Revue des deux mondes, Volume 2; Volume 8Au Bureau de la Revue des deux mondes, 1831 - French literature |
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Popular passages
Page 306 - La nomination des pairs de France appartient au roi. Leur nombre est illimité : il peut en varier les dignités, les nommer à vie, ou les rendre héréditaires , selon sa volonté.
Page 332 - No : gayer insects fluttering by Ne'er droop the wing o'er those that die, And lovelier things have mercy shown To every failing but their own, And every woe a tear can claim Except an erring sister's shame.
Page 522 - Ta confi» dence est déjà pour lui un mauvais exemple et une » excuse. » Et encore : « Ne nous plaignons jamais de » notre destinée : qui se fait plaindre se fait mépriser. » Mais nous avons trouvé, dans un journal qu'il écrivait à son usage, quelques détails précieux sur cette année de solitude et d'épreuves : «J'ai quitté Londres le lundi 2...
Page 330 - L'une était la première des comédiennes, et fut tragédienne quand elle le voulut; le contraire vient d'arriver à l'autre, elle avait le secret des plus touchantes larmes, des plus puissantes émotions de la tragédie et du drame; elle vient de montrer que le ton aisé et simple du monde, que les bonnes manières de la comédie lui étaient familières; elle a passé sans effort dans ce nouveau cercle avec le [talent le plus souple qui soit au théâtre.
Page 324 - Oh ! bel art de la scène, si tu corriges les mœurs, ce n'est pas en riant cette fois! Non, on ne rit pas, on pleure peu , mais on souffre beaucoup en voyant ce drame. On éprouve cette nerveuse agitation des personnages qui crispe les mains et les pieds malgré qu'on en ait, comme si on voyait quelqu'un toujours prêt à tomber d'un toit. Cette jeune femme est comme menacée par un vautour qui tourne sur elle. L'épouvante saisit pour elle à la vue de ce jeune homme convulsif, qui porte en lui-même...
Page 324 - Cette douce et gracieuse beauté qu'il a perdue en combinant froidement l'héroïsme, en calculant sur sa piété, en ensanglantant son salon de soie pour qu'elle l'y garde, en volant ses faveurs sur la grande route comme un brigand... Ce serait horrible si ce n'était utile et moral. — II ne m'est pas possible de croire que M. Dumas écrive un ouvrage pareil sans une pensée dominante et sans conclusion, comme on parle sans idée dans un bal. Non, je crois ce drame médité dans un but d'utilité...
Page 168 - Mines, en disant qu'il n'est pas sans exemple de voir des ecclésiastiques s'adonner (à la lettre) au commerce, et même vendre en boutique. « Au reste, si les prêtres sont loin d'être exempts de torts , on doit se plaire à reconnaître qu'ils n'y ajoutent point celui de l'hypocrisie. Ils se montrent tels qu'ils sont , et ne cherchent nullement à en imposer par de graves discours ou par un extérieur austère. Hors des villes , leur costume ne diffère nullement de celui des laïques, et personne...
Page 329 - ... parce qu'il montre qu'elle a été si profondément engourdie par trois mois d'enivrement et d'abandon , que c'est la première fois qu'elle se réveille de là , et se réveille au bord du précipice , et le mesure pour la première fois aussi ; ce mot veut dire qu'elle n'y avait jamais pensé, qu'à peine se croyait-elle si coupable, qu'elle voudrait savoir de son Antony lui-même s'il pense que ce soit sans ressource et pour toujours, et s'il avait cru aussi que le danger fût si grand.
Page 531 - Lamartine. et il se portait en secret un défi, il se faisait une gageure d'aimer. Il vit beaucoup, à cette époque, une femme connue par ses ouvrages, par l'agrément de son commerce et sa beauté', s'imaginant qu'il en était épris, et tâchant, à force de soins, de le lui faire comprendre. Mais, soit qu'il s'exprimât trop obscurément, soit que la préoccupation de cette femme distinguée fût ailleurs, elle ne crut jamais recevoir dansFarcy un amant malheureux.
Page 240 - La victime innocente s'agite faiblement sur le bras de son père, incline sa tête mourante sur l'épaule de celui qui lui donna la vie et qui lui donne la mort, et, sans proférer aucune plainte, s'endort comme doucement bercée par les paroles harmonieuses qu'elle vient de faire entendre. La nourrice éplorée accourt, et reçoit dans ses bras la jeune fille qui n'est plus. « Le père malheureux retire le couteau de l'horrible blessure, et, le montrant avec, fureur au décemvir, il dit d'une voix...