La population française: Histoire de la population avant 1789 et démographie de la France comparée à celle des autres nations au XIXe siécle, précédée d'une introduction sur la statistique, Volume 2A. Rousseau, 1891 - France |
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100 naissances Accroissement accusés actuaires adultes Angleterre année annuelle arrondissements augmenté Autriche Bavière Belgique Bertillon calcul Calvados catégorie cause célibataires comparaison comparée considérable crimes criminalité d'après d'enfants d'habitants Danemark démographique Deparcieux départements différence dime mortuaire diminué diphtérie divorces docteur Bertillon dressée Dupré de Saint-Maur Duvillard écoles élèves Empire allemand enfants États faible femmes fièvre typhoïde filles Finistère Finlande fournit garçons groupe d'âge habitants Haute-Garonne hommes Hongrie individus Italie l'âge l'enseignement l'état civil l'Europe l'instruction légitimes maladies mariés millions mois mort mort-nés mortalité enfantine mortinatalité moyenne générale naissances illégitimes natalité nombre des décès nombre des naissances Norvège nuptialité pays Pays-Bas période popu population par âge population rurale population totale population urbaine première primaire proportion Prusse rapport recensement région résultats Roumanie Russie Serbie sexe féminin sexe masculin social Statistique générale Suède suicides Suisse surtout table de survie taux têtes choisies veufs veuves villes Wurttemberg XIXe siècle
Popular passages
Page 527 - ... plus le nombre des individus que l'on observe est grand, plus les particularités individuelles soit physiques, soit morales, soit intellectuelles, s'effacent et laissent prédominer la série des faits généraux en vertu desquels la société existe et se conserve.
Page 59 - Elle a remarqué avec peine que le nombre des enfants exposés augmentait tous les jours, et que la plupart provenaient aujourd'hui de nœuds légitimes, de manière que les asiles institués dans l'origine POUR PRÉVENIR LES CRIMES AUXQUELS LA CRAINTE DE LA HONTE POUVAIT INDUIRE UNE MÈRE ÉGARÉE, devenaient par degrés des dépôts favorables à l'indifférence criminelle des parents...
Page 479 - ... élevés en commun, aux dépens de la République et que tous, sous la sainte loi de l'égalité, recevront mêmes vêtements, même nourriture, même instruction, mêmes soins.
Page 479 - La Convention décrète qu'il y aura des établissements nationaux où les enfants des citoyens seront élevés et instruits en commun, et que les familles qui voudront conserver leurs enfants dans la maison paternelle auront la faculté de les envoyer recevoir l'instruction publique dans des classes instituées à cet effet.
Page 495 - Le certificat d'aptitude pédagogique ; Le certificat d'aptitude au professorat des écoles normales et des écoles primaires supérieures ; Les diplômes spéciaux pour les enseignements accessoires : dessin, chant, gymnastique, travaux manuels, langues vivantes, etc.
Page 521 - L'ordre naturel, l'ordre social et l'ordre moral. — Les lois sont, comme l'a dit Montesquieu, les rapports nécessaires qui dérivent de la nature des choses. Il en existe assurément en démographie. Le second livre de cet ouvrage est consacré à les exposer. Il en existe aussi dans la vie morale d'un peuple : le troisième Livre en fournit des preuves.
Page 482 - II. 31 se montrer et se montra en offet, dès le début, favorable à l'instruction populaire. Ce ne fut pourtant qu'après l'échec de plusieurs projets que M. Guizot parvint à faire voter la loi du 28 juin 1833, qui a été en quelque sorte la première charte constitutive de l'enseignement primaire en France. Elle imposait à chaque commune l'entretien d'une école primaire élémentaire et y pourvoyait au moyen d'une imposition de 3 centimes additionnels aux trois contributions directes ; elle...
Page 44 - Art. 55. Les déclarations de naissance seront faites, dans les trois jours de l'accouchement, à l'officier de l'état civil du lieu : l'enfant lui sera présenté.
Page 296 - Paris, il paroît au contraire qu'il faut seize ans pour éteindre la moitié des enfants qui naissent en même temps ; cette grande différence vient de ce qu'on ne nourrit pas à Paris tous les enfants qui y naissent, même à beaucoup près ; on les envoie dans les campagnes, où il doit par conséquent mourir plus de personnes en bas âge qu'à Paris. Mais en estimant les degrés de mortalité par les deux tables réunies, ce qui me paroît approcher beau9.
Page 436 - ... ces hommes qui, sur leur réputation, en ont plusieurs à la fois; et si elle ne peut plus résister à la tyrannie de cet homme, il faut, pour s'en débarrasser, qu'elle en trouve un autre plus redoutable encore et par cela même plus despote et plus tyran.... Presque tous les soldats aux gardes appartiennent à cette classe, beaucoup même ne s'engagent dans ce corps que pour y vivre aux dépens de quelques malheureuses filles.