La population française: Histoire de la population avant 1789 et démographie de la France comparée à celle des autres nations au XIXe siécle, précédée d'une introduction sur la statistique, Volume 1 |
Contents
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Common terms and phrases
accroissement agricole Aquitains avaient bailliages bailliages et sénéchaussées Bituriges Vivisques Bodio bureau calcul chevalier des Pommelles chiffres colonies commerce compte considérable d'après d'habitants décès démographie dénombrement densité départements Dime diminution document domaine enfants état Etats Expilly féodal Gaule Gaule barbare Gaulois général Germains groupes guerre habitants par kilomètre hectares hommes Illég invasions Irminon IXe siècle kilomètre carré l'administration l'état lation Ligures Louis XIV maisons manses mariages mémoires des intendants ménages Messance millions Moheau Mort mortalité moyenne nais naissances Necker nombre des feux nombre des habitants Normandie Nupt paroisses pays paysans personnes peuples politique Polyptique popu population française professions proportion provinces publications publié race recensement région résultats Rhône Rouen royaume rurale Saugrain science seigneur sénéchaussées serfs seulement sexe sociale statisticiens statistique Strabon Suic suiv superficie Sussmilch tableau Tables de survie taille taux terres territoire tion total trouve Vauban villes vraisemblable XIXe siècle XVIe XVIIIe siècle
Popular passages
Page 211 - Cependant vos peuples, que vous devriez aimer comme vos enfants, et qui ont été jusqu'ici si passionnés pour vous, meurent de faim. La culture des terres est presque abandonnée, les villes et la campagne se dépeuplent; tous les métiers languissent et ne nourrissent plus les ouvriers. Tout commerce est anéanti. Par conséquent vous avez détruit la moitié des forces réelles du dedans de votre État pour faire et pour défendre de vaines conquêtes au dehors.
Page 195 - ... des impositions auxquelles ils ne peuvent satisfaire; et » que pour entretenir le luxe de Paris, des millions d'âmes innocentes » sont obligées de vivre de pain de son et d'avoine, et n'espérer autre » protection que celle de leur impuissance. Ces malheureux ne possèdent « aucuns biens en propriété que leurs âmes, parce qu'elles n'ont pu > être vendues à l'encan.
Page 214 - ... du pain d'orge et d'avoine, qui fait leur unique nourriture, et qu'ils sont obligés d'arracher de leur bouche et de celle de leurs enfants pour payer les impositions...
Page 64 - ... soit pour la force intellectuelle, soit pour son penchant plus ou moins grand au bien comme au mal , d'après lesquelles se développent ses passions et ses goûts, se succèdent les choses qu'il produit ou qu'il consomme, d'après lesquelles il meurt , etc. 2° Quelle est l'action que la nature exerce sur l'homme; quelle est la mesure de son influence; quelles sont les forces perturbatrices, et quels ont été leurs effets pendant telle ou telle période; quels ont été les élémens sociaux...
Page 231 - Tel est le caractère dominant des mœurs de notre siècle: une inquiétude généralement répandue dans toutes les professions; une agitation que rien ne peut fixer. ennemie du repos, incapable du travail, portant partout le poids d'une inquiète et ambitieuse oisiveté; un soulèvement universel de tous les hommes contre leur condition; une espèce de conspiration générale, dans laquelle ils semblent être tous convenus de sortir de leur caractère; toutes les professions confondues, les...
Page 197 - II meurt tous les jours un si grand nombre de pauvres qu'il y aura des paroisses où il ne restera pas le tiers des habitants . C'est une chose bien douloureuse de voir mourir...
Page 13 - ... quelques exemples, est la base de toute l'économie politique. Cette science , comme presque toutes les autres, a commencé par des discussions et des raisonnements métaphysiques : la théorie en est avancée ; mais la science pratique est dans l'enfance, et l'homme d'Ktat manque à tout instant de faits sur lesquels il puisse reposer ses spéculations.
Page 211 - Au lieu de tirer de l'argent de ce pauvre peuple, il faudrait lui faire l'aumône et le nourrir. La France entière n'est plus qu'un grand hôpital désolé et sans provision.
Page 249 - Deparcieux a principalement insisté dans son Essai sur les probabilités de la durée de la vie humaine, publié il ya maintenant un siècle.
Page 232 - Des hameaux entiers, écrit le parlement, manquant des choses les plus nécessaires à la vie, étaient obligés, par le besoin, de se réduire aux aliments des bêtes (...). Encore deux jours et Rouen se trouvait sans provisions, sans grains et sans pain. " Aussi la dernière émeute est terrible, et, cette fois encore, la populace, maîtresse de la ville pendant trois jours, pille tous les greniers publics, tous les magasins des communautés