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S 4.

§ 5. § 6. $7. § 8.

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Profil des chaussées de Londres

Pente en travers moyenne.

Quelques résultats d'expérience.

Recherches sur l'écoulement de l'eau en nappe mince
Raccordement avec la formule de M. BAZIN . .

- Recherches sur l'écoulement de l'eau dans les caniveaux
Circulation sur une surface mouillée

$ 9. § 10.

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§ 12.

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10 Conditions relatives à l'écoulement de l'eau.

Epaisseur de la tranche d'eau ruisselant sur la chaussée. 13. Chaussée la plus plate possible.

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9

10

13

13

15

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Equation du profil en travers-limite.

Maximum de la pente en travers p sur le profil-limite
Effets de l'usure. Profils de sécurité.

Vidange partielle des flaches.

Profondeur la plus grande des flaches sur les chaussées

urbaines.

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Valeurs de la pente Po nécessaire à la vidange des flaches.
Influence de la pente j du profil en long. Versants plans.

Ruissellement uniforme

Profils en travers appliqués à Paris.

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$ 22 § 23.

§ 24.

42

§ 25. § 26.

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44

§ 27.

§ 28.

Zone aplatie adoptée pour Paris. Forme générale du profil en travers à versants plans.

- Valeurs usuelles du défaut de contact. Nécessité d'une zone centrale aplatie pour une chaussée à versants plans Possibilité d'une zone centrale aplatie.

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48

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-

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Pentes

A,C constantes.

α angle.

pente longitudinale (en un point du profil en long). JM pente longitudinale maximum pratique.

p pente transversale (en un point du profil en travers). P plus grande pente en un point de la chaussée.

Po pente minimum nécessaire pour vider suffisamment les

flaches.

Longueurs

en

distance horizontale, mesurée dans le profil en travers. y ordonnée.

distance horizontale, mesurée suivant le profil en long. d défense du caniveau (ordonnée au-dessus du fond du caniveau à 1 mètre de la bordure).

F flèches du profil en travers (ordonnée maximum).
h épaisseur de la couche d'eau.

mètres

r

Surface en m❜

Vitesse en

m: s.

rayon moyen de la couche d'eau

'Section de la couche d'eau
périmètre mouillé

L largeur totale de la chaussée.

Z longueur de bief de caniveau (distance de la bouche de lavage à la bouche d'égout).

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LZ

=

2

surface drainée par le caniveau.

intensité de la pluie (quantité d'eau déversée en 1 seconde sur une surface d'un mètre carré).

Q débit totat.

CHAPITRE PREMIER

Introduction

Le profil transversal de la chaussée d'une rue, à ne considérer que la facilité de la circulation, serait évidemment une ligne droite horizontale, ou, tout au moins, un dos d'âne extrêmement peu accentué. Dans la pratique, il en va autrement, en raison de la nécessité d'assurer l'écoulement, vers les caniveaux, de l'eau pluviale; cet écoulement ne peut être assuré convenablement que sur un versant présentant une pente transversale suffisante. Comme l'expédient barbare du profil concave avec thalweg dans l'axe de la voie est depuis longtemps abandonné, reste la solution de versants inclinés vers chacun des trottoirs ce qui implique le bombement de la chaussée.

Quelle est la pente à donner à ces versants? Une forte pente accélèrera l'écoulement des eaux, mais gênera considérablement la circulation. Une faible pente, au contraire, facilitera le roulement des voitures, mais provoquera infailliblement la sta

gnation de l'eau sur la chaussée. Il doit donc exister une pente transversale optimum. C'est à la recherche de cette pente qu'est consacrée la présente étude. Nous l'avons faite surtout en vue des chaussées parisiennes (1) qu'on ne devra pas s'étonner, par suite, de voir à peu près uniquement citées.

Nous ne saurions croire que la présente étude aura élucidé complètement le problème : un grand nombre de données dont dépend sa solution sont encore trop incertaines. Cependant les résultats auxquels nous sommes parvenu, quoique par cela même sujets à discussion, nous ont paru présenter quelque intérêt. En tout cas, il nous a semblé qu'ils étaient de nature à solliciter l'attention sur la question de l'aménagement des voies publiques urbaines dont l'étude rationnelle a peut-être été trop longtemps délaissée.

1. Etat actuel de la question à Paris. — A Paris, on a donné, jusqu'en 1915, aux chaussées, un profil transversal curviligne dont le tracé se trouve défini par les instructions des 22 avril, 23 octobre 1885 et 24 avril 1886, de M. ALLARD, Ingénieur en Chef des Ponts et Chaussées, Ingénieur en Chef du Service de la Voie publique (2).

Trottoir

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Fig. 1.

x

y

Profil parabolique

de M. Allard.

Axe de

Ce profil est établi suivant un arc de parabole du second degré

dont le sommet se trouve placé sur l'axe de la chaussée et dont l'équation est déterminée par la condition que la défense du caniveau, c'est-à-dire la différence

(1) Ces chaussées constituent un ensemble assez important pour justifier une étude spéciale, puisqu'au 1er janvier 1913, leur longueur totale atteignait 1.013 km. et leur surface 9.375.470 m2. Savoir :

Pavage en pierre: 5.455.120 m2;

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On procède peu à peu à la suppression de l'empierrement.

(2) Actuellement, on applique les profils définis par la Note du 21 juillet 1915 de M. l'Inspecteur Général des Ponts et Chaussées BIENVENUE, chargé des Services Techniques de la Voie Publique et de l'Eclairage et du Métropolitain, dont il est question in fine.

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