La vie politique de M. Royer-Collard: ses discours et ses écrits, Volume 2 |
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Common terms and phrases
accusés affaires appelle assez aujourd'hui aurait avaient avant besoin bonne c'était Chambre Chambre des députés changer Charte choses colléges commission commune condition conseil conséquent considération cour crime délibération demande députés dernière devait dire discours discussion doit donner doute électeurs élections esprits établi force forme garde gauche général gouvernement guerre hommes intérêts j'ai jour journaux jugement justice l'article l'autre l'avait l'esprit l'État l'opinion l'ordre l'un laisser légitime lettre liberté lieu lois maintenant majorité membres ment Messieurs ministère monarchie n'avait n'en n'était nation nécessaire nombre nouveau nouvelle opinions orateurs pairs parler parole passé pendant pensée personne peuple peut-être place porte pourrait pouvait pouvoir premier présent président presse priviléges projet de loi proposé public publique qu'une question raison rapport religion représentatif respect reste révolution rien royale Royer-Collard s'agit s'était s'il savait séance semble sentiment serait session seulement société sorte tion tribune trouvé vérité Villèle vive voix vote voyait vrai
Popular passages
Page 114 - félicitons, Sire, de vos relations constamment amicales « avec les puissances étrangères, dans la juste confiance « qu'une paix si précieuse n'est point achetée par des « sacrifices incompatibles avec l'honneur de la nation et la
Page 417 - Entre ceux qui méconnaissent une nation si calme, si fidèle, et nous qui , avec une conviction profonde , venons déposer dans votre sein les douleurs de tout un peuple jaloux de l'estime et de la confiance de son roi , que la haute sagesse de Votre Majesté prononce! Ses royales prérogatives ont placé dans ses mains les moyens d'assurer entre les pouvoirs de l'État cette harmonie constitutionnelle, première et nécessaire condition de la force du trône et de la grandeur de la France.
Page 435 - SAR monseigneur le duc d'Orléans de se rendre dans la capitale pour y exercer les fonctions de lieutenant général du royaume, et de lui exprimer le vœu de conserver les couleurs nationales. Elle a, de plus, senti la nécessité de s'occuper sans relâche d'assurer à la France, dans la prochaine session des Chambres, toutes les garanties indispensables pour la pleine et entière exécution de la Charte.
Page 416 - Sire, la Charte que nous devons à la sagesse de votre auguste prédécesseur et dont Votre Majesté a la ferme volonté de consolider le bienfait, consacre comme un droit l'intervention du pays dans la délibération des intérêts publics. Cette intervention devait être...
Page 433 - Messieurs, j'ai cinquante-sept ans. j'ai vu toutes « les journées de la Révolution, et je me retire avec
Page 269 - Aucun impôt ne peut être établi ni perçu, s'il n'a été consenti par les deux chambres et sanctionné par le roi.
Page 294 - ... hommes, il est nécessaire de les disperser et de les appauvrir, la misère est la sauvegarde de l'ignorance. Croyez-moi, réduisez la population, renvoyez les hommes de l'industrie à la glèbe, brûlez les manufactures, comblez les canaux , labourez les grands chemins. Si vous ne faites pas tout cela, vous n'aurez rien fait; si la charrue ne passe pas sur la civilisation tout entière, ce qui en restera suffira pour tromper vos efforts....
Page 127 - C'est ainsi que nous sommes devenus un peuple d'administrés, sous la main de fonctionnaires irresponsables, centralisés eux-mêmes dans le pouvoir dont ils sont les ministres.
Page 299 - Posons donc pour maxime que , lorsqu'il s'agit du bien public, le bien public n'est jamais que l'on prive un particulier de son bien , ou même qu'on lui en retranche la moindre partie par une loi ou un règlement politique.
Page 417 - Cette intervention devait être, elle est en effet indirecte, sagement mesurée, circonscrite dans des limites exactement tracées, et que nous ne souffrirons jamais que l'on ose tenter de franchir; mais elle est positive dans son résultat, car elle fait, du concours permanent des vues politiques de votre gouvernement avec les vœux de votre peuple, la condition indispensable de la marche régulière des affaires publiques. Sire, notre loyauté, notre dévouement nous condamnent à vous dire que...