Eloges lui dans les séances publiques de l'Académie royale de chirurgie de 1750 à 1792

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J.B. Bailleère, 1859 - France - 456 pages
 

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Page xl - Toutes les Académies et Sociétés littéraires, patentées ou dotées par la Nation, sont supprimées.
Page 144 - Si le rétablissement des sciences et des arts a contribué à épurer les mœurs.] Traduit en russe par Paul Potemkine, 1768.
Page xix - Mais surtout ne vOUS abaissez point à d'indignes panégyriques. Il est temps de respecter la vérité. 11 ya deux mille ans que l'on écrit , et deux mille ans que l'on flatte. Poètes, orateurs , historiens , tout a été complice de ce crime. Il ya peu d'écrivains pour qui l'on n'ait à rougir. Il n'ya presque pas un livre où il n'y ait des mensonges à effacer. Les quatre siècles des arts , monumens de génie , sont aussi des monumens de bassesses. Qu'il en naisse un cinquième , et qu'il...
Page 418 - Lettres sur la certitude des signes de la mort, où l'on rassure les citoyens de la crainte d'être enterrés vivants avec des observations et des expériences sur les noyés, Paris, M.
Page 152 - Enfin, il se trouvait à la tête d'un petit empire inconnu, qui ne se soumettait qu'aux lumières, et n'obéissait qu'à des démonstrations. L'occupation de montrer en ville n'est guère moins opposée à l'étude que la dissipation des plaisirs. Il est vrai qu'on s'affermit beaucoup dans ce qu'on savait ; mais il n'est guère possible de faire des acquisitions nouvelles, surtout quand on a le malheur d'être fort employé. Aussi, s'en faut-il beaucoup que Carré n'ait été aussi loin dans les...
Page 259 - A des fièvres continues, dans lequel on a rassemblé et examiné les principales connaissances que les anciens ont acquises sur les fièvres par l'observation et par la pratique, particulièrement sur les présages, la coction, les crises et la cure de ces maladies.
Page 154 - Il nous est donc très important de ne pouvoir douter que, si nous sommes capables de manquer à ce que nous devons à la Compagnie, nos Mémoires en informeront l'avenir. Songez encore, Monsieur, que vous n'avez pu rappeler les torts de M. Mignard à cet égard, sans retracer à l'Académie, ce qu'a souffert pour Elle M.
Page 255 - L'esprit qui n'a pas été cultivé est aussi incapable de distinguer les objets, d'en voir les liaisons, de suivre exactement le fil d'un raisonnement, que le corps est incapable d'agilité et de souplesse lorsqu'il n'a pas été exercé. Il faut donc que l'esprit soit préparé pour entrer dans la chirurgie comme il doit l'être pour entrer dans les autres sciences, c'est-à-dire qu'il faut porter dans l'élude de l'art les connaissances qui nous dévoilent les opérations de la nature.
Page 420 - Il se proposa de réunir dans un dictionnaire tout ce qui avait été découvert dans les sciences, ce qu!on avait pu connaître des productions du globe, les détails des arts que les hommes ont inventés, les principes de la morale, ceux de la politique et de la législation, les lois qui gouvernent les sociétés, la métaphysique des langues et les règles de la grammaire, l'analyse de nos facultés, et jusqu'à l'histoire de nos opinions.
Page 419 - Mali Venerei Lettere. 8vo. Venez. 1823 THIERRY (Al.) De la Torsion des Artères. 8vo. Paris, 1829 THIÉRY. La Vie de l'Homme respectée et defendue dans ses derniers Moments ; ou Instructions sur les soins qu'on doit aux Morts et à ceux qui paroissent l'être ; sur les Funerailles et les Sepultures.

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