L'évêque de Luçon, fils du célèbre Bussy, m'a dit qu'ayant demandé à M. de Meaux quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les siens, Bossuet lui répondit : Le siècle de Louis XIV - Page 171by Voltaire - 1752Full view - About this book
| Voltaire - France - 1752 - 596 pages
...lanfage. L'évêque du Luçon fils du célére Suffi m'a dit , qu'aiant demandé à monfieur de Meaux , quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas fait les fiens, Boffuet lui répondit, Iles lettres provinciales. Le bon goût qui régne d'un bout à l'autre dans... | |
| Voltaire - 1752 - 418 pages
...qu'aïant demandé à Monfieur de Meaux, quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avoit pas fait les fiens, Bofluet lui répondit, les Lettres Provinciales. LE bon goût qui regne d'un bout à l'autre dans ce livre & la vigueur des derniéres lettres ne corrigérent pas d'abord... | |
| Voltaire - France - 1752 - 478 pages
...langage. l'évêque de luçon fils' ducélébre buffi m'a dit, qu'aiant demandé à monfieur de meaux, quel ouvrage il eût mieux aimé avoir* fait, s'il' n'avait pas fait les liens, bolîuet lui répondit, les lettres provinciales. Le bon goût qui régne d'un bout à l'autre... | |
| Voltaire - France - 1753 - 508 pages
...langage. L'e'vêque de luçon fils du célébre Bulli m'a dit, qu'aiant demandé à monfieur de meaux, quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il...les lettres •provinciales. • Le bon goût qui re'gne d'un bout à l'autre dans ce livre & la vigueur des dernie'res lettres ne corrigérent pas d'abord... | |
| Voltaire - 1757 - 358 pages
...langage. L'Evêqûe de Luçon fils du célèbre BuJJt m'a dit , qu'ayant demandé à Monfieur du Meaux, quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les fiens, BoJJltet lui répondit, Les Lettres Provinciales. Le bon goût qui régne d'un bout à l'autre dans... | |
| Voltaire - Europe - 1761 - 396 pages
...langage. L'Evêque de Luçon fils du célèbre Bujji m'a dit, qu'ayant demandé à Monfieur de Meaux , quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait, s'il n'avait pas fait les fiens, BoJJuet lui répondit , Les Lettres Provinciales. Le bon goût qui régne d'un bout à l'autre dans... | |
| Voltaire - 1761 - 396 pages
...langage. L'Evêquë de Luçon fils du célèbre Bujjî m'a dit , qu'ayant demandé à Monfieur de Meaux , quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas fait les fiens , BoJJuet lui répondit , Les Lettres Provinciales. Le bon goût qui régne d'un bout à l'autre dans... | |
| Voltaire (pseud. van François-Marie Arouet) - 1768 - 410 pages
...langage. L'évêque de Luçon fils du célèbre Suffi m'a dit , qu'ayant demandé à monfîeur de Meaux , quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas fait les fiens , Bojjuet lui répondit , les lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant , quand... | |
| Voltaire - 1769 - 472 pages
...langage. L'évêque de Lucon , fils du célèbre BuJJi , m'a dit , qu'ayant damandé à monfieur de Meaux, quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il...fiens, Bofluet lui répondit, les Lettres provinciales. Elles ont beaucoup perdu de leur piquant , lorfque les jéfuites ont été abolis , & les objets de... | |
| Voltaire - France - 1770 - 254 pages
...L'évêque de luçon , fils du célébre Buffi , m'a dit , qu'ayant demandé à monfieur de Meaux , quel ouvrage il eût mieux aimé avoir fait , s'il n'avait pas fait les fiens , BofTuet lui répondit, les lettres •provinciales. Le bon goût qui regne d'un bout à l'autre dans... | |
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