Dépenses par train-kilomètre du service du matériel et de la traction. Dépenses kilométriques du service du matériel et de la traction dans l'hypothèse TABLE DES MATIÈRES Pages I. Nécessité de réduire le nombre des hommes valides à employer dans les diverses administrations et sur les chemins de fer. 127 II. Des idées nouvelles doivent guider pour le recrutement du per- V. Création de groupes régionaux sur le Nord et sur l'Ouest..... VI. Étude de l'affermage à des sociétés locales de lignes à faible XI. Comparaison des dépenses d'exploitation des lignes à faible trafic des grands réseaux et des lignes d'intérêt local....... XII. Économie par l'affermage des lignes; réduction du personnel Annexes nos 3, 4 et 5. Annexes nos 6 et 7. Dépenses par kilomètre exploité (Frais généraux, Service de l'Exploitation, Service de la Voie) et indications diverses sur diverses lignes des réseaux de l'Est, du Nord et du Midi...... 190, 192, 193 Dépenses par kilomètre exploité (Frais généraux, Service de l'Exploitation, Service de la Voie) et indications diverses sur des lignes ou réseaux d'intérêt local (voie normale et voie étroite). . . . . . 194, 196 N° 29 CHRONIQUE SUR LA THÉORIE DES ONDES DE CRUES PAR le Prof. P. ALIBRANDI Chronique par M. GOUPIL, Ingénieur en chef des Ponts et Chaussées. L'auteur considère d'abord un canal d'axe O x de section invariable à parois presque verticales où l'écoulement diffère peu du régime uniforme. Soient : i la pente supposée faible et constante, Z (t, x) la cote de la surface libre dans la section d'abscisse x et à l'époque t; u (t, x) la vitesse moyenne dans la section x, x (t, x) l'accélération de viscosité qui est de la forme L'équation dynamique du mouvement linéaire sera (au + cu2) Sur un élément de profil longitudinal on a idx=dZ+dy. dy étant le relèvement de la surface libre de S (x) à S (x +dy). (La notation au lieu de d est pour marquer que t est constant). On a évidemment : b étant la largeur au haut de la section mouillée. On aura donc (1) 938 au + cu2 - gi + box วน ди L'équation de continuité donne: (*) Annali d'Ingeniera e d'Architettura (16 mai-1er juin 1917). En désignant par S et U la section et la vitesse constantes du mouvement uniforme dont l'intermescence considérée est regardée comme une perturbation, on peut poser s = S+, u = U on considérera comme de petites quantités du premier ordre , ẞ et leurs dériдо ав B. En négligeant des quantités de troisième ordre on peut vées écrire D'après les hypothèses faites a U + c U2 est égal à gi et en posant a+2c U 2 les équations (1) et (2) deviendront Si on s'en tient aux termes du premier ordre on trouve des solutions de la forme La perturbation produit ainsi deux ondes dont les célérités respec tives sont wet w,, la seconde remontant le courant si U < S b Les fonctions arbitraires seront déterminées par les conditions régissant la variation de en fonction du temps. Si on fait dans (7) x = = o, on aura, quel que soit t, et dans la seconde on aura pour déterminer les F daus le système (7) |