Page images
PDF
EPUB

tout intéressait vivement en sa faveur, et cet intérêt n'a pas été inutile à son enfant. Il vient d'être adopté par M. C......, officier en retraite, qui, par ce trait de générosité bien digne d'un officier français, s'est concilié l'estime publique: son éloge est ici dans toutes les bouches.

5. Paris. Antiquités égyptiennes.—Le célèbre voyageur Belzoni, sur le point de partir pour de nouvelles recherches, a voulu, avant de quitter l'Europe, exposer les produits de ses plus belles découvertes et de ses importans travaux pendant un séjour de cinq années en Égypte. L'espoir d'offrir aux amateurs des antiquités égyptiennes, sur lequelles les savaus français ont les premiers attiré l'attention de l'Europe, des objets du plus haut intérêt, a été le principal but de son exposition. On y remarque entre autre choses, le tombeau de Psammis, situé dans la HauteÉgypte, près la ville de Thèbes. Les moyens tout-à-fait nouveaux qui ont été employés pour construire et modéler ce monument, que l'on peut appeler avec raison le fac simile du tombeau original, en garantissent l'exactitude et la ressemblance parfaite jusque dans les moindres

détails.

Le tombeau original est divisé en quinze pieces ou appartemens. Dans le choix qu'en a fait M. Belzoni, il a préféré les deux dont l'architecture et la diversité des sculptures offrent les détails les plus intéressans. Ils sont vus dans la même grandeur et la même forme qu'ils ont sur les lieux. Les figures des bas-reliefs et celles qui décorent l'intérieur de ces appartemens ont été moulées et coloriées dans le tombeau même. La copie est d'autant plus fidèle, que ce tombeau, peu connu depuis son origine, a conservé, jusqu'à ce jour, presque tout son premier éclat. M. Belzoni également apporté le plus grand soin dans la peinture des costumes de la nation égyptienne.

8. Avallon. (Yonne.) Antiquités. Le

hazard vient de faire découvrir dans un champ près de cette ville, l'enceinte d'un temple antique, parfaitement dessiné par des murs qui out 2 ou 3 pieds de haut, une grande quantité de statues mutilées de marbre blanc de la plus rare beauté, beaucoup de pièces de cuivre et d'argent, toutes marquées au coin des empereurs

Romains.

et

10. Paris. (Tribunal de première instance.) Action civile contre MONSIEUR.— Depuis long-temps il est question daus le

public d'une action civile intentée contre MONSIEUR par M. Froment, qui ayant reçu plusieurs missions spéciales des princes français pendant leur émigration, et particulièrement de MONSIEUR, réclame des indemnités pour les dépenses qu'il dit avoir faites, et les services qu'il dit avoir rendus à la cause de la dynastie, services entre lesquels il faut distinguer celui d'avoir fait obtenir près de cinq mille signatures sur la fameuse délibération des royalistes du midi. M. Froment avait été nommé secrétaire du cabinet de S. M., il était sorti de sa place avec une pension, ce n'était pas à titre de bienfaits qu'il réclamait des indemnités, mais en vertu des missions qui lui avaient été données. M. Dupin, chargé de sa cause,

chercha surtout à faire valoir la nature du

mandat comme obligatoire de la part des prices, quant au remboursement des avances faites ou des dépenses supportées en vertu dudit mandat. Voici le texte du jugement rendu aujourd'hui par le tribunal, sur cette réclamation.

« Attendu que le mandat pour fonder une action en justice doit être prouvé; attendu que la demande formée par le sieur Froment a pour objet le remboursement d'avances qu'il annonce avoir faites, l'indemnité des pertes qu'il dit avoir éprou vées, et le paiement de salaire qu'il réclame pour l'exécution, pendant les années 1790 et 1791, d'un mandat qu'il allégue lui avoir été donné par S. A. R. MONSIEUR, frère du Roi ; attendu que les pièces émanées de S. A. R., produites par le sieur Froment à l'appui de sa demande, sont toutes postérieures à l'année 1791; attendu que si ces pièces contiennent des témoignages honorables de la conduite du sieur Froment et de son zèle pour la cause de la religion et du trône, aucune ne renferme la preuve de l'existence d'un mandat contenant, de la part de S. A. R., un engagement personnel qui puisse servir de base à une action en justice; attendu d'ailleurs que les avances que le sieur Froment prétend avoir faites pour armement, équipement et nourriture de troupes, et les pertes qu'il dit avoir éprouvées par le pillage de fonds qui auraient existé dans sa caisse ne sont pas justifiées, et que, quant aux missions de confiance dont il aurait été honoré par les princes auprès des agens supérieurs du gouvernement espagnol, ses réclamations à cet égard ont été prévenues par des actes de la munificence royale dont il n'appartient qu'à S. M. de déterminer l'étendue et la durée. Par ces motifs, le tribunal déclare le sieur Fro

ment non recevable en sa demande, et le condamne aux dépens.

