Des factions et des conquêtes: ou, Précis des écarts politiques et militaires de la révolution française. Précédé d'une introduction sur les principes libéraux de nos Rois |
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abus ambition armée armées du Rhin assemblée assemblées nationales assurer auroient auroit avoient avoit bientôt Bourbons Buonaparte cesse Charlemagne chef clergé constitution constitutionnelle couronne déclaration députés descendans désormais despotisme devoient devoit digne effet égaremens enfans enfin Espagne espé esprits Etats Etats-généraux étoient étoit euro eussent eût pu factions faisoient falloit famille féodalité force François Ier funeste gardes nationaux générale gens gloire gouvernement guerre hommes Hugues Capet institutions jacobinisme jamais justice l'anarchie l'armée l'assemblée l'Autriche l'avoient l'empire l'esprit l'Etat l'Europe l'opinion législation liberté long-temps Louis Louis XVIII Madrid maux ment militaire ministres monarchie monarque moyens n'avoit n'étoient n'étoit Napoléon nation noble noblesse nouvelle paix patrie peuple politique populaires pouvoient pouvoir premier prétentions prince proclamer propre Prusse public puissance qu'un règne représentans révolution Rois royale royaume ruine Russie saint Louis salut seroit seul sortes souverain souveraineté succès tion traité de Tilsitt tribunat trône troupes universelle usurpateur venoit véritable vouloient vouloit vrai
Popular passages
Page 203 - J'appelle donc République tout Etat régi par des lois, sous quelque forme d'administration que ce puisse être : car alors seulement l'intérêt public gouverne, et la chose publique est quelque chose. Tout gouvernement légitime est républicain : j'expliquerai ci-après ce que c'est que gouvernement.
Page 99 - Quand les sauvages de la Louisiane veulent avoir du fruit, ils coupent l'arbre au pied, et cueillent le fruit. Voilà le gouvernement despotique.
Page 63 - L'Assemblée nationale décrète : 1) Que tous les biens ecclésiastiques sont à la disposition de la nation, à la charge de pourvoir, d'une manière convenable, aux frais du culte, à l'entretien de ses ministres, et au soulagement des pauvres...
Page 64 - ... la capitale de l'empire. L'assemblée nationale, occupée à parer tous ces coups, avançait toujours à grands pas, foulant aux pieds des ruines, combattant tous les préjugés, dissipant toutes les erreurs, faisant la guerre à tous les abus, détruisant les droits usurpés, et rétablissant cette précieuse égalité qui rajeunit et régénère les nations, en les ramenant à leur pureté primitive. La nation entière la soutenait; et ses bureaux étaient couverts d'adresses de toutes les...
Page 79 - L'éponge des siècles peut effacer du livre de la loi le chapitre de la royauté, mais le titre de la souveraineté nationale restera toujours intact.
Page 79 - Messieurs les courtisans ... les rois, les ministres, la liste civile passeront; mais les droits de l'homme, la souveraineté nationale et les piques ne passeront jamais.
Page 67 - C'est, Messieurs, ce principe qui vient du ciel et qui console la terre, que les Rois sont faits pour les peuples, et non les peuples pour les Rois ; que le...
Page 59 - ... uniforme de l'empire, que de voir les députés des pays d'état et ceux de plusieurs villes privilégiées venir, tour-à-tour et avec un empressement patriotique, offrir. le sacrifice de leurs droits antiques et de leurs...
Page 55 - Tout pressait donc une réunion , devenue indispensable depuis que l'autorité du despotisme avait reculé devant l'immobilité d'une poignée d'hommes libres.. Le roi écrivit aux présidens de la noblesse et du clergé pour les inviter à se réunir à l'assemblée des états -généraux, afin de s'y occuper librement de sa déclaration du 23.
Page 62 - Versailles, et le roi refusa absolument de partir. Il déclara qu'il aimait mieux périr que de faire couler le sang des Français pour sa querelle. Ce sentiment pur du roi , qui l'a toujours guidé, sauva la France, et prouve qu'on lui avait laissé ignorer le projet. Il paraît qu'on avait intention de profiter de la terreur du moment pour engager le roi à fuir, et que toutes les dispositions étaient faites afin...