Mémorial revolutionnaire de la convention, ou, Histoire des révolutions de France: depuis le 20 Septembre 1792 jusqu'au 26 Octobre 1795, v. st, Volume 1 |
What people are saying - Write a review
We haven't found any reviews in the usual places.
Other editions - View all
Common terms and phrases
10 août accusé acte appel armée arrêté assemblées aurait Autrichiens avaient avez cause chargé citoyens civile commune conseil Convention Convention nationale corps cour crime d'avoir déclare décret délai demande DÉPUTÉS Dét détention devant dire discours doit donner effet enfin ennemis eût exécutif force formes garde général gens guerre heures hommes Idem Inéligible infligera j'ai jour jugement justice l'accuse l'assemblée laisser législative lettre liberté lois Louis XVI mains majorité Marat membres ment mesures ministre mort moyens N O M S des DÉPUTÉS n'avaient n'était nation nationale Observations ordre paix parle passer patrie peine personnes peuple porte pourrait pouvait pouvoir premier présenté président projets prononcer propose propres puissance qu'à Qu'avez-vous qu'un question rapport Réé réélu Refus rendre répondre république rester révolution rien Robespierre s'il sang septembre sera seul sort Sursis tems tête tion Tronchet troupes trouve tyran Varennes vérité veut volonté voté voulait
Popular passages
Page 288 - Je prie ma femme de me pardonner tous les maux qu'elle souffre pour moi, et les chagrins que je pourrais lui avoir donnés dans le cours de notre union , comme elle peut être sûre que je ne garde rien contre elle , si elle croyait avoir quelque chose à se reprocher.
Page 287 - Je pardonne de tout mon cœur à ceux qui se sont faits mes ennemis , sans que je leur en aie donné aucun sujet , et je prie Dieu de leur pardonner , de même qu'à ceux qui , par un faux zèle ou par un zèle mal entendu , m'ont fait beaucoup de mal.
Page 286 - Dieu de recevoir la ferme résolution où je suis, s'il m'accorde vie, de me servir, aussitôt que je le pourrai , du ministère d'un prêtre catholique , pour m'accuser de tous mes péchés et recevoir le sacrement de pénitence.
Page 289 - ... ce qui a rapport aux malheurs et aux chagrins que j'éprouve; qu'il ne peut faire le bonheur des peuples qu'en régnant suivant les lois; mais en même temps qu'un roi ne peut les faire respecter et faire le bien qui est dans son cœur qu'autant qu'il a l'autorité nécessaire, et qu'autrement, étant lié dans ses opérations et n'inspirant point de respect, il est plus nuisible qu'utile.
Page 290 - Je sais qu'il ya plusieurs personnes de celles qui m'étaient attachées qui ne se sont pas conduites envers moi comme elles le devaient, et qui ont même montré de l'ingratitude; mais je leur pardonne; souvent dans les moments de trouble et d'effervescence on n'est pas le maître de soi ; et je prie mon fils, s'il en trouve l'occasion, de ne songer qu'à leur malheur.
Page 159 - Vous avez répandu des millions pour effectuer cette corruption, et vous avez voulu faire de la popularité même, un moyen d'asservir le peuple. Ces faits résultent d'un mémoire de Talon , que vous avez...
Page 289 - ... de tous les soins et les peines qu'elle se donne pour eux, et en mémoire de moi, je les prie de regarder ma sœur comme une seconde mère. Je recommande à mon fils, s'il...
Page 284 - France, étant depuis plus de quatre mois enfermé avec ma famille dans la Tour du Temple à Paris par ceux qui étaient mes sujets, et privé de toute communication quelconque, même depuis le onze du courant avec ma famille, de plus impliqué dans un Procès dont il est impossible de prévoir l'issue à cause des passions des hommes, et dont on ne trouve aucun prétexte ni moyen dans aucune loi existante, n'ayant que Dieu pour témoin de mes pensées, et auquel je puisse m'adresser, je déclare...
Page 288 - ... autre manière que ce puisse être. Je prie Dieu particulièrement de jeter des yeux de miséricorde sur ma femme, mes enfants et ma sœur, qui souffrent depuis longtemps avec moi ; de les soutenir par sa grâce , s'ils viennent à me perdre , et tant qu'ils resteront dans ce monde périssable.
Page 186 - Si le roi se met à la tête d'une armée et en dirige les forces contre la nation, ou s'il ne s'oppose pas par un acte formel à une telle entreprise qui s'exécuterait en son nom, il sera censé avoir abdiqué la royauté.