[ocr errors]

14. Toulon. Trait de férocité d'un forcat. - Il y a deux mois, un forçat à vie fut condamné à la peine de mort pour avoir porté un coup de couteau à un agent de surveillance; ce misérable a subi son jugement avec une sorte de plaisir, s'il est permis de parler ainsi; et, loin de témoigner aucun repentir de son crime, il a, au contraire, exprimé le regret de n'avoir pu atteindre M. le sonscommissaire, directeur du bagne. Il a fait cependant l'aveu que son compagnon de chaîne, surnommé Casquette, aussi condamné à vie, avait, comme lui, conçu le dessein de se venger de prétendues vexations de la part de son gardien. Sur cet avis, on fit passer Casquette dans une autre salle, où il devint l'objet d'une surveillance plus active; malgré toutes ces précautions, le nommé Ricoux, sous-adjudant de surveillance et père de famille, a eu le malheur de tomber sous les coups de ce scélérat. Ce Ricoux assistait avanthier au soir à la distribution, au moment où il entrait une chaine de forçats revenant des travaux; Casquette profita de la confusion pour se couler auprès de lui; et, feignant de s'incliner pour marchander un quart de vin, il sortit, en se relevant, un couteau à deux tranchans, qu'il lui plongea dans le ventre. Ricoux, dont une grande partie des entrailles étaient extraites, tomba à la renverse baigné dans son sang.

Un chaloupier (c'est ainsi qu'on désigne ceux qui rament dans les embarcations), également condamné, pour lui épargner de nouveaux coups, vint s'interposer entre lui et le meurtrier; mais sept à huit coups de couteau furent le prix de son dévouement. M. le sous-commissaire Riguoux étant arrivé au moment où on se saisissait de ce furieux, il n'a exprimé que le regret de ce qu'il fut arrivé deux minutes trop tard; « Mais n'importe, lui ditil, vous ne perdrez rien pour attendre, car j'en connais vingt autres qui ont formé le méme dessein que moi. »

Le monstre, condamné à mort par le tribunal maritime, à constamment répété ces atroces regrets. Et l'on prend des précautions contre les Scevola du bagne.

16. Valenciennes. Maris retrouvés. Il n'est pas rare de voir arriver du fond de la Russie des soldats qu'on croyait morts dans la funeste expédition de 1812, et leur retour a dérangé plus d'un nouveau ménage; mais en voici un exemple

plus singulier que tous les autres. Un soldat, dont on n'avait reçu d'autres nouvelles que l'annonce de son décès, se présente dernièrement chez sa femme. Elle avait convolé, en secondes noces, avec le clerc de la paroisse, qui, au moyen d'un extrait mortuaire du défunt, avait touché une somme de 10,000 francs, qui était le prix convenu d'un remplacement dû au premier mari. Mais le nouveau venu menace de faire valoir ses droits, et exige son argent; le magister déclare qu'il ne veut pas de la femme sans la dot. Enfin les deux maris se rapprochent : ils se partagent la succession, et la femine demeure

vacante.

18. Madrid. Mariages nouveaux. — La comédienne Sala vient enfin de se marier avec le comte de Fuentes. Cette actrice a paru hier pour la première fois sur la scène depuis son mariage. Il était réservé à la révolution de nous montrer l'epouse d'un grand d'Espagne jouant au

théâtre.

Elle a chanté dans l'opéra de Zoraïda, et a reçu autant d'applaudissemens que le jour même de son début. Le parterre l'a obligée à se présenter trois fois sur la scène pour recevoir les applaudissemens du public. La Sala, comtesse de Fuentes, vient d'abandonner à l'hôpital et à l'hospice des enfans trouvés tous ses appointemens d'actrice, depuis le moment de son mariage jusqu'à la fin de son engagement.

