Histoire d'Angleterre, Volume 41826 |
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acte adversaires Anglais archers armée avaient barons bataille Canterbury cent chambre château chevaliers clergé communes comte d'Arundel comte de Derby comte de March comte de Northumberland comte de Rutland condamna conseil consentement couronne d'Angleterre d'Écosse d'Édouard d'York déclara demanda devant donna duc d'York duc de Glocester duc de Hereford duc de Lancastre Écossais Édouard Édouard III ennemis envoya eût évêques fils force Froissart fût Galles Glendour Glocester gouvernement guerre Guyenne Henri hommes d'armes Ibid insurgés Jean jour juges Knyght l'archevêque l'armée l'église l'ennemi l'évêque lever lollards Londres lords ment mille hommes monarque mort Mortimer Note du traducteur ordonna Otterb pape parlement payer Percy personnes pétition peuple Philippe porter pouvait prélats présent prince prince noir prisonnier provisions reçut refusa règne rent répondit Richard ronne royale royaume s'était Scroop seigneur serait serment session sheriff souverain statut subside suivant temporels tion trahison traîtres trône troupes Wals Wycliffe
Popular passages
Page 94 - Calais le 3 août 1347. Les écrivains, dit à ce sujet l'historien Lingard, n'ont pas toujours apprécié suffisamment les avantages que l'humanité retirait de l'influence pacifique des Pontifes de Rome. Dans les siècles où l'on ne connaissait d'autre mérite que celui des armes, l'Europe eût été plongée dans une guerre perpétuelle si les Papes n'avaient successivement et constamment travaillé soit à la conservation de la paix, soit à son rétablissement. Ils contrôlaient les passions...
Page 281 - ... les hommes égaux ; que les distinctions de servitude et de liberté étaient l'invention de leurs oppresseurs et contraires aux vues du Créateur ; que Dieu leur offrait maintenant le moyen de recouvrer leur liberté , et que s'ils continuaient à être esclaves, le blâme ne devrait en retomber que sur eux; qu'il était nécessaire de déposer l'archevêque , les comtes , les barons, les juges , les hommes de loi et les moines quêteurs; et que, lorsqu'on aurait aboli toutes les distinctions...
Page 23 - Édouard réduisit Isabelle à trois mille livres de revenu, et l'exila dans un château, où elle passa dans l'obscurité les vingt-sept dernières années de sa vie. Le roi allait tous les ans lui faire une visite de cérémonie : il ajouta même mille livres à son revenu annuel ; mais il ne lui permit jamais de reprendre aucune part aux affaires publiques. Ensuite le jeune roi consulta le Pape sur la conduite à tenir dans son gouvernement. Jean XXII lui répondit de la manière suivante : D'abord,...
Page 482 - Ce défi, malgré la réserve que le comte de Saint-Pol y avait insérée , fut blâmé comme contraire à la trêve, d'autant que l'entreprise était composée entièrement...
Page 124 - repart le roi. « Sire, je suis Denis de Morbec, chevalier d'Artois ; je sers le roi d'Angleterre parce que j'ai été obligé de quitter mon pays pour avoir tué un homme.
Page 425 - ... Le 29 septembre il lut, en présence d'une deputation de prélats, de barons, de chevaliers et de gens de loi, un acte par lequel il renonçait à la couronne , se reconnaissait incapable de régner, et convenait qu'à cause de ses fautes passées il avait mérité d'être déposé; puis il ajouta que s'il était en son pouvoir de nommer son successeur, il choisirait son cousin. Tel est du moins le récit inscrit, par l'ordre de Henri, sur les registres du parlement. Le lendemain 30, la déchéance...
Page 61 - Il est probable que , dans ces circonstances , la querelle entre les deux couronnes se serait terminée, s'il n'était arrivé un événement qui promettait d'ouvrir au roi .d'Angleterre une route au cœur de la France. Jean III , duc de Bretagne, avait trois frères, Guy, Pierre et Jean, comte de Montfort. Guy et Pierre moururent avant lui; mais Guy avait laissé une fille , nommée Jeanne, considérée par le duc , son oncle , qui n'avait pas d'enfants , et par les états, comme l'héritière présomptive...
Page 95 - Clément avait repris ses efforts pacifiques : il ne cessa pendant deux ans de supplier, d'exhorter, de réprimander. La violence et l'obstination de ses ouailles belligérantes n'épuisèrent pas sa patience ; et dès que l'armée française eut atteint Wissant, les cardinaux de Naples et de Clermont offrirent leur médiation pour prévenir l'effusion du sang. Mais Philippe refusait de livrer une ville qui depuis si long-temps bravait la puissance de son adversaire, et Edouard ne voulait pas abandonner...
Page 47 - France , avant de s'être mis en possession d'aucune partie de ce royaume; qu'à moins que les descendants des femmes ne fussent devenus légalement capables d'hériter de la couronne, il ne saurait avoir aucune prétention , et que même, si cela pouvait être, il existait encore des personnes issues des filles de ses oncles , plus près du trône que lui , et plus aptes à le réclamer ; qu'en faisant hommage à Philippe de Valois, il avait reconnu le titre de ce prince, et qu'en le prenant pour...
Page 81 - L'âge n'avait pas éteint en lui le feu de la jeunesse; quoique aveugle, il se plaça dans la première division des Français , et , comme l'issue de la lutte devenait douteuse , il ordonna aux quatre chevaliers qui l'entouraient de le conduire au fort de la mêlée, afin que moi aussi, dit-il , je puisse avoir un coup à l'anglaise. L'ayant mis au milieu d'eux et ayant entrelacé leurs brides , ils poussèrent leurs chevaux en avant , et furent tués presque au même instant.