille de Pierre, sgr de Saint-Thibaud, ép. en 1601 de N... de Parceval, sgr de Bonin, et mess. Edme de Lanvaut, religieux aumônier de l'église abbatiale de Saint-Léonard, près de Corbigny, évêché d'Autun, en 1568. Après sa confiscation sur Olivier Ier, la baronnie de Lanvaux fut démembrée par le duc, et la plus grande partie devint la propriété de l'abbaye de ce nom au xive siècle. Jean de Montfort en affecta les revenus au prieuré de Saint-Michel qu'il avait fondé sur le champ de bataille d'Auray. Lanvaux fut à nouveau érigé en baronnie en 1464 en faveur d'André de Laval, sgr de Lohéac, maréchal de Bretagne. Celui-ci n'ayant pas eu d'enfants, le duc donna la baronnie en 1485 à Louis de Rohan, sire de Guémené, et à ses descendants.

:

(Vte Urvoy de Portzamparc. Généalogie de Trogoff, et abbé Guilloux. La baronnie de Lanvaux. Revue hist, de l'Ouest de 1896. Bibl. Nat. Pièces originales, vol. 1648; Cabinet de d'Hozier, vol. 206, et Hist. de Bretagne de dom Lobineau.)

1. DE BAUD. Cette maison qu'on prétend être un ramage des comtes de Lannion a donné son nom à une petite ville du Morbihan, sur l'emplacement de laquelle elle possédait au XIIIe siècle une importante sgrie. Le manoir de Lantivy, situé sur cette par., en relevait, croyons-nous. Les Lantivy s'allièrent plusieurs fois à cette famille dont ils portèrent les armes chargées de l'épée de leur blason. On peut supposer que Pierre de Lantivy donna son nom à un fief qui lui fut apporté en dot par Adélaïde de Baud. Il ne reste plus que quelques terrassements de l'ancien château de Baud dont le souvenir est conservé dans le pays.

Le chœur et la sacristie de l'église paroissiale de Baud, dédiée à Saint-Pierre, furent rebâtis, vers 1687, par le recteur Louis de Lantivy.

Guillaume de B., chlr, fit échange avec l'abbaye de Lanvaux, le 29 juin 1259, de tout ce qu'il possédait à Pluvigner, contre toutes les terres que cette abbaye avait dans la villa

Clerc, Raoul Fortin, Giraut du Vergier, Jehan Barat, Jehan le "Coué, Jehan Bodigan, Alain le Nevou, Guillaume Helies, Guillaume Bloyn, Guillemot de Hillion et Olivier de Coytuhan, "escuiers, estans tant de la garnison de ladicte ville de Saint Briout « comme habitans du pays de Bretaigne, salut. Savoir faisons que, après ce que le traictié fait, passé et juré entre le Roy de France. << notre sire Charles qui est à present et nostre tres chier et tres << redoubté seigneur mons" Jehan, duc de Bretaigne, conte de << Montfort et de Richemont, a esté leu de mot à mot, publiquement, << en nostre presence, en l'eglise dudit Saint Briout, Nous, du con<< sentement et commandement exprez dudit Mons" le duc, avons juré et promis, sur les sains euvangiles de Dieu, par la foy de noz << corps et comme loyaulx chevalier et escuiers, juront (sic) et << promettons par ces presentes le dict traictié et toutes les choses <<et chascune d'icelles contenues en ycellui, à les tenir, garder et << acomplir sanz fraudes et mal engin et sanz les enfraindre ou << venir alencontre par nous ne par autre, par quelque maniere ou << occasion que ce soit, pour le temps avenir, sur l'obligacion de << nous et de nos biens, en la meilleur et plus forte maniere que << par la forme dudit traictié faire le povons et devons pour tant que « à chascun de nous touche. En tesmoing de ce, nous capitaine << dessus dit, Olivier de Letivy, Jehan Chevy, Pierre le Clerc, Jehan <<Barat, Alain le Nevou, Guillaume Helies, Guillaume Bloyn et << Guillemot de Hillion, dessus nommez, tant pour et ès noms de <<nous comme je Olivier de Letivy à la resqueste des diz Jehan "Perceval (sic), Robin le Breton, Rollant Dolo et Olivier Sevestre, <<et je Jehan Chovy (sic) à la requeste de Geffroy de Mordeles, et <<< je Pierre le Clerc à la requeste de Raoul Fortin et Giraut du

des Moines, près de Quoitforeston, par. de Baud. (Cartulaire du Morbihan, no 302, Revue de l'Ouest.) Guillaume de B., dans une montre reçue à Vannes en juin 1272. Jeannequin de B, chlr, l'un des témoins du testament de Jeanne de Hollande, duchesse de Bretagne, en 1384. Olivier de B., secrétaire du duc, et Marie de B., demoiselle de la duchesse, en 1457. Le 4 oct. 1596, Marguerite de Spinefort, dame de Kermat et de Coëtriollay, tutrice de Guillaume de Baud, son fils, vendit divers héritages. (Marquis de l'Estourbeillon. Inventaire des archives de Penhoët. Vannes, in-8°, 1894, p. 25.) Filiation: I. Bonabes de Baud épouse Marie Le Sénéchal, dont : II. Guillaume de B., vivant en 1478, épousa Catherine du Houlle, dont : III. Maurice de B, sgr de Kervérien, épousa 1o en nov. 1508, Marguerite de Saint-Nouay; 20 Marie du Pou. Du premier mariage: IV. François de B., épousa 1o Madeleine du Houlle, 2° Jacquette de Kerboulart en 1603. Du second mariage : V. François de B., sgr de Brézéan, épousa Yvonne Le Ténours, dont Mathurin de B., sgr de Bréséan, mari d'Anne du Vergier, et Roland de B., déclarés nobles d'extraction par arrêt de la Chambre de la Réformation de Bretagne du 21 juin 1670. La dernière héritière des sgrs de la Vigne le Houlle, Mathurine de Baud, épousa, en 1637, François Loaisel, chlr, marquis de Brie, président à mortier au parlement de Bretagne. Guy Le Borgne, dans son Armorial publié en 1667, dit, à l'article de Baud, que Madame la présidente de Brie est l'héritière des biens et des vertus de la maison de Baud. (Bibliothèque Nationale. Cabinet des Titres. Dossiers de Baud.)

Jeanne de Baud, veuve d'Eon de la Chataigneraye est mentionnée dans la réformation de la par. de Camors en 1426. (Ms appartenant au vicomte de Lantivy de Trédion.)

1. Dol, tromperie.

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