Le comte Torre-Alta, officier de la garde royale, incarcéré depuis le 7 juillet, vient de se marier également avec la fille de la modiste la Bolbina. La noce s'est célébrée en prison. Ce dernier mariage offre cela de singulier, qu'il doit être considéré comme un acte de désespoir. La mère du comte de Torre- Alta est une femme qui, par ses principes outrés en faveur de la révolution, a oublié souvent non-seulement les lois de l'humanité, mais on peut dire encore les liens du sang. Son fils étant très-royaliste, sa propre mère désire, dit-on, faire son gendre héritier de tous ses biens. Aujourd'hui cependant la chose est impossible, parce que le comte de Torre-Alta a deux enfans de la femme qu'il vient d'épouser.

20. Londres. Chasse à la baleine avec des fusées à la Congrève.

Extrait d'une lettre du capitaine Kay, du vaisseau le Margaret, datée du 7 sẹptembre, au lieutenant Colquhoun de l'artillerie royale.

[ocr errors][merged small]

voyer une relation de quelques essais que j'ai faits des fusées de Congrève. Craignant que les barponiers ne sussent pas tirer avec précision, j'avais résolu d'en faire moi-même l'expérience. Ce n'a été que le 8 juin que l'occasion s'est présentée. On a découvert ce jour-là, de grand matin, une grosse baleine près du vaisseau. Je l'ai poursuivie aussitôt; et quand je me suis trouvé assez près d'elle, je lui ai tiré une fusée au côté, qui a produit un effet terrible toutes ses jointures ont été disloquées, et, après quelques minutes d'agitation; elle s'est tournée sur le dos où elle est morte. En l'ouvrant, on a vu que la fusée avait passé à travers la graisse, et avait éclaté près des cotes. Le bâton et le bas de la fusée ont été retirés entiers: le haut était brisé en morceaux. Mon second essai a été fait, le 9 juillet, sur une baLeine des mêmes dimensions que la première, mais, à cause de ses nouvemens rapides et de la grosse mer qui agitait la chaloupe, la fusée est entrée au-dessous du milieu du corps, ce qui en a grandement diminué l'effet. Néanmois tout le corps a été secoué par l'explosion. Elle s'est enfoncée immédiatement, mais elle s'est relevée en rendant une immense

quantité de sang; alors on l'a harponnée et tuée à coups de lances. Je regrette beaucoup de n'avoir pas eu l'occasion de les essayer sur le Sun-Fish; mais, quoique nous l'ayons souvent poursuivi, nous n'avons jamais pu l'approcher assez pour qu'une fusée pût faire le moindre effet... »

24. Paris. (Cour de cassation.) Plainte en calomnie. On sait que peu de temps après le jugement de l'affaire de Poitiers, MM. Lafitte, Kératry, Benjamin Constant, et le général Foy, adressèrent à M. le garde des sceaux, une plainte en calomnie contre M. Maugin, procureur général de Poitiers, à raison de son acte d'accusation, du 5 septembre, et requête en règlement de juges. La cour de cassation, section des requêtes, à qui la plainte avait été renvoyée, vient de rendre à ce sujet, après en avoir délibéré pendant plusieurs séances, l'arrêt dont voici les motifs :

Attendu que l'acte d'accusation ne contient rien qui puisse autoriser une plainte en calomnie, parce qu'aux terines de l'art. 241, du code d'instruction criminelle, le procureur général doit recueillir et rassembler tout ce qui lui paraît servir à qualifier et à prouver l'accusation;

Attendu que, si l'on peut trouver

que les passages incriminés du plaidoyer du 5 septembre, ne sont pas assez mesurés, ils n'ont pas néanmoins les carac tères de mauvaise foi et de dessein de nuire, saus lesquels il n'existe point de délit de calomnie;

« Attendu que le passage relatif à ceux qui recèlent les trésors de l'usurpateur, pour soudoyer des insurrections, dans lequel le sieur Lafitte paraît se croire désigné, est générique et ne peut recevoir d'application à sa personne, puisque loin d'avoir recélé les fonds qui lui avaient été confiés, il les avait précédemment déclarés et mis à la disposition de la justice;

« La cour dit qu'il n'y a lieu à suivre sur les plaintes desdits Constant, Foy, Kératry, et Laffitte. »

