Mémoires, Volume 12 |
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acte affaires amis Aniche avaient baron d'Eroles baron Pasquier Blaccas Bourbon Buonaparte c'était cabinet Cadix Castelbajac chambre des députés charte Chateaubriand chef complot comte comte de Villèle congrès congrès de Laybach conjurés conspiration constitutionnels Corbière cortès coupables couronne crime d'Espagne d'état Decazes déclaration demanda Dieu dis-je discours donner douleur duc d'Angoulême duc d'Orléans duc de Bellune duc de Berri duc de Bordeaux duc de Richelieu duchesse de Berri élections espagnol famille royale Ferdinand VII frère général gouvernement guerre homme j'ai j'avais jacobins justice l'armée Laîné laisser libéraux Louis XVIII madame la duchesse Madrid Majesté majorité malheureux maréchal ment messieurs ministère monarchie monseigneur le duc Monsieur mort n'avait Nantil Naples neveu nistres pairs paroles passa pavillon Marsan personne peuple politique Portal porter pouvait premier prince princesse refus régence répondit révolution royaume sentimens serait session seul sire Talleyrand tion trône troupes trouva Tuileries vait vicomte Villèle
Popular passages
Page 151 - Une liberté forte et légitime vous est acquise; elle est fondée sur des lois émanées de mon amour pour mes peuples, et de mon expérience des temps où nous vivons. Avec ces lois, il dépend de vous d'assurer le repos , la gloire et le bonheur de notre commune patrie; vous en avez la volonté, sachez la manifester par vos choix.
Page 50 - ... bienfait , cette dernière espérance. Il s'en va , ce prince; il semble emporter avec lui toute une monarchie , et à l'instant même il en annonce une autre.
Page 46 - Tout ceci se passait dans le petit salon de la loge. On résolut alors de porter le prince dans une pièce voisine, où l'on établit une espèce de lit sur quatre chaises, que l'on remplaça par un lit de sangle.
Page 256 - Dans l'exil et la persécution , j'ai soutenu mes droits, l'honneur de ma race et celui du nom français; sur le trône, entouré de mon peuple, je m'indigne à la seule pensée que je puisse jamais sacrifier l'honneur de la nation et la dignité de ma couronne.
Page 380 - Je suis heureux de pouvoir me féliciter avec » vous des bienfaits que la divine providence a o répandus sur mes peuples , sur mon armée » et sur ma famille depuis la dernière session » des chambres. . , » La plus généreuse comme la plus juste » des entreprises a été couronnée d'un succès * » complet. » La France, tranquille chez elle, n'a plus rien » à redouter de l'état de la péninsule. L'Espagne, » rendue à son roi, est réconciliée avec le reste
Page 12 - Le moment est venu de fortifier la Chambre des députés et de la soustraire à l'action annuelle des partis, en lui assurant une durée plus conforme aux intérêts de l'ordre public et à la considération extérieure de l'État : ce sera le complément de mon ouvrage.
Page 40 - Mme la duchesse de Berry s'était approché de la porte. Les hommes de garde étaient restés dans l'intérieur; depuis longtemps le Prince ne souffrait pas qu'ils sortissent : un seul, en faction, présentait les armes et tournait le dos à la rue de Richelieu. M. le comte de Choiseul, aide de camp...
Page 312 - France a dû s'expliquer sur les arméniens auxquels elle avait été forcée d'avoir recours, et sur l'usage éventuel qu'elle en pourrait faire. Les précautions de la France ont paru justes à ses alliés , et les puissances continentales ont pris la résolution de s'unir à elle pour l'aider (s'il en était jamais besoin ) à maintenir sa dignité et son repos. La France se serait contentée d'une résolution à la fois si bienveillante et si honorable pour elle; mais l'Autriche, la Prusse et...
Page 383 - ... des titres dont l'intérêt soit plus d'accord avec celui des autres transactions. Cette opération, qui doit avoir une heureuse influence sur l'agriculture et le commerce permettra , quand elle sera consommée, de réduire les impôts et de fermer les dernières plaies de la révolution.
Page 358 - J'ai cru devoir rappeler à VM , et, par elle, » à tous ceux qui peuvent prévenir encore les » maux qui les menacent , les dispositions du roi , » mon oncle et seigneur. Si d'ici à cinq jours il ne » m'est parvenu aucune réponse satisfaisante , et » si VM est encore, à cette époque, privée de sa » liberté, j'aurai recours à la force pour la lui