Histoire des campagnes de 1814 et de 1815: ptie. Comprenant le récit de tous les événemens survenus en France en 1815. 2 vLe Normant, 1816 - Napoleonic Wars, 1800-1815 |
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Common terms and phrases
acclamations alloit armées alliées armes attaque Augereau autrichien avoient avoit avril bataille Bayonne bientôt Blucher Bordeaux braves brigade Buonaparte capitale cavalerie cent chef cocarde blanche colonnes combat comte cris de Vive d'attaque devoit division duc d'Angoulême duc de Raguse ennemis Essonne étoient étoit événemens faisoit faubourg Fère-Champenoise Fontainebleau forces foule garde nationale Garonne gauche général Hill gouvernement provisoire guerre habitans hauteurs heures jour l'Adour l'armée française l'empereur Alexandre l'ennemi l'Europe lieutenant-général ligne long-temps lord Dalhousie lord Wellington Louis XVIII marche maréchal Béresford maréchal Ney maréchal Soult mars ment midi militaire mille hommes ministres monarque mouvement n'avoient n'avoit Napoléon nation néral Nive officiers paix Parisiens passer patrie peuple pont porter position pouvoient pouvoit prince de Schwartzenberg proclamation prussiens quartier-général régence replier résistance restauration retraite rive Rochejaquelein route royalistes russes s'étoient s'étoit Saint-Dizier Saint-Gaudens Saint-Jean-de-Luz sembloit sénat sentimens seroit seul soldats souverains tion Toulouse trône troupes venoient venoit Villefranque Vitry
Popular passages
Page 498 - année, le sénat et le corps législatif, noua » engageant à mettre sous leurs yeux le travail » que nous aurons fait avec une commission » choisie dans le sein de ces deux corps, et à » donner pour base à cette constitution les » garanties suivantes : » Le gouvernement représentatif sera main» tenu tel qu'il existe aujourd'hui, divisé en
Page 297 - il faut que la France soit grande et forte. » Qu'ils reconnoîtront et garantiront la constitution que la nation française se donnera. Ils invitent, par conséquent, le sénat à désigner sur-le-champ un gouvernement provisoire qui puisse pourvoir aux besoins de l'administration, et préparer la constitution qui conviendra au peuple français. » Les intentions que je viens d'exprimer me sont communes avec
Page 497 - de la précipitation avec laquelle il* » ont été rédigés, ils ne peuvent, dans leur » forme actuelle , devenir lois fondamentales » de l'Etat; » Résolu d'adopter une constitution libé» raie, voulant qu'elle soit sagement combi» née, et ne pouvant en accepter une qu'il est » indispensable de rectifier, nous convoquons » pour le 10 du mois de juin de la
Page 296 - renfermer de plus fortes garanties , lorsqu'il s'agissoit d'enchaîner l'ambition de Buonaparte, elles doivent être plus favorables , lorsque , par un retour vers un gouvernement sage , la France elle-même offrira l'assurance de ce repos. » Les souverains proclament en conséquence : » Qu'ils ne traiteront plus avec Napoléon
Page 330 - est en lui, et non dans le peuple de la » capitale. » Le soldat suit la fortune et l'infortune de » son général, son honneur et sa religion. » Le sénat s'est permis de disposer du gou» vernement français : il a oublié qu'il doit » à l'empereur le pouvoir dont il abuse
Page 520 - subsistent, et les chefs-d'œuvre des » arts nous appartiennent désormais par des » droits plus stables et plus sacrés que ceux » de la victoire. » Les routes de commerce , si long-temps » fermées , vont être libres. Le marché de la » France ne sera plus seul ouvert aux
Page 498 - tel qu'il existe aujourd'hui, divisé en » deux corps, savoir : » Le sénat et la chambre composée des » députés des départemens. » L'impôt sera librement consenti. » La liberté publique et individuelle as» surée. » La liberté de la presse respectée, sauf » les précautions nécessaires à la tranquillité » publique. » La liberté des cultes garantie. , » Les propriétés seront inviolables et
Page 330 - que c'est lui qui a sauvé une partie » de ses membres de l'orage de la révolution, » tiré de l'obscurité et protégé l'autre contre » la haine de la nation. » Le sénat se fonde sur les articles de la cons» titution ; il ne rougit pas de faire des re-. .» proches à l'empereur, sans remarquer que,' » comme le premier corps de l'Etat, il a pris
Page 350 - aux trônes de France et d'Italie, et qu'il » n'est aucun sacrifice personnel, même celui » de la vie, qu'il ne soit prêt à faire pour
Page 126 - même, en cherchant à s'introduire dans les places qu'on leur avoit assignées, venoient d'être arrêtés et pendus comme espions. Mais ce qui méritoit la plus sérieuse attention , c'étoient les dispositions au soulèvement que manifestoient un grand nombre de paysans de la Lorraine, de la Champagne, de l'Alsace, de la Franche-Comté, et de la Bourgogne. Dans les Vosges et les