28. Paris (police correctionnelle). Abrégé de Raynal. Le tribunal correctionnel (septième chambre) a rendu aujourd'hui, après plusieurs remises, son jugement dans l'affaire relative à l'Abrége de Raynal, publié par M. Barrot Roullon, ancien professeur. Considérant que cet abrégé contient dans son ensemble, et spécialement dans les passages incriminés, des outrages contre la religion de l'Etat et la diguité royale, et des attaques contre l'ordre de succéssibilité au trône, les droits que S. M. tient de sa naissance, et enfin contre l'autorité constitutionnelle du Roi, le tribunal a rejeté l'exception tirée de ce que l'histoire philosophique aurait été réimprimée tout entière. Ces motifs longuement développés, sout, d'une part, que le tribunal n'a point à prononcer en ce moment sur l'ouvrage entier qui ne lui a point été déféré; et de l'autre, qu'il y aurait entre les deux genres de publication des différences très-considérables, puisque l'auteur de l'Abrégé a affecté de rassembler les maximes les plus dangereuses, les plus subversives de l'ordre social, et à mis cet ouvrage, par la vilité du prix, à la portée des classes les moins éclairées. En conséquence, par application des articles I et 2 de la loi du 25 mars 1822, le sieur Barrot-Roullon est condamné six mois de prison et 500 fr. d'amende. M. Pollantru, libraire, accusé d'avoir participé au débit de cet Abrégé, mais chez lequel un exemplaire seulement à été saisi, a été acquitté.

30. Paris (cour d'assises.) Faux billets de banque. On a traduit hier devant cette cour un des faussaires les plus ba

biles qui aient jamais paru sur les bancs criminels. Ce malheureux, nommé Collard, appartenant à une famille honnête, âgé de 34 ans, gravait et dessinait en perfection. Depuis un an la banque avait reçu des billets faux, elle n'avait pas hésité à les payer lorsqu'il s'en présentait; mais en prenant le nom du porteur et de ceux dont il les tenait. Le 21 septembre dernier, un individu vint demander six billets de 500 fr. pour trois billets faux de 1000 fr. On lui fit des questions sur lesquelles il balbutia...... C'était le fabricateur luimême: on l'arrêta, on lui prit treize billets faux qu'il avait sur lui. On se transporta à son domicile, rue de Seine, On y trouva 52,000 fr. cachés, tant en or qu'en billets de 500 fr.

Dans ses premiers interrogatoires, Collard avait constamment nié qu'il fût l'auteur de la fabrication; mais, à force d'instances de quelques personnes de la banque (si intéressée à connaître l'étendue de la fabrication), il fit des aveux, et consentit à livrer sa planche, qui était déposée rue de Cléry no 49. Traduit devant la cour d'assises, il a avoué qu'il avait fabriqué, sur du papier Joseph anglais, huit à neuf faux billets de banque de 1000 fr., à la main et à l'encre de la Chine, si parfaitement imités qu'ils ont été reçus sans difficulté chez des changeurs ou même à la banque; et qu'ensuite, il avait fait une planche au moyen de laquelle il avait pa en tirer soixante, sans compter les treize qui ont été saisis lors de son arrestation.

Dans les dépositions on a donné des détails curieux à connaître pour distinguer les faux billets d'avec les vrais.

Il est, dit M. Croulas-Cretel, principal caissier de la banque, une remarque fort importante qu'on a oublié de faire dans l'acte d'accusation, et qui mettra tonjours le public à même de distinguer

les billets contrefaits des véritables. Les billets de la banque ne sont point gravés en taille douce, mais en relief, sur des planches coulées à l'aide des matrices. Il en résulte que dans les bons billets, les caractères sont saillaus et sensibles au toucher, quand on passe le doigt sur le revers. Un autre caractère distinctif des billets présentés par l'accusé se trouve dans le médaillon qui représente une tête de cheval. L'œil du ⚫ cheval est ouvert dans les vrais billets, et est fermé dans les faux. »

Il n'y avait pas moyen de défendre
Annuaire hist. pour 1822.

