Compiègne historique et monumental: 2 vol. in 1, Volume 2Langlois, 1842 - 321 pages |
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Anglais avaient ayant bâtiments Beau-Regard Béthisy bientôt bois Bosquiaux camp cause cent Champlieu Charlemagne Charles VII Charles X Charles-le-Chauve chasse château château de Pierrefonds cheval Choisy Clairoix commandement commune comte construction couvent Crépy devait domaine donna duc de Bourgogne église Enfin environs époque évêques existe fils forêt de Compiègne forêt de Cuise forêt de Laigue fossé François Ier garnison Gaules guerre habitants Henri hommes jardin jours juridiction justice l'abbaye l'an l'ancien l'église l'évêque l'Oise lieu lieutenant livres Louis XIII Louis XIV maire maison Margny ment mètres monastère Monde hist monument Morienval municipal nommé palais Père Carlier Perint Philippe-le-Bel piègne Pierre Pierrefonds place pont porte Chapelle premier prévôt prieuré prince règne reine religieux rempart rent reste Rivecourt rivière rois route Royal-Lieu royale de Cuise saint Louis Saint-Antoine Saint-Corneille Saint-Jacques Saint-Jean-aux-Bois Saintines seigneurs Senlis siècle siége Soissons terre tion tour troupes Valois Verberie villes
Popular passages
Page 176 - Méditerranée, fournissoient tout ce qu'elles avoient de plus monstrueux et de plus exquis, à jours et point nommés, avec un ordre inimitable, et un nombre de courriers et de petites voitures de poste prodigieux. Enfin jusqu'à l'eau, qui fut soupçonnée de se troubler ou de s'épuiser par le grand nombre de bouches...
Page 180 - ... contre la glace pour la faire ouvrir. Jamais il ne parla qu'à elle, hors pour donner des ordres en peu de mots et rarement, et quelques réponses à...
Page 175 - Prince, dont l'art et le goût y surpassoit tout le monde, ce que c'étoit que l'élégance, le nouveau et l'exquis : jamais spectacle si éclatant, si éblouissant, il le faut dire, si effrayant, et en même temps rien de si tranquille que lui et toute sa maison dans ce traitement universel, de si sourd que tous les préparatifs, de si coulant de source que le prodige de l'exécution, de si simple, de si modeste, de si dégagé de tout soin que ce général, qui néanmoins avoit tout ordonné et...
Page 181 - Madame la duchesse de Bourgogne et de presque tout ce qui était là. Plusieurs se parlèrent des yeux et du coude en se retirant, et puis à l'oreille bien bas. On ne pouvait revenir de ce qu'on venait de voir. Ce fut le même effet parmi tout ce qui...
Page 174 - Les colonels, et jusqu'à beaucoup de simples capitaines, eurent des tables abondantes et délicates ; six lieutenants généraux et quatorze maréchaux de camp employés s'y distinguèrent par une grande dépense ; mais le maréchal de Boufflers étonna par sa dépense et par l'ordre surprenant d'une abondance et d'une recherche de goût, de magnificence et de politesse, qui dans l'ordinaire de la durée de tout le camp, et à toutes les heures de la nuit et du jour, put apprendre au Roi même ce...
Page 142 - Au moment que le roi fut sacré, la Pucelle se jeta à genoux, lui embrassant les jambes, et pleurant à chaudes larmes. Tout le monde pleurait aussi. On assure qu'elle lui dit...
Page 78 - Autour du principal corps de logis se trouvaient disposés par ordre les logements des officiers du palais, soit barbares, soit Romains d'origine, et ceux des chefs de bande qui, selon la coutume germanique, s'étaient mis avec leurs guerriers dans la truste du roi, c'est-à-dire sous un engagement spécial de vasselage et de fidélité.
Page 181 - ... dans un respect de crainte et d'embarras. Le Roi mit souvent son chapeau sur le haut de la chaise, pour parler dedans, et cet exercice si continuel lui devoit fort lasser les reins.
Page 182 - Jusqu'aux soldats demandaient ce que c'était que cette chaise à porteurs, et le Roi à tout moment baissé dedans ; il fallut doucement faire taire les officiers et les questions des troupes. On peut juger de ce qu'en dirent les étrangers, et de l'effet que fit sur eux un tel spectacle. Il fit du bruit par toute l'Europe, et y fut aussi répandu que le camp même de Compiègne avec toute sa pompe et sa prodigieuse splendeur.
Page 164 - Après le meurtre du duc de Guise , et du cardinal de Lorraine qu'il fit assassiner aux états de Blois, il est forcé de se réfugier sous les drapeaux de son beau-frère.