 | Jean-François Marmontel - 1804 - 414 pages
...semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collège. Notre bourgeoise nous fai« soit la cuisine, et pour sa peine, son feu, sa lampe, ses lits, son logement, et même les légumes de s?>n petit jardin qu'elle met toit au pot , nous lui donnions par tête vingt -cinq sols par mois ;... | |
 | Jean-François Marmontel - 1805 - 402 pages
...les semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collége. Notre bourgeoise nous faisoit la cuisine, et pour sa peine, son feu, sa lampe, ses...et même les légumes de son petit jardin qu'elle mettoit au pot, nous lui donnions par tête vingt-cinq sols par mois ; en sorte que tout calculé,... | |
 | Jean-François Marmontel - 1818 - 566 pages
...toutes les semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collège. Notre bourgeoise nous faisait la cuisine, et pour sa peine, son feu, sa...légumes de son petit jardin qu'elle mettait au pot, nous lui donnions par tête vingt-cinq sous par mois, en sorte que, tout calculé, hormis mon vêtement,... | |
 | Jean François Marmontel - 1818 - 772 pages
...toutes les semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collège. Notre bourgeoise nous faisait la cuisine, et pour sa peine, son feu, sa...légumes de son petit jardin qu'elle mettait au pot, nous lui donnions par tête vingt-cinq sous par mois, en sorte que, tout calculé, hormis mon vêtement,... | |
 | Jean François Marmontel - 1819 - 854 pages
...toutes les semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collège. Notre bourgeoise nous faisait la cuisine , et pour sa peine , son feu ,...légumes de son petit jardin qu'elle mettait au pot , nous lui donnions par tête vingt-cinq sols par mois , en sorte que , tout calculé , hormis mon... | |
 | France - 1846 - 460 pages
...toutes les semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collège. Notre bourgeoise nous faisait la cuisine ; et pour sa peine , son feu ,...légumes de son petit jardin qu'elle mettait au pot, nous lui donnions par tête vingtcinq sous par mois ; en sorte que , tout calculé , hormis mon vêtement,... | |
 | Jean-François Marmontel - France - 1850 - 452 pages
...du collége. Notre bourgeoise nous faisait la cuisine , et pour sa peine , son feu , sa lampe , se» lits, son logement, et même les légumes de son petit jardin qu'elle mettait au pot , nous lui donnions par tête vingtcinq sous par mois: en sorte que, tout calculé, hormis mon vêtement,... | |
 | Charles Augustin Sainte-Beuve - Authors, French - 1853 - 468 pages
...provisions pour la semaine, ses vivres qui lui venaient de la maison paternelle : « Notre bourgeoise nous faisait la cuisine , et pour sa peine, son feu, sa...légumes de son petit jardin qu'elle mettait au pot, nous lui donnions par tête vingt-cinq sols par mois; en sorte que, tout calculé, hormis mon vêtement,... | |
 | France - 1864 - 462 pages
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 | 1867 - 948 pages
...toutes les semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collège. Notre bourgeoise BOUS faisait la cuisine, et pour sa peine, son feu, sa lampe, ses lits, son logement, et môme les légumes de son pelil jardin qu'elle mettait au pot, nous lui donnions par tête vingt-cinq... | |
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Voilà, pour le dire une fois, quelle était toutes les semaines la provision des écoliers les mieux nourris du collège. Notre bourgeoise nous faisait la cuisine, et pour sa peine, son feu, sa lampe, ses lits, son logement, et même les légumes de... 