Collard sur le fait de la fabrication; mais Me Couture, chargé de sa défense, a invoqué pour lui la pitié des jurés. Il a exposé que la dureté d'un oncle, chez lequel Collard travaillait, l'avait réduit à en sortir, dénué de tout, dans la misère, avec une femme et trois enfans, ayant encore à soutenir une mère âgée de 70 ans et un frère épileptique. Collard a été déclaré coupable et condamné à mort mais il a été recommandé par les jurés à la clémence royale, pour une commutation de peine.

31. Paris et Londres. Statistique.-D'après un recensement officiel, publié dernièrement à Londres. La population de cette capitale avec ses faubourgs, est de 1,274,000 habitans. D'après le dernier

fait à Paris, en y ajoutant des accroissemens constatés, la population doit être de 750,000 habitans.

D'un autre côté, des relevés sur le mouvement de la population dans ces villes, pendant l'année 1822, offrent des résultats plus favorables à celle de Paris.

[ocr errors]

Ici, les naissances ont été, du 1er janvier au 31 décembre, savoir : Enfans nés de ma- masc. fém. riage. Enf. nés hors de mariag,

total. 8,671 8,458 17,129

reconn. 1,126 1,144 2,270 non rec. 3,765 3,716 7,481

[merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small][ocr errors][merged small][merged small]

9 M. Barbier Neuville, officier de la Légion-d'Honneur, ancien chef de division au ministere de l'intérieur, †à Paris, à l'âge de 68 ans. 10 S. A. S. LOUISE-MARIE-THÉRÈSEBATILDE d'Orléans, duchesse de Bour bon, à Paris. Née à Saint-Cloud, le 9 juillet 1750. Mariée le 24 avril 1770, à S. A. S. Monseigneur le duc de Bourbon.

[ocr errors]

M. le baron de Batz, maréchal de camp, à Chadieu (Puy-de-Dôme), à l'âge de 62 ans.

M. le comte de Tilly, lieutenant-général, etc..., † à Chaillot.

22 M. le comte Antoine de Camon-DadeBlachon, contre - amiral, commandeur de Saint-Louis, † à Tarbes, né en 1744.

24 M. Lebrun de Rochemont, pair de France, frère de l'ex-archi-trésorier de l'empire, etc..., †à Paris. 25 M. le comte de Caqueray, maréchal

de camp, tà Paris. Né en juin 1739. 31 M. Dubourg, (M. J. Chil), évêque de

Limoges, à Limoges, âge de 71 ans.

2 FÉVRIER. M. d'Andigné, de Mayneuf, évêque de Nantes, † dans cette ville. 4 M. le comte de Valence, lieutenant-général, pair de France, † à Paris, à l'âge de 64 ans.

5 Ali Pacha - Tebelen, † à Janina, (V. l'histoire, p. 330).

6 S. A. R. la princesse Frédérique Françoise Wilhelmine, épouse de S. A. R. le duc Guillaume de Wurtemberg, †à Florence; elle était née le 18 janvier 1777

7 M. Charles Jean, de Nettancourt d'Haussonville, marquis de Vaubecourt, lieutenant-général, † à l'âge de 94 ans.' 10 S. A. R. le duc Albert, de Saxe Teschen, †à Vienne, daus sa 81° année. 11 M. le docteur Hallé, premier médecin de Monsieur, à Paris, à l'âge de 68

[merged small][merged small][ocr errors][merged small]
[merged small][ocr errors][ocr errors][merged small][merged small][merged small][merged small][merged small]

Jeanne Louise Henriette Genest (Madame Campan), née à Paris, le 6 octobre 1752, lectrice de Mesdames, première femme de chambre de la Reine, ancienne directrice de la maison des demoiselles filles de la Légiond'Honneur d'Écouen, †à Paris, à l'âge de 71 ans.

17 M. le comte Jaubert, grand officier

de la Légion-d'Honneur, ancien gouverneur de la banque de France, † à Paris.

19 S. Exc. le cardinal Fontana, † à Rome, âgé de 72 ans.

23 M. Bervick, membre de l'Institut, célèbre graveur, † à Paris.

25 M. le marquis de St-Aulaire, cheva

lier de la Légion-d'Honneur, † à Paris. William Pinckney, de Battimore, membre du sénat américain pour l'état de Maryland, † à Washington.

26 M. Asselin de Crèvecœur, conseiller d'état, officier de la Légion-d'Honneur, †à Paris.

[ocr errors][merged small]
« PreviousContinue »